Étiquette : médecine régénérative

La quête de la longévité : innovations et défis dans le domaine de la sénolyse

Le Dr. Marco Quarta dirige Rubedo, une start-up innovante dans le domaine de la longévité, qui se concentre sur l’approche sénolytique pour traiter la sénescence cellulaire. Il a co-fondé Turn Biotechnologies, une entreprise axée sur le reprogrammation cellulaire partielle. Depuis son enfance, Marco est passionné par la science et la longévité, inspiré par le désir de comprendre les mécanismes de la vie. Il a fondé Rubedo pour développer des outils permettant de comprendre la diversité des cellules sénescentes et a récemment lancé des essais cliniques pour son candidat médicamenteux sénolytique. Son parcours académique l’a conduit de ses études de biologie du vieillissement à des recherches sur la régénération tissulaire à Stanford, où il a dirigé un centre de recherche en médecine régénérative. Marco souligne l’importance de combiner différentes stratégies thérapeutiques pour traiter les maladies liées à l’âge, en s’inspirant des méthodes oncologiques. Son entreprise a récemment levé 46 millions de dollars pour développer des traitements pour des maladies cutanées inflammatoires. Rubedo utilise une plateforme de découverte de médicaments, ALEMBIC, qui intègre des technologies de séquençage et d’analyse multi-omique pour identifier les types de cellules sénescentes et les cibles potentielles. La société a également établi un partenariat avec Beiersdorf pour développer des soins anti-âge. Marco discute des défis et des opportunités dans le domaine de la sénolyse, soulignant que bien que des échecs aient eu lieu dans les essais cliniques, le potentiel des thérapies sénolytiques reste prometteur. Il considère que les cellules sénescentes jouent un rôle clé dans de nombreuses maladies chroniques et que les thérapies sénolytiques pourraient être une partie essentielle de la médecine de longévité. Marco envisage un futur où la médecine préventive pourrait identifier et traiter les cellules sénescentes avant le développement de maladies, améliorant ainsi la qualité de vie en vieillissant. Il met également l’accent sur la nécessité d’une sensibilisation et d’une éducation pour préparer la société à cette évolution de la médecine. Source : https://www.lifespan.io/news/marco-quarta-on-cellular-senescence-in-aging/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=marco-quarta-on-cellular-senescence-in-aging

Avancées dans la bioprinting 3D : Vers un traitement innovant des maladies cardiaques

Des chercheurs de l’Université de Galway ont réalisé une avancée majeure dans le domaine de la bioprinting 3D, en réussissant à fabriquer des tissus cardiaques humains fonctionnels. Leur recherche, publiée dans ‘Advanced Functional Materials’, présente le développement d’hydrogels bioprintés qui imitent l’environnement mécanique, électrique et biochimique du cœur, ce qui est crucial pour créer des tissus viables pour des applications régénératives et le développement de médicaments. Avec une demande croissante pour des solutions alternatives face à la pénurie de cœurs donneurs, la création de tissus cardiaques fonctionnels répond à ce besoin non satisfait et ouvre la voie à des avancées dans la recherche sur les maladies cardiaques et les options thérapeutiques futures. L’équipe a utilisé des techniques de bioprinting par extrusion pour créer des hydrogels structurés favorisant la croissance des cellules cardiaques. Les résultats ont montré que les tissus bioprintés pouvaient se contracter de manière synchronisée et préserver la viabilité cellulaire à long terme, ce qui suggère que le bioprinting pourrait mener à des thérapies spécifiques aux patients pour les maladies cardiovasculaires. L’innovation réside non seulement dans la capacité à reproduire les structures des tissus cardiaques, mais aussi à garantir leur fonctionnalité. Contrairement aux méthodes conventionnelles qui se concentrent sur la forme finale des organes, les chercheurs de Galway ont introduit une méthode de bioprinting qui incorpore des comportements de morphing de forme essentiels. Cela signifie que les tissus bioprintés peuvent changer de forme de manière programmable, ce qui améliore leur maturité structurelle et fonctionnelle. Les résultats des évaluations ont démontré un comportement contractile, une viabilité cellulaire, et une expression moléculaire satisfaisante, ce qui est crucial pour des applications en médecine régénérative et pour créer des modèles précis d’études de maladies comme les cardiomyopathies. En outre, l’équipe a développé un modèle de calcul capable de prédire le comportement de morphing des tissus. Cependant, malgré ces avancées prometteuses, de nombreux défis demeurent avant que les tissus cardiaques bioprintés ne puissent être utilisés en thérapie. L’intégration avec les tissus natifs, la mise à l’échelle de la production, et le respect des régulations sont des aspects qui nécessitent encore des recherches approfondies. Bien que la bioprinting d’organes complets soit un objectif lointain, ces avancées en matière de tissus fonctionnels constituent un précurseur vital. La capacité à simuler des comportements de changement de forme à la fois au niveau cellulaire et tissulaire pourrait transformer l’ingénierie des organes, ouvrant ainsi des possibilités passionnantes dans le domaine de la bioprinting d’organes et ayant des implications au-delà de la cardiologie, notamment pour d’autres organes affectés par des maladies comme l’insuffisance hépatique ou le diabète. Source : https://longevity.technology/news/researchers-achieve-bioprinting-milestone-with-functional-human-heart-tissue/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=researchers-achieve-bioprinting-milestone-with-functional-human-heart-tissue

3ème Sommet Mondial sur la Médecine de la Longévité à Lisbonne

Le 3ème Sommet Mondial sur la Médecine de la Longévité se tiendra à Lisbonne, au Portugal, du 6 au 8 mai 2025. Cet événement phare dans le domaine de la médecine de la longévité, du bien-être et de l’innovation en santé, promet une agenda enrichie avec des sujets révolutionnaires et des intervenants de renommée mondiale. La journée précédant le sommet sera consacrée à l’avenir des espaces de bien-être, avec un accent sur la longévité, l’hospitalité et les cliniques. Le sommet accueillera plus de 60 exposants et plus de 70 intervenants, offrant aux professionnels de la santé et du bien-être l’accès à des innovations de pointe, des informations d’experts et la possibilité de réseauter avec des leaders mondiaux qui façonnent l’avenir de la médecine préventive. Parmi les points forts, les participants pourront explorer des sujets avancés comme la médecine régénérative, les diagnostics pilotés par l’intelligence artificielle et les cliniques de longévité. Plusieurs intervenants de renom, tels que le Dr Robert Hariri, Anna Bjurstam et Gordan Lauc, partageront leurs expertises sur des thèmes variés allant des thérapies cellulaires aux glycans en santé personnalisée. Le sommet introduira également une application dédiée pour faciliter le réseautage et la mise en relation entre les participants. Lisbonne, avec sa riche histoire et sa culture vibrante, est un cadre idéal pour discuter de l’avenir de la santé et du bien-être. Le 3ème Sommet sur la Médecine de la Longévité est donc non seulement un événement à ne pas manquer pour les professionnels impliqués dans la santé et la longévité, mais aussi un appel à l’action pour améliorer la durée de vie en bonne santé et faire avancer la science de la longévité. Pour plus d’informations et l’inscription, les intéressés peuvent visiter le site web du sommet ou contacter l’équipe d’organisation par e-mail. Source : https://www.lifespan.io/news/the-3rd-longevity-med-summit-heads-to-lisbon-in-may-2025/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=the-3rd-longevity-med-summit-heads-to-lisbon-in-may-2025

Innovation et Longévité : Le Voyage de Marco Quarta et Rubedo

Dr. Marco Quarta dirige l’une des start-up les plus fascinantes dans le domaine de la longévité, Rubedo, qui se concentre sur l’approche sénolytique pour traiter la sénescence cellulaire. Son entreprise a développé des méthodes ingénieuses pour répondre à l’hétérogénéité notoire des cellules sénescentes et est l’une des premières à introduire son candidat médicament sénolytique dans des essais cliniques. Marco est également co-fondateur de Turn Biotechnologies, une société axée sur le reprogrammation cellulaire partielle, qu’il considère comme une approche complémentaire pour les interventions anti-âge. Son parcours dans le domaine de la longévité a commencé dès l’enfance avec un profond désir de comprendre pourquoi les organismes vivent différemment et comment modifier notre durée de vie. Après des études en biologie du vieillissement, il a travaillé avec des pionniers dans le domaine et a dirigé des équipes de recherche sur la médecine régénérative. Il a fondé l’Institut Phaedon pour sensibiliser et promouvoir la rigueur scientifique dans le domaine de la longévité. En 2024, Rubedo a levé 46 millions de dollars pour financer ses essais cliniques, se concentrant sur des maladies inflammatoires chroniques de la peau. La société utilise sa plateforme ALEMBIC pour analyser les cellules sénescentes à un niveau unique, développant des traitements qui ciblent spécifiquement ces cellules pathologiques tout en épargnant les cellules saines. Marco croit fermement que la sénescence cellulaire est un facteur clé des maladies chroniques et du vieillissement. Il souligne l’importance d’une approche personnalisée dans les traitements de longévité, qui pourraient évoluer vers des interventions préventives. En fin de compte, il envisage une médecine de longévité où la compréhension des biomarqueurs de la sénescence pourrait permettre des traitements ciblés pour prévenir des maladies avant qu’elles ne se manifestent. Source : https://www.lifespan.io/news/marco-quarta-on-cellular-senescence-in-aging/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=marco-quarta-on-cellular-senescence-in-aging

Avancées dans l’impression bioprinting 3D pour le traitement des maladies cardiaques

Des chercheurs de l’Université de Galway ont réalisé une avancée significative dans le domaine de l’impression bioprinting 3D en fabriquant avec succès des tissus cardiaques humains fonctionnels. Leur recherche, publiée dans ‘Advanced Functional Materials’, met en avant le développement d’hydrogels bioprintés qui imitent l’environnement mécanique, électrique et biochimique du cœur. Cette avancée est cruciale pour créer des tissus viables à des fins régénératives et pour le développement de médicaments, et elle ouvre la voie à des thérapies cardiaques spécifiques à chaque patient. La maladie cardiaque étant l’une des principales causes de mortalité au niveau mondial, le besoin de solutions alternatives est pressant étant donné la pénurie de cœurs donneurs. La création de tissus cardiaques fonctionnels pourrait répondre à ce besoin non satisfait, offrant à la fois un moyen d’avancer dans la recherche sur les affections cardiaques et une future source d’options thérapeutiques. L’équipe a utilisé des techniques d’impression bioprinting basées sur l’extrusion pour créer des hydrogels structurés qui soutiennent la croissance des cellules cardiaques. Les bioinks utilisés imitent de près les propriétés de la matrice extracellulaire, permettant la création de constructions tissulaires présentant à la fois intégrité mécanique et fonction biologique. Les tissus bioprintés ont montré des contractions synchronisées ainsi qu’une compatibilité avec la survie cellulaire à long terme, ce qui suggère que l’impression bioprinting pourrait éventuellement mener à des thérapies spécifiques aux patients pour les maladies cardiovasculaires. L’innovation majeure réside non seulement dans la capacité à reproduire les structures tissulaires cardiaques, mais aussi à garantir leur fonctionnalité. Les approches conventionnelles d’impression bioprinting se concentrent souvent sur la reproduction de la forme finale des organes, comme le cœur, sans tenir compte des transformations dynamiques qui se produisent durant le développement embryonnaire. Par exemple, le cœur commence comme un simple tube, puis se plie et se tord pour devenir une structure complexe à quatre chambres. Ces changements morphologiques dynamiques jouent un rôle essentiel dans la croissance et la spécialisation des cellules cardiaques. Pour améliorer les méthodes conventionnelles, les chercheurs de Galway ont introduit une nouvelle méthode d’impression bioprinting qui intègre ces comportements de changement de forme essentiels. Ankita Pramanick, auteur principal de l’étude et candidate au doctorat à CÚRAM à l’Université de Galway, a déclaré que leur travail introduit une plateforme novatrice, utilisant l’impression bioprinting intégrée pour créer des tissus soumis à des changements de forme programmables et prévisibles en raison des forces générées par les cellules. Grâce à ce nouveau procédé, ils ont constaté que les changements de forme amélioraient la maturité structurelle et fonctionnelle des tissus cardiaques bioprintés. Les constructions bioprintées ont été évaluées pour leur comportement contractile, leur viabilité cellulaire et leur expression moléculaire ; les résultats ont montré que les constructions tissulaires pouvaient se contracter de manière synchrone, un signe distinctif du tissu cardiaque fonctionnel, et cette capacité est cruciale pour les applications en médecine régénérative et pour créer des modèles précis pour étudier des maladies telles que les cardiomyopathies. De plus, les chercheurs ont créé un modèle computationnel capable de prédire le comportement de morphing des tissus. Le professeur Andrew Daly, professeur associé en génie biomédical et chercheur principal financé par CÚRAM, a déclaré que leur recherche montre qu’en permettant aux tissus cardiaques bioprintés de subir des changements de forme, ils commencent à battre plus fort et plus vite. La maturité limitée des tissus bioprintés a été un défi majeur dans le domaine, donc ce résultat a été excitant pour eux. Cela permet de créer des tissus cardiaques bioprintés plus avancés, capables de mûrir dans un environnement de laboratoire, répliquant mieux la structure du cœur humain adulte. Ils sont impatients de continuer à développer cette approche de morphing de forme dans leur projet de recherche financé par le Conseil européen de la recherche, axé sur l’impression bioprinting inspirée du développement. L’un des usages immédiats des tissus cardiaques bioprintés est leur potentiel pour le dépistage de médicaments. Les modèles actuels pour tester les médicaments cardiaques reposent souvent sur des tissus animaux, qui ne répliquent pas entièrement la biologie cardiaque humaine. La capacité de produire des constructions tissulaires humaines offre une alternative plus précise et éthique, permettant aux entreprises pharmaceutiques de tester la sécurité et l’efficacité des traitements avec plus de précision. À long terme, cette technologie pourrait contribuer à résoudre la crise de pénurie d’organes. Bien que l’impression bioprinting d’organes complets reste un objectif lointain, les progrès dans la fabrication de tissus fonctionnels comme ceux-ci sont un précurseur essentiel. Les chercheurs soulignent que la scalabilité et la reproductibilité seront des défis clés à relever alors qu’ils avancent, notamment pour adapter la technologie aux applications cliniques. Malgré ces résultats prometteurs, il reste des obstacles significatifs à surmonter avant que les tissus cardiaques bioprintés ne puissent être utilisés dans un cadre thérapeutique. Assurer l’intégration des constructions bioprintées avec les tissus natifs, augmenter la production pour répondre aux demandes cliniques et faire face aux obstacles réglementaires nécessiteront toutes des recherches et développements supplémentaires. Le professeur Daly a noté qu’il reste encore un long chemin à parcourir avant que des tissus fonctionnels bioprintés puissent être implantés chez les humains. Il faudra intégrer des vaisseaux sanguins pour maintenir de grands constructs en vie dans le laboratoire, mais en fin de compte, cette avancée nous rapproche de la génération d’organes bioprintés fonctionnels, qui auraient des applications larges en médecine cardiovasculaire. En plus de développer une plateforme d’impression bioprinting novatrice, l’équipe a pu simuler des comportements de changement de forme à la fois au niveau cellulaire et tissulaire en utilisant des modèles qui imitent la façon dont les fibres au sein du tissu se réorganisent. Cette capacité à concevoir, prédire et programmer des changements de forme en 4D dans les tissus bioprintés pourrait transformer l’ingénierie des organes. Plutôt que de se concentrer uniquement sur la recréation de la forme finale d’un organe, cette approche met l’accent sur l’imitation des processus de développement naturel qui guident sa forme, sa structure et sa fonction. Ce changement ouvre des possibilités passionnantes dans le domaine de l’impression bioprinting d’organes. Bien que cette étude se concentre sur le tissu cardiaque, les techniques développées ont des implications plus larges pour le domaine de la médecine régénérative. Des approches similaires pourraient être appliquées pour créer des tissus fonctionnels pour d’autres organes, ouvrant la voie à des avancées dans le traitement de maladies allant de l’insuffisance hépatique au diabète. La nature interdisciplinaire de ce travail, combinant des matériaux de pointe et des sciences biologiques, souligne le potentiel de l’impression bioprinting 3D comme technologie transformative en médecine. Source : https://longevity.technology/news/researchers-achieve-bioprinting-milestone-with-functional-human-heart-tissue/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=researchers-achieve-bioprinting-milestone-with-functional-human-heart-tissue

Les Innovations de la Longévité : Le Voyage du Dr. Marco Quarta avec Rubedo et Turn Biotechnologies

Le Dr. Marco Quarta dirige l’une des start-ups les plus fascinantes dans le domaine de la longévité, Rubedo, qui se concentre sur l’approche sénolytique pour faire face à la sénescence cellulaire. Cette entreprise a développé des méthodes ingénieuses pour gérer l’hétérogénéité des cellules sénescentes et est parmi les premières à avoir amené un candidat médicament sénolytique dans des essais cliniques. Marco a également cofondé Turn Biotechnologies, une société axée sur le reprogrammation cellulaire partielle, car il envisage l’avenir des interventions anti-âge comme une combinaison de divers médicaments et thérapies s’attaquant à différents aspects du vieillissement. Sa passion pour le domaine de la longévité a commencé à l’âge de cinq ans, inspirée par sa curiosité scientifique et son désir de comprendre pourquoi les organismes vivent différemment. Ses études, qui ont débuté dans un laboratoire sous la direction de la lauréate du Prix Nobel Rita Levi-Montalcini, l’ont conduit à explorer la biologie du vieillissement, la médecine régénérative et l’ingénierie biologique. À Stanford, il a travaillé avec des pionniers dans le domaine de la régénération tissulaire, ce qui a servi de fondement pour ses startups. Rubedo et Turn Bio proposent des stratégies complémentaires pour éliminer les cellules pathologiques et restaurer la biologie utile des cellules vieillissantes. Le Dr Quarta a fondé l’Institut Phaedon pour sensibiliser et améliorer la rigueur scientifique dans ce domaine. En 2024, Rubedo a levé 46 millions de dollars et a signé un partenariat avec Beiersdorf pour développer des soins anti-âge. Leur première cible, GPX4, est un modulateur qui vise des vulnérabilités spécifiques dans les cellules sénescentes. Le Dr Quarta évoque également l’importance de comprendre l’hétérogénéité des cellules sénescentes et de développer des thérapies personnalisées. Il souligne que la sénescence cellulaire est un moteur clé des maladies chroniques et du vieillissement, et que des approches combinées seront nécessaires pour un traitement efficace. La vision future de la médecine de la longévité implique la prévention et la personnalisation des traitements en fonction des biomarqueurs de sénescence, nécessitant une sensibilisation et une éducation à grande échelle pour les médecins et les patients. Source : https://www.lifespan.io/news/marco-quarta-on-cellular-senescence-in-aging/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=marco-quarta-on-cellular-senescence-in-aging

Avancées dans l’impression 3D de tissus cardiaques fonctionnels : une nouvelle ère pour le traitement des maladies cardiaques

Les chercheurs de l’Université de Galway ont réalisé une avancée significative dans le domaine de l’impression 3D de tissus biologiques en fabriquant avec succès des tissus cardiaques humains fonctionnels. Leur étude, publiée dans la revue Advanced Functional Materials, présente le développement de hydrogels bioprintés qui imitent l’environnement mécanique, électrique et biochimique du cœur. Cette avancée est cruciale pour la création de tissus viables destinés à des applications régénératives et au développement de médicaments, et pourrait ouvrir la voie à des thérapies cardiaques spécifiques aux patients. La maladie cardiaque étant l’une des principales causes de mortalité dans le monde, la création de tissus cardiaques fonctionnels répond à un besoin pressant, en offrant des options de recherche avancées sur les conditions cardiaques et une future source de traitements. L’équipe a utilisé des techniques d’impression basées sur l’extrusion pour créer des hydrogels structurés destinés à soutenir la croissance des cellules cardiaques. Le bio-ink utilisé a été conçu pour reproduire les propriétés de la matrice extracellulaire, permettant la création de constructions tissulaires montrant à la fois intégrité mécanique et fonction biologique. Les tissus bioprintés ont démontré des contractions synchronisées ainsi qu’une compatibilité avec la survie cellulaire à long terme, ce qui suggère que l’impression 3D pourrait mener à des thérapies spécifiques pour les maladies cardiovasculaires. Cette percée repose non seulement sur la capacité à reproduire les structures tissulaires cardiaques, mais aussi sur l’assurance de leur fonctionnalité. Contrairement aux approches bioprintées conventionnelles qui se concentrent sur la forme finale des organes, les chercheurs de Galway ont introduit une méthode innovante qui intègre des comportements de changement de forme essentiels. En utilisant une impression 3D intégrée, ils ont pu créer des tissus qui subissent des transformations de forme programmables et prévisibles, entraînées par des forces générées par les cellules. Les résultats ont montré que ces transformations de forme améliorent la maturité structurelle et fonctionnelle des tissus cardiaques bioprintés. Les constructions bioprintées ont été évaluées pour leur comportement contractile, leur viabilité cellulaire et leur expression moléculaire, les résultats montrant que les constructions tissulaires pouvaient se contracter de manière synchrone, une caractéristique essentielle des tissus cardiaques fonctionnels. L’étude a montré que les forces générées par les cellules pouvaient conduire à la morphologie des tissus bioprintés, la mesure de ces transformations étant influencée par des facteurs tels que la géométrie d’impression initiale et la rigidité du bio-ink. L’équipe de recherche a également créé un modèle computationnel capable de prédire le comportement de morphologie des tissus. Bien que cette recherche offre des perspectives prometteuses, des défis significatifs subsistent avant que les tissus cardiaques bioprintés puissent être utilisés dans un cadre thérapeutique. Assurer l’intégration des constructions bioprintées avec les tissus natifs, augmenter la production pour répondre aux besoins cliniques et surmonter les obstacles réglementaires nécessiteront des recherches et un développement supplémentaires. Malgré ces défis, cette avancée nous rapproche de la génération d’organes bioprintés fonctionnels, qui auraient des applications larges en médecine cardiovasculaire. En outre, bien que l’étude se concentre sur les tissus cardiaques, les techniques développées pourraient avoir des implications plus larges pour le domaine de la médecine régénérative, ouvrant la voie à la création de tissus fonctionnels pour d’autres organes et au traitement de maladies telles que l’insuffisance hépatique ou le diabète. Source : https://longevity.technology/news/researchers-achieve-bioprinting-milestone-with-functional-human-heart-tissue/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=researchers-achieve-bioprinting-milestone-with-functional-human-heart-tissue

Sommet Mondial de la Médecine de Longévité 2025 à Lisbonne

Le Global 3rd Longevity Med Summit est l’événement phare mondial dans le domaine de la médecine de longévité, du bien-être et de l’innovation en santé, qui se déroulera à Lisbonne, au Portugal, du 6 au 8 mai 2025. Cette édition promet un programme enrichi avec des sujets novateurs, des conférenciers de renommée mondiale et une journée pré-sommet exclusive axée sur l’avenir des espaces de bien-être, qui se tiendra le 6 mai. Avec plus de 60 exposants et 70 intervenants, cet événement est incontournable pour les professionnels de la santé, du bien-être et de la longévité. Les participants auront accès à des innovations de pointe, des perspectives d’experts reconnus, et l’opportunité de se connecter avec des leaders mondiaux qui façonnent l’avenir de la médecine préventive. Les points forts incluent des avancées en médecine régénérative, des diagnostics pilotés par l’intelligence artificielle, des cliniques de longévité et des innovations en matière de bien-être. Parmi les conférenciers de premier plan se trouvent le Dr Robert Hariri, qui discutera des thérapies cellulaires pour la performance humaine et la longévité, et Anna Bjurstam, qui parlera de l’intégration de la pratique clinique avec les services de bien-être. Le sommet met également en avant des discussions sur l’intégration de la longévité, du bien-être et de l’hospitalité dans des projets immobiliers, créant des environnements favorables à la santé. De plus, le sommet introduit l’application Longevity Med Summit pour faciliter le réseautage et la mise en relation entre participants. Lisbonne, avec son histoire riche et sa culture vivante, constitue un cadre idéal pour explorer l’avenir de la santé, du bien-être et de la longévité. Le 3ème Longevity Med Summit n’est pas seulement un événement, mais un appel à l’action pour les professionnels et les organisations dévoués à améliorer la durée de vie en bonne santé et à faire avancer la science de la longévité. Avec son programme complet, son accent sur la collaboration et son application innovante, le sommet est l’événement incontournable de 2025 pour ceux qui sont à la pointe de la santé et de la médecine de longévité. Source : https://www.lifespan.io/news/the-3rd-longevity-med-summit-heads-to-lisbon-in-may-2025/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=the-3rd-longevity-med-summit-heads-to-lisbon-in-may-2025

Rubedo et la Quête de la Longévité : Approches Innovantes et Défis de la Médecine Sénolytique

Le Dr. Marco Quarta dirige une start-up innovante dans le domaine de la longévité, Rubedo, qui se concentre sur l’approche sénolytique pour traiter la sénescence cellulaire. Rubedo a développé des méthodes ingénieuses pour faire face à l’hétérogénéité des cellules sénescentes et est l’une des premières entreprises à introduire son candidat médicament sénolytique dans des essais cliniques. Marco a également cofondé Turn Biotechnologies, qui se concentre sur le reprogrammation cellulaire partielle, considérant que l’avenir des interventions anti-âge réside dans des combinaisons de médicaments et thérapies. Passionné par la longévité depuis son enfance, Marco a été inspiré par la quête humaine de vivre plus longtemps et en meilleure santé. Il a suivi des études en biologie du vieillissement et en neurosciences, travaillant au sein d’institutions prestigieuses comme Stanford. Au sein de Rubedo, il a mis en place une plateforme de découverte de médicaments appelée ALEMBIC, qui utilise des algorithmes pour développer des médicaments destinés à prolonger la vie, intégrant biologie, informatique et chimie. Marco souligne l’importance de cibler des populations spécifiques de cellules sénescentes pour améliorer les traitements de la sénescence. Il évoque également la création de l’Institut Phaedon, qui vise à sensibiliser et à faire avancer le domaine de la médecine de la longévité. En 2024, Rubedo prévoit des essais cliniques sur des maladies de la peau comme la dermatite atopique et le psoriasis, tout en ayant conclu un partenariat avec Beiersdorf pour développer des soins anti-âge. Marco met en avant le GPX4 comme cible pour leur nouveau composé RLS1496, qui module la sénescence cellulaire. Il aborde les défis et les échecs des essais cliniques sénolytiques, affirmant que la compréhension de la biologie est essentielle pour affiner les approches thérapeutiques. Enfin, il exprime sa vision d’une médecine de longévité personnalisée et préventive, soulignant l’importance de l’éducation et de la sensibilisation dans ce domaine. Source : https://www.lifespan.io/news/marco-quarta-on-cellular-senescence-in-aging/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=marco-quarta-on-cellular-senescence-in-aging

Dr. Marco Quarta et l’innovation en médecine de longévité : Une approche sénolytique

Dr. Marco Quarta est à la tête de Rubedo, une start-up novatrice dans le domaine de la longévité, qui utilise une approche sénolytique pour traiter la sénescence cellulaire. Rubedo a développé des méthodes ingénieuses pour faire face à l’hétérogénéité des cellules sénescentes et est l’une des premières entreprises à avoir introduit un candidat médicament sénolytique dans des essais cliniques. Marco a également cofondé Turn Biotechnologies, qui se concentre sur le reprogrammation cellulaire partielle. Sa passion pour la longévité a commencé dès son jeune âge, inspirée par une volonté de comprendre pourquoi les organismes vivent différemment. En étudiant la biologie du vieillissement, il a acquis des connaissances dans des domaines tels que la médecine régénérative et l’ingénierie tissulaire. Il a également été impliqué dans la création de l’Institut Phaedon, qui vise à sensibiliser et à faire avancer le domaine de la longévité en rassemblant des leaders d’opinion de l’académie et de l’industrie. En 2024, Rubedo a connu une année fructueuse avec la clôture d’une levée de fonds de 46 millions de dollars et le lancement de son premier essai clinique sur les indications cutanées. L’entreprise se concentre sur des maladies inflammatoires chroniques de la peau et le vieillissement cutané, en utilisant leur plateforme ALEMBIC pour analyser les cellules sénescentes. Marco Quarta a également récemment nommé un nouveau PDG, Frederick Beddingfield, pour diriger les efforts d’innovation et de recherche. Leur objectif est de moduler la GPX4, une cible importante pour induire la ferroptose, un type de mort cellulaire, spécifiquement dans les cellules sénescentes. Ils abordent l’hétérogénéité des cellules sénescentes avec des technologies avancées, comme l’ARN séquençage unicellulaire et l’apprentissage automatique, afin d’identifier les sous-types cellulaires et de développer des thérapies ciblées. Marco souligne que la sénescence cellulaire est un facteur clé des maladies chroniques et du vieillissement, et que le développement de thérapies sénolytiques doit être affiné pour répondre aux besoins spécifiques des patients. Il envisage un avenir où la médecine de longévité sera personnalisée, combinant plusieurs approches thérapeutiques pour traiter le vieillissement et ses effets. Source : https://www.lifespan.io/news/marco-quarta-on-cellular-senescence-in-aging/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=marco-quarta-on-cellular-senescence-in-aging