Étiquette : Maladies liées à l’âge

LinkGevity : Une Startup Biotech Innovante Pour Lutte Contre le Vieillissement

LinkGevity est une startup biopharmaceutique axée sur l’extension de la durée de vie en bonne santé, qui a été sélectionnée pour le programme prestigieux KQ Labs, géré par le Francis Crick Institute. Fondée par les sœurs Dr Carina Kern et Serena Kern-Libera, LinkGevity se concentre sur la découverte de médicaments pour les maladies liées à l’âge. La mission de l’entreprise repose sur la conviction que le vieillissement peut être abordé à sa source biologique. Leur approche est basée sur la ‘Blueprint Theory of Aging’, qui identifie les voies moléculaires à l’origine du vieillissement et des maladies. Cette théorie forme la base de leur approche computationnelle, utilisant l’intelligence artificielle (IA) pour créer des cartes détaillées révélant les déclencheurs biologiques du vieillissement. Grâce à un traitement sémantique et à une analyse de données avancée, LinkGevity identifie les cibles thérapeutiques et prédit les risques de maladies. Leur développement phare est un thérapeutique ‘anti-nécrotique’ de première classe, visant à inhiber la nécrose, qui est liée au vieillissement accéléré et aux maladies chroniques. Cette thérapie devrait améliorer la résilience cellulaire et aborder des défis critiques dans le traitement des conditions telles que les maladies rénales aiguës. LinkGevity prévoit de lancer son premier essai clinique ciblant la dégénérescence tissulaire rénale et le vieillissement plus tard cette année, avec des applications potentielles s’étendant à d’autres conditions liées à l’âge. Leur programme anti-nécrotique a reçu un financement du programme Horizon Europe de l’Union européenne et du gouvernement britannique. De plus, ils ont été sélectionnés pour le programme NASA/Microsoft Space-Health, basé sur leur potentiel à atténuer le vieillissement accéléré et la dégénérescence tissulaire chez les astronautes. LinkGevity explore également des partenariats pour élargir la portée thérapeutique dans des domaines tels que l’ingénierie tissulaire et la préservation d’organes. Basée au Babraham Research Campus à Cambridge, LinkGevity bénéficie de l’expertise complémentaire de ses cofondatrices. Kern a complété son doctorat à l’Institute of Healthy Ageing de l’UCL avant de devenir chercheuse, tandis que Kern-Libera apporte des compétences en leadership stratégique. Kern, la PDG de l’entreprise, a déclaré que leur sélection dans le programme KQ Labs serait cruciale pour leurs projets, notamment le lancement d’un essai clinique pour les maladies rénales, qui est la neuvième cause de décès dans le monde selon l’OMS. Kern-Libera a ajouté que l’inclusion dans le programme de la NASA et de Microsoft, ainsi que l’écosystème plus large du Francis Crick Institute, aidera à propulser leur recherche. Source : https://longevity.technology/news/linkgevity-gears-up-for-clinical-trial-of-aging-focused-anti-necrotic-drug/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=linkgevity-gears-up-for-clinical-trial-of-aging-focused-anti-necrotic-drug

LinkGevity : Vers une Révolution Thérapeutique dans le Traitement des Maladies Liées à l’Âge

LinkGevity est une startup biotechnologique axée sur l’amélioration de la santé humaine, qui vient d’être sélectionnée pour le programme KQ Labs du Francis Crick Institute. Fondée par les sœurs Dr Carina Kern et Serena Kern-Libera, LinkGevity utilise l’intelligence artificielle pour découvrir des médicaments ciblant les maladies liées à l’âge. La mission de l’entreprise repose sur la théorie du Blueprint de l’Âge, qui identifie les voies moléculaires responsables du vieillissement et des maladies sénescentes. Cette théorie postule que ces voies sont à l’origine de cascades destructrices qui affectent plusieurs conditions liées à l’âge. En utilisant cette approche, LinkGevity crée des cartes détaillées des déclencheurs biologiques du vieillissement, identifiant ainsi des cibles thérapeutiques et prédisant les risques de maladies. Leur principal développement est un traitement anti-nécrotique innovant, visant à inhiber la nécrose, la mort incontrôlée des cellules, liée à l’accélération du vieillissement et aux maladies chroniques. Ce traitement pourrait améliorer la résilience cellulaire et traiter des conditions telles que la maladie rénale aiguë. LinkGevity prévoit de lancer son premier essai clinique sur la dégradation des tissus rénaux plus tard cette année, avec des applications potentielles dans d’autres conditions liées à l’âge. L’entreprise a reçu une subvention Horizon Europe de l’Union européenne et a été sélectionnée pour le programme Space-Health de la NASA/Microsoft, soulignant son potentiel à atténuer le vieillissement accéléré chez les astronautes. LinkGevity est également en train d’explorer des partenariats pour élargir l’application de son traitement à des domaines tels que l’ingénierie tissulaire et la préservation des organes. Basée au Babraham Research Campus à Cambridge, LinkGevity bénéficie de l’expertise complémentaire de ses co-fondateurs. Kern a obtenu son doctorat à l’University College London avant de travailler comme chercheuse, tandis que Kern-Libera apporte une expérience en leadership stratégique dans le domaine du droit et des finances publiques. Kern a déclaré que la sélection dans le programme KQ Labs serait cruciale pour leurs plans, notamment pour le lancement d’un essai clinique sur la maladie rénale, la neuvième cause de décès dans le monde, selon l’OMS. Elle a également souligné que les reins fournissent un modèle d’accélération du vieillissement pour valider ce médicament comme candidat pour traiter le vieillissement en général. Kern-Libera a ajouté que leur inclusion dans le programme Space-Health de la NASA/Microsoft, basé sur le potentiel de leur médicament, ainsi que leur participation à l’écosystème du Francis Crick Institute, devraient propulser leurs recherches. Source : https://longevity.technology/news/linkgevity-gears-up-for-clinical-trial-of-aging-focused-anti-necrotic-drug/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=linkgevity-gears-up-for-clinical-trial-of-aging-focused-anti-necrotic-drug

LinkGevity : Une Start-up de Découverte de Médicaments Axée sur le Vieillissement

LinkGevity est une start-up de biotechnologie axée sur la santé et la longévité, fondée par les sœurs Dr Carina Kern et Serena Kern-Libera. Récemment sélectionnée pour le prestigieux programme KQ Labs du Francis Crick Institute, LinkGevity se concentre sur la découverte de médicaments pour traiter les maladies liées à l’âge et prolonger la durée de vie en bonne santé. La mission de l’entreprise repose sur la théorie de l’âge de Kern, qui identifie les voies moléculaires responsables du vieillissement et des maladies qui y sont associées. Cette théorie constitue la base de l’approche computationnelle de LinkGevity, utilisant l’intelligence artificielle pour créer des cartes détaillées révélant les déclencheurs biologiques du vieillissement. Grâce à un traitement sémantique et à une analyse avancée des données, l’entreprise identifie des cibles thérapeutiques et prédit les risques de maladies. Le développement phare de LinkGevity est un médicament ‘anti-nécrotique’ de première classe, visant à inhiber la nécrose, un phénomène lié à un vieillissement accéléré et à des maladies chroniques. Ce traitement devrait améliorer la résilience cellulaire et traiter des conditions telles que les maladies rénales aiguës. LinkGevity prévoit de lancer son premier essai clinique ciblant la dégénérescence tissulaire rénale et le vieillissement cette année, avec des applications potentielles dans d’autres conditions liées à l’âge. L’entreprise a reçu un financement de l’Union européenne et du gouvernement britannique, ainsi qu’une sélection pour le programme NASA/Microsoft Space-Health, en raison de son potentiel à atténuer le vieillissement accéléré chez les astronautes. En plus des applications cliniques, LinkGevity explore des partenariats pour élargir l’utilisation thérapeutique dans des domaines tels que l’ingénierie tissulaire et la préservation des organes. Située au Babraham Research Campus à Cambridge, LinkGevity bénéficie de l’expertise complémentaire de ses co-fondateurs. Kern, qui a obtenu son doctorat à l’University College London, et Kern-Libera, qui apporte un leadership stratégique grâce à son expérience en droit et en finance publique, travaillent ensemble pour faire avancer la recherche et le développement de traitements innovants contre le vieillissement. Kern a déclaré que la sélection de LinkGevity au programme KQ Labs serait cruciale pour leurs projets, notamment le lancement d’un essai clinique pour les maladies rénales, qui représentent la neuvième cause de décès dans le monde selon l’OMS. Kern-Libera a ajouté que l’inclusion dans le programme de l’institut Crick contribuera à faire avancer leurs recherches en s’appuyant sur les succès précédents du programme Space-Health. Source : https://longevity.technology/news/linkgevity-gears-up-for-clinical-trial-of-aging-focused-anti-necrotic-drug/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=linkgevity-gears-up-for-clinical-trial-of-aging-focused-anti-necrotic-drug

LinkGevity : Une Startup de Découverte de Médicaments Axée sur le Vieillissement et les Maladies Associées

LinkGevity, une startup biotechnologique axée sur l’amélioration de la santé et la lutte contre les maladies liées à l’âge, a été sélectionnée pour le programme prestigieux KQ Labs, géré par le Francis Crick Institute, qui offre un investissement en actions et un accès à un réseau mondial d’expertise scientifique. Fondée par les sœurs Dr Carina Kern et Serena Kern-Libera, LinkGevity se concentre sur la découverte de médicaments en utilisant l’intelligence artificielle pour aborder les maladies liées à l’âge. La mission de l’entreprise repose sur la conviction que le vieillissement peut être traité à sa source biologique. Le modèle théorique sur lequel repose leur approche, connu sous le nom de ‘Blueprint Theory of Aging’, identifie les voies moléculaires responsables du vieillissement et des maladies liées à l’âge, décrivant comment ces voies conduisent à des cascades destructrices qui sous-tendent de nombreuses conditions liées à l’âge. Cette théorie guide l’utilisation de l’IA par LinkGevity pour créer des cartes détaillées révélant les déclencheurs biologiques du vieillissement, permettant ainsi d’identifier des cibles thérapeutiques et de prédire les risques de maladies. Le développement phare de l’entreprise est un traitement ‘anti-nécrotique’ de première classe, visant à inhiber la nécrose, qui est la mort non contrôlée des cellules et des tissus, souvent associée à un vieillissement accéléré et à des maladies chroniques. Ce traitement pourrait améliorer la résilience cellulaire et surmonter des obstacles critiques dans le traitement de maladies comme les maladies rénales aiguës. LinkGevity prévoit de lancer son premier essai clinique axé sur la dégénérescence tissulaire liée aux reins et au vieillissement dans l’année, avec des applications potentielles dans d’autres conditions liées à l’âge. Le programme anti-nécrotique de l’entreprise a reçu une subvention Horizon Europe de l’Union européenne et un financement du gouvernement britannique. De plus, LinkGevity a été sélectionnée pour le programme Space-Health de NASA/Microsoft, en raison de son potentiel à atténuer le vieillissement accéléré et la dégénérescence tissulaire chez les astronautes. L’entreprise explore également des partenariats pour étendre l’application de son traitement à des domaines tels que l’ingénierie tissulaire et la préservation des organes. Basée au Babraham Research Campus à Cambridge, LinkGevity tire parti de l’expertise complémentaire de ses fondatrices. Kern a obtenu son doctorat à l’University College London et a été chercheuse pendant trois ans, tandis que Kern-Libera apporte des compétences en leadership stratégique issues de son parcours en droit et en finances publiques. Kern a déclaré que leur sélection au programme KQ Labs serait cruciale pour leurs projets, notamment le lancement d’un essai clinique pour les maladies rénales, alors que Kern-Libera a ajouté que leur inclusion dans le programme de la NASA/Microsoft et leur appartenance à l’écosystème du Francis Crick Institute aideraient à propulser leurs recherches. Source : https://longevity.technology/news/linkgevity-gears-up-for-clinical-trial-of-aging-focused-anti-necrotic-drug/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=linkgevity-gears-up-for-clinical-trial-of-aging-focused-anti-necrotic-drug

LinkGevity : Une startup innovante en découverte de médicaments axée sur le vieillissement

LinkGevity, une startup de biotechnologie axée sur l’extension de la durée de vie en bonne santé, a été sélectionnée pour le programme prestigieux KQ Labs, proposé par le Francis Crick Institute. Fondée par les sœurs Dr Carina Kern et Serena Kern-Libera, LinkGevity utilise l’intelligence artificielle pour découvrir des médicaments ciblant les maladies liées à l’âge. L’entreprise est fondée sur la ‘Blueprint Theory of Aging’, qui identifie les voies moléculaires responsables du vieillissement et des maladies associées. Selon cette théorie, ces voies sont à l’origine de cascades destructrices sous-jacentes à de nombreuses conditions liées à l’âge. LinkGevity utilise cette théorie comme base pour sa méthode computationnelle, élaborant des cartes détaillées pour révéler les déclencheurs biologiques du vieillissement grâce à un traitement sémantique et une analyse avancée des données. Leur principal développement est une thérapie ‘anti-nécrotique’ de première classe, visant à inhiber la nécrose, un processus de mort cellulaire incontrôlé associé au vieillissement accéléré et aux maladies chroniques. Ce traitement promet d’améliorer la résilience cellulaire et vise à traiter des conditions telles que la maladie rénale aiguë. LinkGevity prévoit de lancer son premier essai clinique ciblant la dégénérescence tissulaire rénale et le vieillissement plus tard cette année, avec des applications potentielles dans d’autres conditions liées à l’âge. L’entreprise a obtenu une subvention Horizon Europe de l’Union européenne et un financement du gouvernement britannique. De plus, elle a été sélectionnée pour le programme NASA/Microsoft Space-Health pour son potentiel à atténuer le vieillissement accéléré chez les astronautes. LinkGevity explore également des partenariats pour étendre l’impact de sa thérapie dans des domaines tels que l’ingénierie tissulaire et la préservation des organes. Basée au Babraham Research Campus à Cambridge, l’entreprise bénéficie de l’expertise complémentaire de ses co-fondatrices. Kern a obtenu son doctorat à l’Institute of Healthy Ageing à l’University College London et a été chercheuse pendant trois ans à UCL, tandis que Kern-Libera apporte son expérience en leadership stratégique dans le domaine du droit et des finances publiques. Kern, la PDG de LinkGevity, a déclaré que leur sélection au programme KQ Labs serait essentielle pour lancer un essai clinique sur la maladie rénale, qui est la neuvième cause de décès dans le monde selon l’OMS. LinkGevity espère valider ce médicament comme candidat pour traiter le vieillissement de manière plus générale, ouvrant la voie à un essai potentiellement révolutionnaire. Source : https://longevity.technology/news/linkgevity-gears-up-for-clinical-trial-of-aging-focused-anti-necrotic-drug/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=linkgevity-gears-up-for-clinical-trial-of-aging-focused-anti-necrotic-drug

Impact du vieillissement et du sexe sur l’expression génique des monocytes et l’inflammation liée aux AVC

Le système immunitaire humain subit des changements significatifs avec l’âge, devenant moins efficace et plus inflammatoire. Ce déclin est complexe et implique de nombreuses populations cellulaires, chacune ayant des comportements et des profils d’expression génique distincts. L’interaction entre ces cellules et d’autres tissus ainsi que des molécules extracellulaires façonne la réponse immunitaire globale. Le vieillissement est lié à une régulation dysfonctionnelle des cellules immunitaires, ce qui contribue à l’apparition de maladies liées à l’âge, telles que les maladies cardiovasculaires, les troubles neurodégénératifs et les syndromes métaboliques. Les monocytes et les macrophages dérivés des monocytes jouent un rôle crucial dans la réponse inflammatoire et influencent le processus de vieillissement, augmentant le risque de maladies inflammatoires. Par exemple, les macrophages dérivés des monocytes sont impliqués dans les accidents vasculaires cérébraux ischémiques, où ils peuvent à la fois aggraver la situation et favoriser la récupération post-AVC. De plus, le sexe biologique des individus influence l’incidence et les résultats des AVC ischémiques, soulignant les différences biologiques entre les hommes et les femmes.

Dans une étude récente, nous avons examiné si l’expression génique des sous-types de monocytes (classiques, intermédiaires et non classiques) dans le sang périphérique humain est influencée par l’âge et le sexe, en se concentrant sur les gènes liés à l’inflammation et à la régénération des tissus après un AVC. L’analyse par cytométrie en flux de 44 échantillons sanguins de volontaires en bonne santé (hommes et femmes âgés de 28 à 98 ans) a révélé que, contrairement à d’autres cellules immunitaires, la proportion de cellules tueuses naturelles (NK) augmentait chez les femmes, tandis que la proportion de cellules B diminuait dans les deux sexes avec l’âge.

En analysant l’expression génique par qPCR, plusieurs gènes ont montré une corrélation différente avec l’âge et le sexe au sein des sous-types de monocytes. Notamment, les gènes ANXA1 et CD36 ont montré une augmentation constante avec l’âge dans tous les types de monocytes, en particulier dans les sous-types intermédiaires et non classiques. D’autres gènes, tels que IL-1β, S100A8, TNFα, CD64, CD33, TGFβ1, TLR8 et CD91, ont été modifiés différemment dans les sous-types de monocytes avec l’âge. La plupart des changements géniques liés à l’âge étaient exprimés de manière différentielle dans les monocytes féminins. Nos données mettent en lumière l’interaction complexe entre l’âge et le sexe dans l’expression des gènes liés à l’inflammation et à la régénération au sein des sous-types de monocytes distincts. Source : https://www.fightaging.org/archives/2025/01/an-assessment-of-inflammatory-regulators-in-monocytes-demonstrates-the-complexity-of-immune-aging/

Réflexions sur l’espérance de vie : Victoires et défis dans la lutte contre le vieillissement

La question de la durée de vie humaine est non seulement fondamentale en science, mais elle a également des implications significatives en matière de politique publique. Récemment, des preuves scientifiques ont mis en lumière que, malgré les avancées médicales, des augmentations majeures de l’espérance de vie semblent peu probables tant que le vieillissement lui-même ne change pas. Les études antérieures ont montré que même des maladies comme le cancer ou les maladies cardiovasculaires, si elles étaient guéries, n’augmenteraient l’espérance de vie que de quelques années. Une analyse des données de plusieurs populations longévives indique que les gains rapides en espérance de vie ont cessé, en raison de la compression de la mortalité dans une tranche d’âge spécifique. Ce phénomène est attribué à la dégradation naturelle du corps due au vieillissement, un processus qui est devenu plus visible à mesure que les gens vivent plus longtemps. À partir de ces observations, il devient évident que la bataille pour des vies plus longues a été en grande partie remportée grâce à la santé publique et à la médecine moderne, mais cela signifie aussi que la priorité doit se déplacer vers l’extension de la vie en bonne santé. Les maladies liées à l’âge, en augmentation, résultent en partie de ce succès. Bien qu’un mode de vie sain soit essentiel, il ne suffira pas à lui seul à engendrer des augmentations radicales de l’espérance de vie au niveau de la population. En outre, l’étude de groupes de longévité exceptionnelle, comme ceux vivant dans les « zones bleues », fournit des indices sur ce qui est théoriquement possible, mais cela ne garantit pas que tous puissent atteindre ces âges extrêmes. La recherche sur le vieillissement, ou gérontologie, suggère que le processus de vieillissement est modifiable, ouvrant des perspectives sur des interventions qui pourraient changer la donne. Il est donc crucial de réorienter la recherche et les investissements vers des thérapies qui pourraient étendre non seulement la durée de vie, mais aussi la période de vie en bonne santé. Source : https://www.lifespan.io/news/the-battle-for-long-life-has-been-accomplished-whats-next/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=the-battle-for-long-life-has-been-accomplished-whats-next

L’impact de l’exercice physique sur le vieillissement cérébral et l’expression génique

L’un des avantages de la condition physique et de l’activité physique nécessaire pour maintenir cette condition est le ralentissement du vieillissement du cerveau. Bien que les données humaines ne fournissent que des corrélations, des études sur des animaux ont démontré un lien de causalité entre l’exercice physique et l’amélioration de la santé ainsi que le ralentissement des aspects du vieillissement. Les chercheurs ont étudié la biochimie du vieillissement dans les cellules cérébrales et corporelles, révélant une grande différence dans la régulation à la baisse de l’expression génique dans le cerveau par rapport au reste du corps avec l’âge. L’exercice physique peut réduire l’ampleur de ces changements. L’expression des niveaux de nombreux gènes subit des modifications à mesure que les individus vieillissent, le vieillissement étant un facteur principal contribuant aux maladies liées à l’âge. Dans cette étude, les chercheurs ont examiné les gènes du vieillissement en utilisant des données d’ARNseq de 32 tissus humains provenant du projet Genotype-Tissue Expression (GTEx). Les ensembles de données d’ARNseq du Gene Expression Omnibus (GEO) ont été utilisés pour étudier si les gènes du vieillissement provoquent des maladies liées à l’âge ou si des solutions anti-vieillissement pourraient inverser l’expression génique liée au vieillissement. Les altérations du transcriptome liées au vieillissement montrent que le vieillissement cérébral diffère considérablement du vieillissement des autres parties du corps. De plus, les tissus cérébraux ont été divisés en quatre groupes en fonction de leurs altérations du transcriptome liées au vieillissement. De nombreux gènes étaient régulés à la baisse pendant le vieillissement cérébral par rapport au vieillissement des tissus corporels, avec des fonctions enrichies dans la fonction synaptique, l’ubiquitination, la traduction mitochondriale et l’autophagie. L’analyse du transcriptome des maladies liées à l’âge et des solutions de ralentissement du vieillissement a montré que les gènes du vieillissement régulés à la baisse dans l’hippocampe subissaient une régulation à la baisse supplémentaire dans la maladie d’Alzheimer, mais cette régulation à la baisse était efficacement inversée par une activité physique élevée. De plus, la perte de neurones observée pendant le vieillissement a été inversée par une activité physique élevée. Source : https://www.fightaging.org/archives/2025/01/physical-activity-slows-age-related-transcriptomic-changes-in-brain-cells/

Stratégies cliniques proactives pour la prévention des maladies liées à l’âge

La prévention des maladies liées à l’âge est un domaine en pleine croissance dans le cadre des stratégies cliniques proactives visant à contrôler les mécanismes du vieillissement. Ce texte aborde le niveau 6 du cadre des ‘Dix Niveaux de Longévité‘, qui se concentre sur les thérapies préventives pour éviter l’apparition de maladies liées à l’âge. Contrairement à la gestion des maladies existantes, ces interventions cliniques visent à moduler les mécanismes biologiques du vieillissement pour freiner ou arrêter le processus de vieillissement à un niveau cellulaire et moléculaire. Cela permet de réduire les risques de maladies comme le diabète, les troubles cardiovasculaires et les maladies neurodégénératives. Les tendances récentes dans ce domaine incluent le développement de traitements pour la perte de poids, essentielle à la prévention du diabète, et le maintien de l’intégrité musculaire, qui sont cruciaux pour atténuer le déclin de la santé lié à l’âge. En ciblant des voies comme la sénescence cellulaire, l’attrition des télomères et le dysfonctionnement mitochondrial, ces thérapies cherchent à améliorer la durée de vie en bonne santé, c’est-à-dire la période de la vie passée en bonne santé, et à améliorer la qualité de vie tout en réduisant les coûts de santé croissants associés aux populations vieillissantes. Le secteur des thérapies préventives contre les maladies liées à l’âge présente également d’importantes opportunités d’investissement, car la demande mondiale pour des interventions capables de retarder ou de prévenir ces maladies augmente. Les investisseurs s’intéressent particulièrement aux entreprises développant des traitements ciblant les causes profondes du vieillissement, tels que les inhibiteurs de la sénescence et les activateurs de la télomérase. En outre, le concept de ‘vaccins anti-vieillissement’ commence à gagner en popularité, visant à traiter préventivement les mécanismes du vieillissement. Des entreprises comme Centenara Labs, Loyal, Juvenescence, Cambrian Bio et Revel Pharmaceuticals se distinguent par leurs recherches et développements dans ce domaine. Centenara se concentre sur l’élimination des cellules sénescentes pour prévenir des maladies comme l’arthrose, tandis que Loyal développe des médicaments pour allonger la vie des chiens, fournissant des informations précieuses pour la longévité humaine. Juvenescence vise à ralentir le vieillissement humain et prévenir les maladies associées, Cambrian Bio adopte une approche multifacette en s’attaquant à différents mécanismes de vieillissement, et Revel développe des thérapies enzymatiques pour dégrader les produits de glycation avancés, contribuant à améliorer l’élasticité tissulaire. L’importance croissante de la santé préventive et les ressources allouées à la recherche sur la longévité soulignent le potentiel de croissance de ce secteur. Le texte se termine en invitant le lecteur à explorer les niveaux précédents et à rester attentif aux niveaux ultérieurs à venir. Source : https://longevity.technology/news/ten-levels-of-longevity-6-aging-disease-prevention-therapeutics/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=ten-levels-of-longevity-6-aging-disease-prevention-therapeutics

Les Différences de Vieillissement entre Hommes et Femmes : Une Étude sur la Longévité Masculine

La différence entre les sexes en matière de vieillissement peut être résumée par le fait que les femmes vivent généralement plus longtemps, mais en moins bonne condition physique que les hommes de même âge. Ce phénomène a suscité de nombreuses recherches, mais la communauté scientifique n’a pas encore trouvé de consensus sur la biologie sous-jacente. Cependant, cela pourrait être secondaire par rapport aux thérapies visant à réparer les dommages cellulaires et tissulaires qui causent le vieillissement, étant donné que ces dommages sont similaires pour les deux sexes. Les hommes ont généralement une espérance de vie plus courte que celle des femmes dans la plupart des sociétés modernes et sont confrontés à un risque accru de maladies mortelles liées à l’âge, telles que les maladies cardiovasculaires. Malgré divers facteurs intrinsèques et extrinsèques liés à l’espérance de vie et à la morbidité, la base biologique permettant aux hommes d’atteindre une longévité n’a pas encore été étudiée en profondeur. Les données épidémiologiques révèlent une anomalie : bien que le nombre d’hommes âgés de longue durée soit significativement inférieur à celui des femmes âgées de longue durée, ces hommes montrent généralement un meilleur état de santé, ce qui suggère une stratégie de longévité spécifique aux hommes. Cette recherche souligne l’importance d’étudier ces hommes âgés de longue durée pour comprendre les bases biologiques de leur vieillissement en bonne santé. Dans cette étude, des techniques de séquençage de l’ADN ont été utilisées pour analyser les méthylomes d’hommes âgés de longue durée, de femmes âgées de longue durée, ainsi que de jeunes hommes et jeunes femmes. Bien qu’un vieillissement épigénétique accéléré ait été observé chez les hommes âgés de longue durée par rapport aux femmes âgées de longue durée, des comparaisons approfondies ont permis d’identifier des milliers d’unités génomiques méthylées différemment, certaines pouvant servir de marqueurs de discrimination. Contrairement à l’idée d’un vieillissement épigénétique accéléré, ces unités pourraient jouer un rôle dans la promotion de la longévité ou la suppression des maladies liées à l’âge, y compris le cancer, par la régulation de la transcription génique. En somme, cette étude fournit des preuves suggérant que les hommes âgés de longue durée possèdent des caractéristiques de méthylation distinctives, mettant en lumière leur pertinence pour un vieillissement sain et une longévité chez les hommes. Source : https://www.fightaging.org/archives/2025/01/towards-a-better-understanding-of-the-biochemistry-of-male-long-lived-individuals/