Étiquette : médecine régénérative

Avancées dans l’impression 3D de tissus cardiaques : une révolution pour le traitement des maladies cardiaques

Des chercheurs de l’Université de Galway ont réalisé une avancée significative dans le domaine de l’impression 3D de tissus biologiques en réussissant à fabriquer des tissus cardiaques humains fonctionnels. Leur étude, publiée dans ‘Advanced Functional Materials’, met en avant le développement d’hydrogels bioprintés qui imitent l’environnement mécanique, électrique et biochimique du cœur, une étape essentielle pour créer des tissus viables destinés à des applications régénératives et au développement de médicaments. Cette avancée est particulièrement pertinente dans le contexte de la maladie cardiaque, qui demeure l’une des principales causes de mortalité dans le monde, exacerbée par une pénurie de cœurs donneurs. La création de tissus cardiaques fonctionnels pourrait répondre à ce besoin non satisfait et ouvrir la voie à de nouvelles options thérapeutiques.

L’approche de l’équipe reposait sur des techniques d’impression bioprintée par extrusion pour créer des hydrogels structurés capables de soutenir la croissance des cellules cardiaques. Le bioencre utilisé reproduisait étroitement les propriétés de la matrice extracellulaire, permettant ainsi la création de constructions tissulaires démontrant à la fois une intégrité mécanique et une fonction biologique. Les tissus bioprintés ont montré des contractions synchronisées et une compatibilité avec la survie cellulaire à long terme, ce qui suggère que l’impression bioprintée pourrait éventuellement mener à des thérapies spécifiques aux patients pour les maladies cardiovasculaires.

L’innovation majeure réside non seulement dans la capacité à répliquer les structures tissulaires du cœur, mais aussi à garantir leur fonctionnalité. Les méthodes conventionnelles d’impression bioprintée se concentrent souvent sur la réplique de la forme finale des organes, sans prendre en compte les transformations dynamiques qui se produisent au cours du développement embryonnaire. Les chercheurs de Galway ont introduit une méthode d’impression bioprintée innovante qui intègre ces comportements essentiels de changement de forme. Ils ont découvert que l’intégration de comportements de morphing programmable et prévisible des tissus améliorait leur maturité structurelle et fonctionnelle.

Ankita Pramanick, auteur principal de l’étude, a expliqué que leur travail introduit une plateforme novatrice utilisant l’impression bioprintée pour produire des tissus capables de morphing 4D, entraîné par des forces générées par les cellules. Les constructions bioprintées ont été évaluées selon leur comportement contractile, leur viabilité cellulaire et leur expression moléculaire, démontrant que les tissus pouvaient se contracter de manière synchrone, caractéristique des tissus cardiaques fonctionnels, ce qui est crucial pour la médecine régénérative et pour la création de modèles précis d’étude de maladies comme les cardiomyopathies.

Cependant, malgré les résultats prometteurs, des défis significatifs restent à surmonter avant que les tissus cardiaques bioprintés puissent être utilisés dans un cadre thérapeutique. L’intégration des constructions bioprintées avec les tissus natifs, l’augmentation de la production pour répondre aux besoins cliniques et les obstacles réglementaires nécessiteront encore des recherches et des développements. Les chercheurs soulignent également que bien que l’impression complète d’organes reste un objectif lointain, les avancées dans la fabrication de tissus fonctionnels constituent un préalable vital. La possibilité d’utiliser les tissus cardiaques bioprintés pour le dépistage de médicaments est une application immédiate, offrant une alternative plus précise et éthique aux modèles actuels basés sur des tissus animaux.

En somme, cette recherche ouvre de nouvelles voies non seulement pour la cardiologie, mais également pour d’autres domaines de la médecine régénérative. Les techniques développées pourraient potentiellement être appliquées à la création de tissus fonctionnels pour d’autres organes, ouvrant ainsi des perspectives pour le traitement de maladies allant de l’insuffisance hépatique au diabète. Ce travail interdisciplinaire, combinant des matériaux de pointe et des sciences biologiques, souligne le potentiel de l’impression 3D de tissus comme technologie transformative en médecine. Source : https://longevity.technology/news/researchers-achieve-bioprinting-milestone-with-functional-human-heart-tissue/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=researchers-achieve-bioprinting-milestone-with-functional-human-heart-tissue

3ème Sommet Mondial sur la Médecine de Longévité à Lisbonne

Le 3ème Sommet Mondial sur la Médecine de Longévité se tiendra à Lisbonne, au Portugal, du 6 au 8 mai 2025. Cet événement de premier plan dans le domaine de la médecine de longévité, du bien-être et de l’innovation en santé promet un programme enrichi avec des sujets révolutionnaires, des conférenciers de renommée mondiale, et un jour pré-sommet exclusif centré sur l’avenir des espaces de bien-être. Le somment accueillera plus de 60 exposants et 70 intervenants, rendant cet événement incontournable pour les professionnels de la santé, du bien-être et de la longévité. Les participants auront accès à des innovations de pointe, des perspectives d’experts et la possibilité de se connecter avec des leaders mondiaux façonnant l’avenir de la médecine préventive. Parmi les points forts, on trouve des sujets à la pointe de la technologie tels que la médecine régénérative, les diagnostics basés sur l’IA, et les innovations en matière de bien-être. Des conférenciers de premier plan, comme le Dr Robert Hariri, Anna Bjurstam et Simone Gibertoni, partageront leurs connaissances et leurs expertises. Ce sommet mettra également en avant l’intégration de la longévité, du bien-être et de l’hospitalité dans les projets immobiliers, favorisant des environnements sains. Une application dédiée pour le sommet facilitera le réseautage et la mise en relation entre les participants. Avec plus de 70 intervenants de haut niveau et 60 exposants, cet événement est une plateforme dynamique pour la collaboration et l’innovation dans les secteurs de la santé et du bien-être. Lisbonne, avec sa culture vibrante et son statut de centre d’innovation, offre un cadre idéal pour explorer le futur de la santé, du bien-être et de la longévité. Ce sommet n’est pas seulement un événement, mais un appel à l’action pour les professionnels et les organisations engagés à améliorer la durée de vie en bonne santé et à faire progresser la science de la longévité. Pour plus d’informations et pour s’inscrire, les participants peuvent visiter le site web du sommet. Le Sommet Mondial de Médecine de Longévité est une plateforme de transformation pour l’avenir des soins de santé, rassemblant des leaders, des chercheurs et des innovateurs autour de la science de la longévité et de la médecine préventive. Source : https://www.lifespan.io/news/the-3rd-longevity-med-summit-heads-to-lisbon-in-may-2025/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=the-3rd-longevity-med-summit-heads-to-lisbon-in-may-2025

Marco Quarta et l’Innovation dans la Médecine de Longévité

Le Dr Marco Quarta dirige Rubedo, une start-up innovante dans le domaine de la longévité, axée sur l’approche sénolytique pour traiter la sénescence cellulaire. Cette entreprise est l’une des premières à avoir développé un candidat médicament sénolytique entrant en phase d’essai clinique. Marco a également cofondé Turn Biotechnologies, qui se concentre sur le reprogrammation cellulaire partielle. Depuis son jeune âge, Marco a été fasciné par le concept de longévité, développant une passion pour la science en cherchant à comprendre pourquoi les différents organismes vivent différemment. Sa trajectoire académique l’a mené à se spécialiser dans la biologie du vieillissement, travaillant sous la direction de Rita Levi-Montalcini et poursuivant un doctorat en neurosciences. À Stanford, il a contribué à la recherche en médecine régénérative et bio-ingénierie. Marco voit un avenir où les interventions anti-âge seront une combinaison de divers médicaments et thérapies ciblant différents aspects du vieillissement. Rubedo, qui tire son nom de l’alchimie, utilise une plateforme de découverte de médicaments appelée ALEMBIC, qui intègre biologie, informatique et chimie. Leur objectif est de comprendre la complexité des cellules sénescentes, qui sont hétérogènes et peuvent avoir des rôles variés. Leurs recherches se concentrent sur l’élimination des cellules pathologiques liées à l’âge. Marco a fondé l’Institut Phaedon pour promouvoir la collaboration dans ce domaine et organiser des sommets sur les sénothérapies. En 2024, Rubedo a levé 46 millions de dollars pour financer ses essais cliniques, se concentrant sur les maladies inflammatoires chroniques de la peau. Leur premier essai clinique portera sur des conditions telles que la dermatite atopique et le psoriasis, utilisant des outils avancés pour étudier la biologie du vieillissement au niveau cellulaire. Marco a récemment nommé un nouveau PDG pour aider à diriger l’innovation et la stratégie clinique de Rubedo. L’entreprise a identifié la GPX4 comme cible clé pour son candidat médicament RLS1496, qui vise à moduler la mort cellulaire ferroptotique des cellules sénescentes tout en épargnant les cellules saines. Marco souligne l’importance de la sénescence cellulaire dans le vieillissement et les maladies chroniques. Il envisage un avenir où la médecine de longévité sera intégrée dans la pratique clinique, permettant des interventions préventives basées sur des biomarqueurs de sénescence. Marco appelle à une sensibilisation accrue et à une éducation sur la médecine de longévité pour préparer la société à ce changement de paradigme médical. Source : https://www.lifespan.io/news/marco-quarta-on-cellular-senescence-in-aging/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=marco-quarta-on-cellular-senescence-in-aging

Avancées dans l’impression 3D de tissus cardiaques : vers de nouvelles thérapies pour les maladies cardiovasculaires

Les chercheurs de l’Université de Galway ont récemment fait une avancée majeure dans le domaine de l’impression 3D de tissus biologiques, en réussissant à fabriquer un tissu cardiaque humain fonctionnel. Cette recherche, publiée dans Advanced Functional Materials, présente le développement d’hydrogels bioprintés qui imitent l’environnement mécanique, électrique et biochimique du cœur. Cette avancée est essentielle pour créer des tissus viables destinés aux applications régénératives et au développement de médicaments, et représente un pas important vers des thérapies cardiaques spécifiques aux patients. La maladie cardiaque est une des principales causes de mortalité dans le monde, et le manque de cœurs donneurs souligne l’urgence de solutions alternatives. La création de tissus cardiaques fonctionnels pourrait non seulement faire progresser la recherche sur les affections cardiaques, mais aussi offrir de futures options thérapeutiques. L’équipe a utilisé des techniques d’impression biographique par extrusion pour créer des hydrogels structurés destinés à soutenir la croissance des cellules cardiaques. Le bioencre utilisé mime de près les propriétés de la matrice extracellulaire, permettant la création de constructions tissulaires présentant à la fois une intégrité mécanique et une fonction biologique. Les résultats montrent que le tissu bioprinté présente des contractions synchronisées ainsi qu’une compatibilité avec la survie cellulaire à long terme, suggérant que l’impression biographique pourrait éventuellement mener à des thérapies spécifiques aux patients pour les maladies cardiovasculaires. L’innovation réside non seulement dans la capacité à répliquer les structures du tissu cardiaque, mais aussi à garantir leur fonctionnalité. Les approches conventionnelles d’impression biographique se concentrent souvent sur la reproduction de la forme finale des organes, sans tenir compte des transformations dynamiques survenant durant le développement embryonnaire. Les chercheurs de Galway ont introduit une méthode d’impression biographique innovante qui intègre ces comportements de changement de forme essentiels. L’étude, dirigée par Ankita Pramanick, candidate au doctorat à l’Université de Galway, a utilisé une plateforme nouvelle permettant d’imprimer des tissus capables de morphing de forme programmable, influencé par les forces générées par les cellules. Les résultats ont montré que l’amélioration du morphing de forme augmentait la maturité structurelle et fonctionnelle des tissus cardiaques bioprintés. Les constructions bioprintées ont été évaluées pour leur comportement contractile, leur viabilité cellulaire et leur expression moléculaire, montrant que les tissus pouvaient se contracter de manière synchronisée, un aspect essentiel du tissu cardiaque fonctionnel. L’étude a également démontré que les forces générées par les cellules pouvaient influencer le morphing des tissus bioprintés, ce qui a des implications importantes pour la recherche et la thérapie cardiaque. Les résultats suggèrent que des approches similaires pourraient être appliquées à d’autres organes, ouvrant ainsi la voie à des avancées dans le traitement de maladies variées. Cependant, malgré ces résultats prometteurs, des défis subsistent avant que les tissus cardiaques bioprintés ne puissent être utilisés dans un cadre thérapeutique. L’intégration avec les tissus natifs, la montée en échelle de la production pour répondre aux demandes cliniques et les obstacles réglementaires nécessiteront des recherches et des développements supplémentaires. Les chercheurs soulignent que, même s’ils sont encore loin d’imprimer des tissus fonctionnels pouvant être implantés chez l’humain, cette avancée les rapproche de la génération d’organes bioprintés fonctionnels, avec des applications potentielles larges en médecine cardiovasculaire. En somme, cette étude illustre le potentiel transformateur de l’impression 3D dans le domaine médical et ouvre des perspectives passionnantes pour le futur de la médecine régénérative. Source : https://longevity.technology/news/researchers-achieve-bioprinting-milestone-with-functional-human-heart-tissue/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=researchers-achieve-bioprinting-milestone-with-functional-human-heart-tissue

Exploration de la longévité : Les Innovations de Rubedo et la Vision du Dr. Marco Quarta

Le Dr. Marco Quarta dirige une start-up innovante dans le domaine de la longévité, Rubedo, qui se concentre sur l’approche sénolytique pour traiter la sénescence cellulaire. Rubedo a élaboré des méthodes ingénieuses pour faire face à l’hétérogénéité des cellules sénescentes et est parmi les premiers à tester son candidat médicament sénolytique dans des essais cliniques. Marco a également co-fondé Turn Biotechnologies, une entreprise axée sur le reprogrammation cellulaire partielle, car il envisage l’avenir des interventions anti-âge comme une combinaison de plusieurs médicaments et thérapies qui ciblent divers aspects du vieillissement. La passion de Marco pour la longévité a commencé dès son jeune âge, inspiré par sa curiosité scientifique et le désir de comprendre pourquoi les organismes vivent différemment. Avec une formation en biologie du vieillissement et un doctorat en neurosciences, il a travaillé sur des problématiques complexes liées à la régénération et au vieillissement au Stanford Research Center. Il a dirigé des recherches sur la médecine régénérative et la bio-ingénierie, ce qui a conduit à la création de Turn Bio, où il explore le potentiel de la reprogrammation cellulaire pour inverser les effets du vieillissement. Marco souligne que la sénescence cellulaire joue un rôle clé dans les maladies chroniques et que le ciblage des cellules sénescentes pourrait offrir de nouvelles opportunités thérapeutiques. Avec Rubedo, il vise à développer des traitements qui non seulement éliminent les cellules pathologiques, mais restaurent également la fonction cellulaire normale. L’entreprise a récemment levé des fonds pour démarrer des essais cliniques sur des maladies cutanées inflammatoires, avec un accent sur la sécurité et l’efficacité des traitements. Marco a également fondé l’Institut Phaedon pour promouvoir la collaboration dans le domaine de la longévité et organiser des sommets sur la sénothérapie. Il discute des défis rencontrés par d’autres essais cliniques sénolytiques et l’importance de tirer des leçons des échecs passés. Marco envisage un avenir où la médecine de longévité impliquera des traitements personnalisés pour prévenir les maladies liées à l’âge, tout en soulignant la nécessité d’une sensibilisation et d’une éducation sur ce sujet. Il aspire à créer un écosystème collaboratif qui favorise l’innovation et la rigueur scientifique dans la recherche sur la longévité. Source : https://www.lifespan.io/news/marco-quarta-on-cellular-senescence-in-aging/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=marco-quarta-on-cellular-senescence-in-aging

Avancées dans l’impression biotique 3D pour le traitement des maladies cardiaques

Les chercheurs de l’Université de Galway ont réalisé une avancée significative dans le domaine de l’impression biotique 3D en fabriquant avec succès des tissus cardiaques humains fonctionnels. Leur étude, publiée dans la revue Advanced Functional Materials, décrit le développement d’hydrogels bioprintés qui imitent l’environnement mécanique, électrique et biochimique du cœur, une étape essentielle pour créer des tissus viables destinés à la régénération et au développement de médicaments. Cette recherche est particulièrement pertinente face à la crise mondiale des maladies cardiaques, qui restent l’une des principales causes de mortalité, et à la pénurie de cœurs donneurs. En présentant des tissus cardiaques fonctionnels, les chercheurs visent à répondre à un besoin pressant et à offrir de nouvelles options thérapeutiques. L’approche de l’équipe repose sur l’utilisation de techniques d’extrusion pour créer des hydrogels structurés qui soutiennent la croissance cellulaire cardiaque. Les bioinks utilisés imitent les propriétés de la matrice extracellulaire, permettant la création de constructions tissulaires qui présentent à la fois une intégrité mécanique et une fonction biologique. Les tissus bioprintés ont démontré des contractions synchronisées et une compatibilité avec la survie cellulaire à long terme, suggérant que l’impression biotique pourrait éventuellement mener à des thérapies spécifiques aux patients pour les maladies cardiovasculaires. Un aspect innovant de cette recherche est l’intégration de comportements de morphing dynamique, qui sont cruciaux pour le développement normal du cœur. En utilisant une méthode d’impression biotique intégrée, les chercheurs ont pu imprimer des tissus qui subissent un morphing de forme prédictible et programmable, basé sur les forces générées par les cellules. Cette découverte pourrait transformer les résultats fonctionnels et la maturation des tissus imprimés. Les résultats montrent que le morphing des tissus peut influencer le comportement contractile et l’alignement cellulaire, ce qui est essentiel pour la médecine régénérative et la modélisation des maladies. Les applications immédiates de ces tissus cardiaques bioprintés incluent le dépistage des médicaments, offrant une alternative plus précise et éthique aux modèles animaux. À long terme, cette technologie pourrait contribuer à résoudre la crise de pénurie d’organes, bien que des défis subsistent, notamment l’intégration des constructions bioprintées avec des tissus natifs et la mise à l’échelle de la production pour répondre aux besoins cliniques. Malgré ces obstacles, les chercheurs sont optimistes quant à l’avenir de l’impression biotique dans la médecine cardiovasculaire. De plus, les techniques développées ont des implications au-delà de la cardiologie, permettant la conception de tissus fonctionnels pour d’autres organes, ce qui pourrait révolutionner le traitement de diverses maladies. L’interdisciplinarité de ce travail souligne le potentiel de l’impression biotique 3D comme technologie transformative en médecine. Source : https://longevity.technology/news/researchers-achieve-bioprinting-milestone-with-functional-human-heart-tissue/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=researchers-achieve-bioprinting-milestone-with-functional-human-heart-tissue

3ème Sommet Mondial de la Médecine de la Longévité à Lisbonne

Le 3ème Sommet Mondial de la Médecine de la Longévité se tiendra à Lisbonne, au Portugal, du 6 au 8 mai 2025. Cet événement phare dans le domaine de la médecine de la longévité, du bien-être et de l’innovation en santé promet un programme élargi avec des sujets de pointe, des intervenants de renommée mondiale et une journée pré-sommet dédiée à l’avenir des espaces de bien-être. Le 6 mai, les participants pourront explorer des thèmes tels que la longévité, l’hospitalité et les cliniques. Avec plus de 60 exposants et 70 intervenants, ce sommet est incontournable pour les professionnels de la santé et du bien-être. Les participants auront accès à des innovations de pointe, à des idées d’experts et à l’opportunité de se connecter avec des leaders mondiaux qui façonnent l’avenir de la médecine préventive. Parmi les points forts, les avancées en médecine régénérative, diagnostics basés sur l’IA, cliniques de longévité et innovations en matière de bien-être seront explorés. Des intervenants de renom, tels que le Dr Robert Hariri, Anna Bjurstam, et Simone Gibertoni, partageront leurs connaissances sur des sujets cruciaux comme les thérapies cellulaires, l’intégration de la pratique clinique avec des services de bien-être, et l’investissement dans des start-ups de longévité. Une application dédiée, l’Application du Sommet de Médecine de la Longévité, facilitera la mise en réseau et la collaboration entre les participants, permettant de planifier des rencontres et d’interagir avec des pairs. Le sommet mettra également en avant des solutions et technologies révolutionnant les secteurs de la santé et du bien-être. Lisbonne, avec son histoire riche et sa culture vibrante, constitue le cadre idéal pour cet événement, qui appelle à l’action des professionnels et organisations visant à améliorer l’espérance de vie en bonne santé. La mission du Sommet est de transformer l’avenir des soins de santé, offrant une plateforme pour la collaboration, l’innovation et des idées exploitables. Source : https://www.lifespan.io/news/the-3rd-longevity-med-summit-heads-to-lisbon-in-may-2025/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=the-3rd-longevity-med-summit-heads-to-lisbon-in-may-2025

Dr. Marco Quarta : Pionnier de la Médecine de la Longévité et de l’Approche Sénolytique

Dr. Marco Quarta dirige Rubedo, une start-up innovante dans le domaine de la longévité, qui utilise l’approche sénolytique pour lutter contre la sénescence cellulaire. La société a développé des méthodes astucieuses pour faire face à l’hétérogénéité des cellules sénescentes et est parmi les premières à faire entrer un candidat médicament sénolytique dans des essais cliniques. Co-fondateur de Turn Biotechnologies, il prône une vision combinée de diverses thérapies pour lutter contre le vieillissement. Sa passion pour la longévité débute à un jeune âge, avec une curiosité sur les raisons pour lesquelles les organismes vivent différemment. Il a poursuivi des études en biologie du vieillissement, neurosciences et médecine régénérative, travaillant avec des pionniers dans le domaine comme Thomas Rando à Stanford. Dr. Quarta souligne l’importance de comprendre les cellules sénescentes, qui sont des cellules pathologiques liées à l’âge, et leur hétérogénéité. Il a fondé l’Institut Phaedon pour promouvoir la recherche et collaborer entre les acteurs académiques et industriels. En 2024, Rubedo a levé 46 millions de dollars pour développer ses programmes, notamment dans le domaine dermatologique avec des essais cliniques sur des maladies cutanées inflammatoires. Le composé clé de Rubedo cible GPX4, un modulateur qui pourrait traiter les cellules sénescentes tout en épargnant les cellules saines. Dr. Quarta explique que la sénescence cellulaire est un élément central du vieillissement, influençant des maladies chroniques, et qu’il est crucial d’apprendre des essais cliniques pour affiner les approches thérapeutiques. Il envisage un avenir où la médecine de la longévité nécessitera des interventions combinées et personnalisées, tout en insistant sur la nécessité d’une sensibilisation sociétale à ces nouvelles thérapies. Source : https://www.lifespan.io/news/marco-quarta-on-cellular-senescence-in-aging/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=marco-quarta-on-cellular-senescence-in-aging

Avancées dans la bio-impression 3D : Vers de nouvelles approches pour le traitement des maladies cardiaques

Les chercheurs de l’Université de Galway ont réalisé une avancée majeure dans le domaine de la bio-impression 3D en fabriquant avec succès des tissus cardiaques humains fonctionnels. Leur recherche, publiée dans ‘Advanced Functional Materials’, décrit le développement d’hydrogels bio-imprimés qui imitent l’environnement mécanique, électrique et biochimique du cœur. Cela représente une étape essentielle pour créer des tissus viables pour des applications régénératives et le développement de médicaments, en offrant des thérapies cardiaques spécifiques aux patients. La maladie cardiaque étant l’une des principales causes de mortalité dans le monde et avec une pénurie significative de cœurs donneurs, la création de tissus cardiaques fonctionnels répond à un besoin pressant, permettant d’avancer la recherche sur les conditions cardiaques tout en offrant de futures options thérapeutiques. L’approche des chercheurs repose sur des techniques de bio-impression par extrusion, créant des hydrogels structurés soutenant la croissance cellulaire cardiaque, et le bio-encre utilisé imitant étroitement les propriétés de la matrice extracellulaire. Les tissus bio-imprimés ont démontré des contractions synchronisées et une compatibilité avec la survie cellulaire à long terme, suggérant un potentiel pour des thérapies spécifiques aux patients. La percée se situe non seulement dans la capacité à reproduire les structures des tissus cardiaques, mais aussi à assurer leur fonctionnalité. Contrairement aux approches conventionnelles qui se concentrent sur la forme finale des organes, les chercheurs de Galway ont introduit une méthode d’impression qui intègre des comportements de transformation de forme essentiels. Ankita Pramanick, auteur principal de l’étude, a déclaré que leur travail introduit une nouvelle plateforme utilisant l’impression biographique intégrée pour produire des tissus capables de morphing de forme programmable et prévisible, ce qui améliore la maturité structurelle et fonctionnelle des tissus cardiaques imprimés. Les constructions bio-imprimées ont été évaluées pour leur comportement contractile, leur viabilité cellulaire et leur expression moléculaire, montrant que ces tissus peuvent se contracter de manière synchrone, une caractéristique essentielle des tissus cardiaques fonctionnels. Les résultats indiquent également que les forces générées par les cellules peuvent conduire à la morphologie des tissus bio-imprimés, influencée par des facteurs tels que la géométrie d’impression initiale et la rigidité de la bio-encre. Le professeur Andrew Daly a affirmé que cette recherche montre que permettre aux tissus cardiaques bio-imprimés de subir des changements de forme améliore leur force et leur rapidité de battement, un résultat prometteur pour surmonter le défi de la maturité limitée des tissus bio-imprimés. L’une des applications immédiates des tissus cardiaques bio-imprimés est leur utilisation potentielle dans le dépistage de médicaments, offrant une alternative plus précise et éthique aux modèles actuels basés sur des tissus animaux. À long terme, cette technologie pourrait contribuer à résoudre la crise de pénurie d’organes, bien que l’impression d’organes complets reste un objectif lointain. Les chercheurs soulignent que la scalabilité et la reproductibilité seront des défis clés à surmonter pour adapter la technologie aux applications cliniques. Malgré des résultats prometteurs, des obstacles importants subsistent avant que les tissus cardiaques bio-imprimés puissent être utilisés en thérapie, notamment l’intégration avec des tissus natifs et la montée en échelle de la production. Les implications de cette recherche vont au-delà de la cardiologie, car les techniques développées pourraient être appliquées pour créer des tissus fonctionnels pour d’autres organes, ouvrant la voie à des avancées dans le traitement de maladies variées. L’interdisciplinarité de ce travail, combinant des matériaux de pointe et des sciences biologiques, souligne le potentiel de la bio-impression 3D en tant que technologie transformative en médecine. Source : https://longevity.technology/news/researchers-achieve-bioprinting-milestone-with-functional-human-heart-tissue/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=researchers-achieve-bioprinting-milestone-with-functional-human-heart-tissue

3ème Sommet Mondial sur la Médecine de la Longévité à Lisbonne en 2025

Le 3ème Sommet Mondial sur la Médecine de la Longévité se tiendra à Lisbonne, au Portugal, du 6 au 8 mai 2025. Cet événement de premier plan dans le domaine de la médecine de la longévité, du bien-être et de l’innovation en santé prévoit une agenda élargie, incluant des sujets révolutionnaires, des conférenciers de renommée mondiale et une journée pré-sommet exclusivement dédiée à l’avenir des espaces de bien-être. Le 6 mai, les participants auront l’occasion d’explorer comment la longévité, l’hospitalité et les cliniques peuvent être intégrées pour favoriser un meilleur cadre de vie. Avec plus de 60 exposants et 70 conférenciers, le Sommet 2025 est un événement incontournable pour les professionnels de la santé, du bien-être et de la longévité. Les participants auront accès à des innovations de pointe, des perspectives d’experts reconnus et la possibilité de se connecter avec des leaders mondiaux qui façonnent l’avenir de la médecine préventive. Parmi les points forts, le Sommet mettra en avant des sujets à la pointe de la technologie, tels que les avancées en médecine régénérative, les diagnostics alimentés par l’IA, et l’innovation en matière de bien-être. Les intervenants de classe mondiale incluent des figures notables telles que le Dr Robert Hariri, qui abordera les thérapies cellulaires pour la performance humaine et la longévité, ainsi qu’Anna Bjurstam, qui discutera de l’intégration des pratiques cliniques avec les services de bien-être. Le Sommet introduira également une application dédiée pour faciliter le réseautage et la mise en relation entre les participants. Avec plus de 60 exposants, l’espace d’exposition du Sommet mettra en lumière des solutions, produits et technologies innovants qui transforment les secteurs de la santé et du bien-être. Lisbonne, avec son histoire riche et sa culture vibrante, est le cadre idéal pour cet événement. Le 3ème Sommet sur la Médecine de la Longévité est un appel à l’action pour les professionnels et organisations engagés à améliorer l’espérance de vie et à faire progresser la science de la longévité. Pour plus d’informations et pour s’inscrire, il est possible de visiter le site web du sommet ou de contacter l’organisation par email. Source : https://www.lifespan.io/news/the-3rd-longevity-med-summit-heads-to-lisbon-in-may-2025/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=the-3rd-longevity-med-summit-heads-to-lisbon-in-may-2025