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L’Hypothèse de l’Hyperfonction : Réflexions sur le Vieillissement et les Contributions de Mikhail Blagosklonny

Le décès de Mikhail Blagosklonny nous invite à réfléchir à ses contributions au débat moderne sur les causes du vieillissement, en particulier sa théorie de l’hyperfonction. Cette théorie suggère que le vieillissement n’est pas seulement le résultat de l’accumulation de dommages, mais plutôt d’une hyperfonction des voies de signalisation qui conduit à des dommages organiques. Blagosklonny a engagé un dialogue avec Aubrey de Grey, un défenseur des théories basées sur les dommages, en soulignant que la véritable cause du vieillissement réside dans l’hyperfonction et non dans les dommages moléculaires. Bien que de Grey reconnaisse les contributions de la théorie de l’hyperfonction, il insiste sur l’importance de la réparation des dommages pour traiter le vieillissement. Blagosklonny a également proposé que cibler les voies de croissance hyperactives pourrait atténuer le vieillissement et ses maladies associées, ce qui a conduit à l’exploration de l’utilisation de la rapamycine, un inhibiteur de mTOR, comme agent thérapeutique. Sa théorie a inspiré l’émergence d’une suite de théories programmatiques qui explorent divers aspects du vieillissement et des mécanismes qui pourraient potentiellement être ciblés pour améliorer la longévité. En somme, le débat autour des causes du vieillissement continue d’évoluer, avec des perspectives divergentes sur le rôle de l’hyperfonction et des dommages moléculaires, mais toutes visent à comprendre et à intervenir sur ce processus complexe. Source : https://www.fightaging.org/archives/2025/01/a-snapshot-of-one-portion-of-the-ongoing-debate-over-causes-and-processes-of-aging/

L’Héritage de Mikhail Blagosklonny : Une Nouvelle Perspective sur le Vieillissement

Le décès de Mikhail Blagosklonny nous invite à réfléchir sur ses contributions significatives au débat contemporain sur les causes du vieillissement. Sa théorie de l’hyperfonction, qui postule que le vieillissement est principalement dû à une hyperactivité des voies de signalisation, remet en question les théories traditionnelles basées sur l’accumulation de dommages. Blagosklonny a engagé un dialogue avec Aubrey de Grey, défenseur des théories basées sur les dommages, où il a soutenu que l’hyperfonction est la véritable cause sous-jacente du vieillissement, expliquant que les dommages moléculaires résultent d’un excès de signalisation plutôt que d’être la cause directe du vieillissement. De Grey, bien qu’il reconnaisse la valeur de la théorie de l’hyperfonction, a affirmé que la réparation des dommages demeure essentielle pour contrer le vieillissement, soulignant l’importance des dommages oxydatifs et génétiques sur la fonction cellulaire. Les deux chercheurs illustrent ainsi des paradigmes contrastés, mais leur échange met en lumière la nécessité de cibler l’hyperfonction au cœur des interventions contre le vieillissement.

À partir de la théorie de l’hyperfonction, Blagosklonny a proposé que cibler les voies de croissance hyperactives pourrait atténuer le vieillissement et les maladies qui y sont associées. Cette approche théorique a directement influencé l’exploration de rapamycine, un inhibiteur de mTOR, comme agent thérapeutique potentiel. La théorie de l’hyperfonction, conjuguée au modèle de développement de João Pedro de Magalhães, a engendré le développement d’une série croissante de théories programmatiques. Ces théories incluent des concepts tels que l’hypofonction, les programmes coûteux, la théorie des contraintes et la mort adaptative, élargissant ainsi notre compréhension des mécanismes du vieillissement et ouvrant des voies potentielles pour des interventions thérapeutiques.

En somme, les travaux de Blagosklonny nous rappellent l’importance de revisiter et de redéfinir les théories sur le vieillissement à travers le prisme de l’hyperfonction, tout en reconnaissant la valeur des approches complémentaires qui prennent en compte l’accumulation des dommages. Cela constitue un terrain fertile pour le développement de nouvelles stratégies visant à prolonger la longévité et à améliorer la qualité de vie des individus vieillissants. Source : https://www.fightaging.org/archives/2025/01/a-snapshot-of-one-portion-of-the-ongoing-debate-over-causes-and-processes-of-aging/

L’Héritage de Mikhail Blagosklonny : La Théorie de l’Hyperfonction et le Vieillissement

Mikhail Blagosklonny, chercheur influent dans le domaine du vieillissement, a laissé un héritage significatif à travers sa théorie de l’hyperfonction, qui propose que le vieillissement est principalement dû à une hyperactivité des voies de signalisation plutôt qu’à l’accumulation de dommages moléculaires. Lors d’un échange en 2021 avec Aubrey de Grey, un ardent défenseur des théories basées sur les dommages, Blagosklonny a argumenté que l’hyperfonction est la cause sous-jacente à l’accumulation de dommages, en expliquant que des voies de signalisation hyperfonctionnelles peuvent exister sans changement progressif de leur activité. Il a illustré ce concept avec une analogie automobile, soulignant que la vitesse à laquelle une voiture circule peut générer des dommages sans être liée à un vieillissement, mais plutôt à une utilisation inappropriée. De Grey a reconnu la valeur de la théorie de Blagosklonny, tout en soutenant que la réparation des dommages reste essentielle pour traiter le vieillissement. Il a souligné que bien que l’hyperfonction contribue au vieillissement, elle ne peut pas entièrement expliquer l’accumulation de dommages oxydatifs et génétiques. Blagosklonny a répondu en affirmant que, bien que des dommages moléculaires s’accumulent, cela ne limite pas nécessairement la durée de vie dans des conditions typiques. Cependant, il a également convenu que si des interventions permettent d’étendre significativement la durée de vie, ces dommages pourraient devenir plus limitants. Cette discussion met en lumière les paradigmes contrastés tout en renforçant l’idée centrale de Blagosklonny selon laquelle les interventions contre le vieillissement devraient cibler l’hyperfonction à sa source. De plus, en s’appuyant sur la théorie de l’hyperfonction, il a proposé que cibler des voies de croissance hyperactives pourrait atténuer le vieillissement et ses maladies associées. Ce cadre théorique a inspiré l’exploration de la rapamycine, un inhibiteur de mTOR, comme agent thérapeutique potentiel. La théorie de l’hyperfonction, en conjonction avec le modèle de développement de João Pedro de Magalhães, a donné naissance à un éventail croissant de théories programmatique, comprenant l’hypofonction, les programmes coûteux, la théorie des contraintes et la mort adaptative. Source : https://www.fightaging.org/archives/2025/01/a-snapshot-of-one-portion-of-the-ongoing-debate-over-causes-and-processes-of-aging/

Les Contributions de Mikhail Blagosklonny à la Théorie du Vieillissement : Une Analyse de l’Hypofonction

Mikhail Blagosklonny, un chercheur influent dans le domaine du vieillissement, a proposé la théorie de l’hyperfonction, qui soutient que le vieillissement est causé par une hyperactivité des voies de signalisation, plutôt que par l’accumulation de dommages moléculaires. Cette théorie a été discutée lors d’un échange avec Aubrey de Grey, un défenseur des théories basées sur les dommages, où Blagosklonny a affirmé que le vieillissement n’est pas seulement le résultat de dommages, mais d’une hyperfonction qui peut engendrer des dommages aux organes. Par exemple, il a comparé cela à une voiture qui roule vite dans une allée, entraînant des dommages non pas par rouille, mais par d’autres formes de dégradation. De Grey, tout en reconnaissant la validité de la théorie de l’hyperfonction, a fait valoir que la réparation des dommages reste essentielle pour traiter le vieillissement, soulignant que l’accumulation de dommages oxydatifs et génétiques joue également un rôle crucial. Ce débat met en évidence les paradigmes contrastés dans la recherche sur le vieillissement, mais renforce l’idée centrale de Blagosklonny selon laquelle les interventions sur le vieillissement devraient se concentrer sur la cible de l’hyperfonction. En s’appuyant sur cette théorie, Blagosklonny a proposé que cibler les voies de croissance suractives pourrait aider à atténuer le vieillissement et les maladies associées. Cela a conduit à l’exploration de la rapamycine, un inhibiteur de mTOR, comme agent thérapeutique potentiel. La théorie de l’hyperfonction, ainsi que le modèle de développement connexe de João Pedro de Magalhães, a inspiré un éventail croissant de théories programmatique, y compris l’hypofonction, les programmes coûteux, la théorie des contraintes et la mort adaptative. Source : https://www.fightaging.org/archives/2025/01/a-snapshot-of-one-portion-of-the-ongoing-debate-over-causes-and-processes-of-aging/