Étiquette : prévention

Partenariat entre Ultrahuman et InsideTracker pour une santé cardiovasculaire préventive aux États-Unis

L’entreprise de technologie d’optimisation de la santé, Ultrahuman, a établi un partenariat avec la plateforme d’analyse de la santé InsideTracker pour améliorer la santé cardiovasculaire des consommateurs américains. Cette collaboration vise à fournir aux individus des données exploitables adaptées à leur physiologie unique. Le partenariat introduit pour la première fois aux États-Unis la plateforme de tests sanguins Blood Vision d’Ultrahuman, qui se concentre sur la longévité plutôt que sur des références centrées sur les maladies. Blood Vision met l’accent sur la santé proactive et des stratégies de bien-être personnalisées, créant des feuilles de route individuelles pour optimiser la santé cardiovasculaire, la vitalité et le vieillissement. InsideTracker, connu pour ses recommandations personnalisées visant à améliorer la longévité et la performance, intègre son test Heart Category dans la plateforme Blood Vision. Ce test, validé scientifiquement, évalue des biomarqueurs cardiovasculaires critiques tels que les profils lipidiques, les marqueurs inflammatoires et les paramètres métaboliques, fournissant des informations basées sur les dernières recherches sur la longévité. Rony Sellam, PDG d’InsideTracker, souligne que les consommateurs de santé d’aujourd’hui sont extrêmement sophistiqués et que l’industrie doit s’adapter à cette réalité. La collaboration s’étend également au produit Ring AIR, une bague intelligente d’Ultrahuman, ainsi qu’au Cardio Adaptability PowerPlug. La bague Ring AIR surveille le sommeil, le rythme cardiaque au repos, la variabilité de la fréquence cardiaque, le mouvement et la température de la peau, produisant des données sur le stress physiologique, la récupération et la santé globale. Le Cardio Adaptability PowerPlug, construit sur l’ensemble de données d’Ultrahuman, fournit des informations sur la charge cardiovasculaire, l’équilibre autonome et la résilience. En corrélant les biomarqueurs de la Ring AIR avec les données sanguines, la plateforme propose des recommandations de style de vie, telles que l’amélioration de la récupération par l’optimisation du sommeil, la réduction de l’inflammation par des ajustements alimentaires, ou l’affinage des routines d’exercice en fonction des tendances de la variabilité de la fréquence cardiaque. Le partenariat entre Ultrahuman et InsideTracker devrait s’élargir, avec des projets futurs visant à couvrir d’autres panels de biomarqueurs pour la santé métabolique, l’immunité et l’équilibre hormonal. Mohit Kumar, fondateur et PDG d’Ultrahuman, insiste sur l’importance de ce partenariat pour passer d’une santé réactive à une santé préventive, ce qui est crucial pour garantir la santé et le bien-être à long terme de l’Amérique. Avec des informations cardiovasculaires personnalisées et des interventions sur le mode de vie, les consommateurs auront désormais une vue d’ensemble de leur santé actuelle et future, à la fois complète et exploitable. Source : https://longevity.technology/news/ultrahuman-and-insidetracker-joins-forces-on-preventive-health-in-the-us/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=ultrahuman-and-insidetracker-joins-forces-on-preventive-health-in-the-us

Yuta Lee : L’avenir des thérapies par cellules souches et la prévention du vieillissement

Yuta Lee, fondateur et PDG d’Accelerated Biosciences, est un intervenant clé au Founders Longevity Forum à Singapour, où il discutera des avancées des thérapies par cellules souches et des défis réglementaires associés aux thérapies anti-âge. Le forum, qui réunira des experts de la science, de la santé et de l’investissement, mettra en lumière les progrès en matière de longévité et de santé, notamment l’importance croissante de Singapour en tant que pôle d’innovation dans ce domaine. Lee a dirigé sa société vers la commercialisation des cellules souches trophoblastiques humaines (hTSCs), une plateforme prometteuse en médecine régénérative, en obtenant plus de 49 brevets à travers le monde. Il souligne que l’industrie des cellules souches devrait atteindre une valeur de 56 milliards de dollars d’ici 2032, car les traitements traditionnels ne résolvent souvent pas les problèmes sous-jacents des maladies. Lee prévoit que dans les cinq à dix prochaines années, les avancées scientifiques démontreront l’efficacité de ces thérapies non seulement pour les soins curatifs, mais aussi pour la prévention des maladies, ouvrant la voie à une nouvelle approche de la longévité et de la santé. Cependant, il fait face à des obstacles réglementaires, car le vieillissement n’est pas reconnu comme une indication par la FDA ou l’EMA, ce qui complique la recherche de financements pour des traitements préventifs. Lee et son équipe collaborent avec le National Institute on Aging pour utiliser les exosomes dérivés des hTSCs dans le traitement des cellules sénescentes, qui sont liées à de nombreuses maladies chroniques. Leur vision à long terme inclut des essais cliniques sur des indications reconnues, ce qui pourrait ouvrir la voie à des applications plus larges pour le vieillissement et la santé. Avec des études précliniques en cours et des tests à venir, Lee reste optimiste quant à l’avenir des thérapies cellulaires dans l’amélioration de la durée de vie en bonne santé. Source : https://longevity.technology/news/longevity-really-resides-in-prevention/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=longevity-really-resides-in-prevention

L’avenir des thérapies par cellules souches : prévention et longévité selon Yuta Lee

Yuta Lee, fondateur et PDG d’Accelerated Biosciences, s’exprimera lors du Founders Longevity Forum à Singapour, où il explorera les défis et les avancées des thérapies par cellules souches dans le contexte du vieillissement et de la santé. Le forum, réunissant des experts en science, santé et investissement, mettra en lumière les innovations pour promouvoir un vieillissement en santé. Lee met en avant l’importance des cellules souches trophoblastiques humaines (hTSCs) en médecine régénérative, soulignant leur potentiel et la nécessité d’une approbation réglementaire pour leur utilisation. Il explique que l’industrie des cellules souches devrait croître de manière significative, car ces thérapies promettent de traiter les causes profondes des maladies, contrairement aux médicaments traditionnels qui se contentent de soulager les symptômes. Lee précise que l’accent doit être mis sur la prévention des maladies liées à l’âge, un domaine actuellement négligé par les agences de réglementation telles que la FDA et l’EMA, qui ne considèrent pas le vieillissement comme une indication à traiter. Il plaide pour un changement de paradigme vers des approches préventives, afin d’améliorer la longévité et la santé. Lee mentionne également des collaborations avec le National Institute on Aging pour utiliser des exosomes dérivés des hTSCs contre la sénescence cellulaire, un facteur clé du vieillissement. Les résultats précliniques sont prometteurs, et Lee espère que ces thérapies pourront être rapidement testées chez l’homme, avec un potentiel d’application mondiale une fois approuvées. En conclusion, Lee évoque une vision optimiste où les thérapies cellulaires et géniques joueront un rôle central dans la prolongation de la santé et de la longévité, en intégrant la prévention dans les soins de santé. Source : https://longevity.technology/news/longevity-really-resides-in-prevention/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=longevity-really-resides-in-prevention

L’avenir des thérapies cellulaires selon Yuta Lee : prévention et défis réglementaires

Yuta Lee, fondateur et PDG d’Accelerated Biosciences, se positionne comme une voix influente dans le domaine des thérapies cellulaires, notamment en ce qui concerne les cellules souches trophoblastiques humaines (hTSCs). Lors du Founders Longevity Forum à Singapour, il aborde le potentiel des thérapies cellulaires pour améliorer la santé et la longévité, tout en soulignant les défis réglementaires associés à l’approbation des thérapies anti-âge. Lee fait valoir que l’industrie des cellules souches devrait connaître une croissance significative, atteignant plus de 56 milliards de dollars d’ici 2032, en raison de l’évolution des traitements vers des solutions curatives plutôt que palliatives. Il évoque également l’importance de la prévention dans le cadre des soins de santé, notant que l’approche actuelle est axée sur le traitement des maladies une fois qu’elles se sont manifestées. Les obstacles réglementaires, tels que le fait que le vieillissement ne soit pas reconnu comme une indication par les agences comme la FDA ou l’EMA, compliquent la recherche de financements pour des thérapeutiques préventives. Lee et son équipe collaborent avec le National Institute on Aging pour utiliser les exosomes dérivés des hTSCs dans le cadre d’études précliniques sur la sénescence cellulaire, une caractéristique du vieillissement. Leurs travaux visent à démontrer que ces exosomes peuvent atténuer les phénotypes sécrétoires associés à la sénescence, contribuant ainsi à traiter des conditions telles que l’hypertension résistante et le psoriasis. Lee est optimiste quant à l’avenir de ces thérapies et à leur potentiel pour transformer les soins de santé en se concentrant sur la prévention plutôt que sur le traitement des maladies établies. Une fois les études précliniques terminées, il prévoit de soumettre leurs résultats à la FDA pour commencer les essais cliniques. Cette recherche pourrait non seulement avoir un impact sur le marché américain, mais aussi ouvrir des portes à une utilisation mondiale des thérapies développées. Source : https://longevity.technology/news/longevity-really-resides-in-prevention/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=longevity-really-resides-in-prevention

L’avenir des thérapies par cellules souches et la prévention du vieillissement selon Yuta Lee

Yuta Lee, le fondateur et PDG d’Accelerated Biosciences, sera l’un des intervenants attendus lors du Founders Longevity Forum à Singapour, événement qui réunira des experts de la science, de la santé et de l’investissement pour discuter des avancées dans le domaine de l’anti-âge et de la longévité. Lee a fait progresser la commercialisation des cellules souches trophoblastiques humaines (hTSCs), qui ont un potentiel significatif dans la médecine régénérative. Son engagement vise à accélérer les thérapies cellulaires et géniques pour faire face aux défis liés à une population vieillissante et à la hausse des coûts de santé. Le marché des cellules souches devrait atteindre plus de 56 milliards d’ici 2032, avec une transition vers des thérapies qui visent non seulement à traiter les symptômes, mais à résoudre les causes sous-jacentes des maladies. Lee souligne l’importance de la prévention dans la longévité, notant que la réglementation actuelle ne reconnaît pas le vieillissement comme une indication valide pour l’approbation des médicaments. Cela complique le financement des traitements préventifs, car il faut souvent passer par des indications liées à des maladies spécifiques. L’entreprise de Lee collabore avec le National Institute on Aging pour utiliser les exosomes dérivés de cellules souches afin de cibler la sénescence cellulaire, l’un des principaux facteurs du vieillissement. Grâce à ces recherches, ils espèrent proposer des traitements pour des maladies comme l’hypertension résistante et le psoriasis, avec des essais précliniques en cours. Lee se montre optimiste quant à la future approbation de ces thérapies et à leur impact potentiel sur la santé et la longévité. Le forum à Singapour mettra également en lumière le rôle croissant de la région Asie-Pacifique dans la recherche sur le vieillissement et l’innovation en matière de santé. Source : https://longevity.technology/news/longevity-really-resides-in-prevention/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=longevity-really-resides-in-prevention

Les risques du cancer liés à la consommation d’alcool : une réalité méconnue

Un nouvel avis du chirurgien général des États-Unis met en lumière le lien entre la consommation d’alcool et le cancer, un sujet souvent méconnu du public. Bien que le tabagisme et l’obésité soient des facteurs de risque bien établis, moins de la moitié des Américains sont conscients que l’alcool est également lié à cette maladie mortelle. L’avis décrit l’alcool comme une cause majeure de cancer évitable aux États-Unis, contribuant à près de 100 000 cas de cancer et environ 20 000 décès par cancer chaque année. Au moins sept types de cancer, dont le cancer du sein, du côlon, de l’œsophage, du foie, de la bouche, de la gorge et du larynx, sont associés à la consommation d’alcool. En particulier, les cancers du système digestif semblent être les plus affectés, l’alcool provoquant des dommages à l’ADN et des mutations dangereuses. En ce qui concerne le cancer du sein, l’avis suggère que l’alcool pourrait augmenter le risque en influençant les niveaux hormonaux, bien que cela reste à prouver. En 2019, environ 96 730 cas de cancer liés à la consommation d’alcool ont été estimés, avec une augmentation du risque même à de faibles niveaux de consommation. Les femmes qui consomment un verre par jour voient leur risque absolu de développer un cancer lié à l’alcool passer de 16,5 % à 19 %, tandis que pour les hommes, il passe de 10 % à 11,4 %. Les mécanismes proposés pour ce lien incluent la formation de l’acétaldéhyde, un produit de dégradation de l’alcool, qui est toxique et cancérigène, ainsi que l’inflammation induite par l’alcool. En dépit des croyances selon lesquelles une consommation modérée d’alcool pourrait être bénéfique, de nouvelles recherches suggèrent plutôt une corrélation linéaire entre l’alcool et le risque de cancer. L’avis recommande de réduire ou d’arrêter la consommation d’alcool pour diminuer le risque de certains cancers. De plus, il souligne l’importance d’accroître la sensibilisation du public sur ce risque. Les recommandations incluent la mise à jour des étiquettes de mise en garde sur les boissons alcoolisées pour inclure des informations sur le risque accru de cancer. Enfin, l’avis suggère que la recherche pourrait explorer le lien entre l’alcool, le cancer et le vieillissement, car les effets de l’alcool sur la santé peuvent varier selon les étapes de la vie. Source : https://www.lifespan.io/news/drinking-and-dying-alcohol-as-a-risk-factor-for-cancer/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=drinking-and-dying-alcohol-as-a-risk-factor-for-cancer

L’alcool : un facteur de risque méconnu du cancer

Un nouvel avis du Surgeon General des États-Unis met en lumière le lien souvent méconnu entre la consommation d’alcool et le cancer. Alors que le tabagisme et l’obésité sont largement reconnus comme des facteurs de risque, moins de la moitié des Américains savent que l’alcool est également lié à cette maladie mortelle. Selon cet avis, l’alcool est considéré comme une cause principale évitable de cancer, contribuant à près de 100 000 cas de cancer et environ 20 000 décès par cancer chaque année aux États-Unis. La consommation d’alcool est associée à au moins sept types de cancer : sein, colorectal, œsophage, foie, bouche, gorge et larynx. Il est important de noter que l’alcool semble affecter le risque de cancer du sein par le biais des niveaux hormonaux, bien que ce lien ne soit pas encore clairement établi.

Les données révèlent que l’alcool est la troisième cause évitable de cancer aux États-Unis, après le tabac et l’obésité. En 2019, environ 96 730 cas de cancer étaient liés à la consommation d’alcool, dont 42 400 chez les hommes et 54 330 chez les femmes. La consommation élevée d’alcool augmente le risque de cancer, même à des niveaux faibles, avec 83 % des décès liés à l’alcool associés à des niveaux dépassant les limites recommandées de consommation. En ce qui concerne les femmes, le cancer du sein représente la plus grande charge de cancer liée à l’alcool, tandis que pour les hommes, ce sont le cancer du foie et colorectal qui dominent.

L’avis explore également les mécanismes possibles reliant l’alcool au cancer, notamment la formation d’acétaldéhyde, un sous-produit métabolique de l’alcool, qui est toxique et cancérigène. L’acétaldéhyde se lie à l’ADN, provoquant des mutations oncogéniques, tandis que l’alcool génère des espèces réactives de l’oxygène qui favorisent l’inflammation. D’autres mécanismes incluent la modification des niveaux hormonaux, notamment des œstrogènes, qui pourraient jouer un rôle dans le cancer du sein.

L’idée selon laquelle une consommation modérée d’alcool pourrait être bénéfique est mise en question par cet avis, qui souligne la nécessité d’améliorer la méthodologie des études sur la consommation d’alcool et la santé. Bien que certaines recherches aient montré une corrélation en forme de U entre l’alcool et la mortalité, les dernières découvertes suggèrent une relation plus linéaire. Cela soulève des questions sur l’interprétation des données et le risque réel associé à la consommation d’alcool.

Réduire ou cesser la consommation d’alcool peut diminuer le risque de cancer, comme l’indiquent des revues de preuves récentes. L’avis appelle également à une sensibilisation accrue du public sur l’alcool comme facteur de risque de cancer, suggérant de mettre à jour les étiquettes d’avertissement sur les boissons alcoolisées pour inclure un avertissement spécifique concernant le risque accru de cancer. Enfin, il est mentionné que les facteurs génétiques peuvent influencer la vulnérabilité individuelle aux cancers liés à l’alcool, ce qui souligne l’importance de la recherche sur ce sujet et sur la relation entre l’alcool, le cancer et le vieillissement. Source : https://www.lifespan.io/news/drinking-and-dying-alcohol-as-a-risk-factor-for-cancer/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=drinking-and-dying-alcohol-as-a-risk-factor-for-cancer

Les défis et évolutions des cliniques de longévité selon Petr Šrámek

Petr Šrámek, co-fondateur et président de LongevityTech.Fund, participe au Forum de la longévité à Singapour, un événement qui réunit des experts de la science, de la santé et de l’investissement pour discuter des avancées en matière de vieillissement sain. Šrámek est reconnu pour son expertise en investissements liés à la longévité et a joué un rôle clé dans le financement de thérapies précliniques innovantes. Lors de sa présentation, il mettra en lumière les considérations financières et stratégiques liées à l’accélération des thérapies en phase précoce et comment rapprocher la recherche de l’application concrète. Il souligne l’importance d’adopter des approches plus progressives pour ralentir ou inverser le vieillissement, évoquant des initiatives comme l’XPRIZE HealthSpan, qui vise un objectif de rajeunissement de 20 ans. Šrámek observe une croissance de l’intérêt pour le domaine de la longévité, avec l’arrivée de nouveaux investisseurs, bien que les deux dernières années aient été marquées par des défis en matière d’investissement. Les grandes entreprises pharmaceutiques commencent également à créer des départements dédiés à l’acquisition d’actifs liés à la longévité. En ce qui concerne les cliniques de longévité, elles se concentrent sur la prévention réelle, dépassant le simple diagnostic précoce. Šrámek appelle à la mise en œuvre rapide des thérapies pour éviter que les patients ne soient contraints de se tourner vers des solutions offshore. Il insiste sur l’importance d’agir rapidement pour améliorer les biomarqueurs et les paramètres de santé des individus, car le temps est un facteur critique dans la lutte contre le vieillissement. Source : https://longevity.technology/news/flfsg-time-is-ticking-and-we-need-to-do-more-than-just-lifestyle-changes/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=flfsg-time-is-ticking-and-we-need-to-do-more-than-just-lifestyle-changes

Gestion des Maladies Liées à l’Âge : Une Approche Innovante au Croisement des Soins Traditionnels et de la Longévité

La gestion des liées à l’âge représente un domaine crucial dans le cadre des cliniques visant à traiter les symptômes des maladies vieillissantes. Ce niveau se situe à l’intersection des traditionnels et de l’ en matière de . Alors que les systèmes de santé ont historiquement fonctionné selon un paradigme de ‘sickcare’, qui se concentre sur le traitement des maladies après leur apparition, le secteur de la longévité évolue vers une . Cette approche met l’accent sur la prévention et la gestion des maladies liées à l’âge avant qu’elles ne se manifestent. Cela implique l’intégration de diagnostics avancés, de médecine personnalisée et de stratégies thérapeutiques innovantes pour améliorer les résultats pour les patients et la de vie. De plus, la population mondiale vieillissante offre d’importantes opportunités d’investissement dans le secteur de la santé. Les investisseurs s’intéressent particulièrement aux entreprises développant des thérapies ciblant les mécanismes sous-jacents du vieillissement, dans le but de prévenir ou d’atténuer les maladies liées à l’âge. Les émergentes, telles que l’intelligence artificielle (IA) et l’apprentissage automatique, sont utilisées pour identifier de nouveaux candidats médicaments et optimiser les protocoles de traitement. Par ailleurs, plusieurs entreprises se distinguent dans le domaine de la gestion des maladies liées à l’âge, notamment Cyclarity Therapeutics, qui développe des médicaments ciblant les maladies liées à l’âge en utilisant des molécules de cyclodextrine, et BioAge Labs, qui se concentre sur les thérapies pour l’ et les maladies métaboliques. Life Biosciences et Unity Biotechnology, quant à elles, travaillent respectivement sur des thérapies de et des médicaments ciblant les cellules sénescentes. Insilico Medicine utilise des algorithmes puissants pour découvrir des médicaments ciblant les causes profondes des maladies liées à l’âge. Ces entreprises illustrent les approches novatrices mises en œuvre pour gérer les maladies liées à l’âge, alliant les soins de santé traditionnels aux avancées scientifiques en matière de longévité.