Étiquette : gérontologie

La Gérophysique : Une Nouvelle Discipline Émergeante dans l’Étude du Vieillissement

La première Conférence mondiale sur la Gérophysique, qui s’est tenue à Singapour, a marqué le début d’un nouveau domaine interdisciplinaire cherchant à appliquer les outils et cadres de la physique à l’étude du vieillissement. Cet événement, considéré comme potentiellement aussi important que la conférence de Dartmouth de 1956 pour l’intelligence artificielle, a rassemblé des physiciens, des biologistes, des informaticiens et des cliniciens pour établir un langage scientifique commun concernant la biologie du vieillissement. La Gérophysique ne vise pas à remplacer les paradigmes existants en gérontologie, mais à les compléter en éclairant les lois et contraintes physiques fondamentales qui sous-tendent le vieillissement biologique. Contrairement à la biologie, qui décrit souvent le vieillissement comme le résultat cumulé de dommages moléculaires, la physique propose des modèles qui se concentrent sur les paysages énergétiques, la stabilité des systèmes, l’entropie et les fluctuations stochastiques. Ces approches peuvent non seulement aider à expliquer des phénomènes observés, mais aussi générer de nouvelles hypothèses testables pour guider les stratégies d’intervention. Lors de la conférence, plusieurs sessions ont mis en lumière comment l’abstraction mathématique, le raisonnement thermodynamique et la pensée systémique commencent à révéler de nouvelles perspectives sur le vieillissement, remettant en question des hypothèses de longue date. Un thème récurrent était la possibilité de dépasser les caractéristiques existantes du vieillissement en développant des modèles qui unifient des résultats disparates et en sont capables de prédiction. Des intervenants comme le professeur Uri Alon et le professeur Marija Cvijovic ont présenté des modèles mathématiques basés sur la physique qui permettent de comprendre les trajectoires de déclin fonctionnel et de mortalité. D’autres, comme le Dr Peter Fedichev, ont introduit des modèles thermodynamiques qui distinguent entre les organismes stables et instables, suggérant que l’âge est davantage régi par des fluctuations croissantes que par des dommages cumulés. La session sur l’IA a également été marquante, avec le professeur Matt Kaeberlein appelant à une exploration ouverte des perturbations pour générer des ensembles de données riches pour l’analyse par intelligence artificielle. D’autres chercheurs ont discuté de la biologie des réseaux, de la thermodynamique et des biomarqueurs, et de la nécessité d’unir les approches computationnelles et expérimentales. La conférence a conclu sur une note collaborative, soulignant que l’intégration de la physique dans la biogérontologie est non seulement possible, mais également nécessaire. Un sentiment partagé parmi les participants était que ce rassemblement marquait le début d’un nouveau chapitre dans l’étude du vieillissement. Source : https://longevity.technology/news/gerophysics-gathers-momentum-as-new-discipline-in-aging-science/

Conférence mondiale sur la santé et la longévité : Innovations et perspectives

La fondation Hevolution, récemment créée, a rapidement émergé comme un acteur majeur dans le domaine de la longévité, organisant le Global Healthspan Summit à Riyad, attirant plus de trois mille participants. Le PDG, Dr. Mehmood Khan, a souligné l’importance de la ‘healthspan’ par rapport à la longévité, déclarant que les gens veulent vivre en bonne santé et rester fonctionnels, plutôt que de simplement vivre plus longtemps. Il a annoncé que Hevolution, soutenu par la famille royale saoudienne, est devenu le deuxième plus grand financeur de la gérontologie au monde, avec plus de 400 millions de dollars alloués à la recherche. Dr. Felipe Sierra a ajouté que la science doit évoluer au-delà des simples biomarqueurs du vieillissement pour se concentrer sur la résilience cellulaire et la santé. La recherche en bioélectricité, dirigée par Dr. Elena Sergeeva, explore comment les signaux bioélectriques influencent la morphogenèse et le vieillissement, démontrant que ces signaux pourraient être manipulés pour régénérer des tissus. Alan A. Cohen a plaidé pour une approche axée sur la santé intrinsèque plutôt que sur le vieillissement, tandis que les professeurs Vadim Gladyshev et Steve Horvath ont discuté des biomarqueurs du vieillissement, soulignant les défis à surmonter pour établir des définitions claires et des mesures précises. Horvath a mis en avant les horloges de méthylation qui prédisent l’âge biologique et la santé à partir d’échantillons sanguins, tandis que la recherche comparative sur la longévité des mammifères pourrait offrir des perspectives sur la résistance et la santé. Dans l’ensemble, la conférence a mis en lumière des approches innovantes et multidimensionnelles pour comprendre et potentiellement améliorer la santé et la longévité humaine. Source : https://www.lifespan.io/news/impressions-from-hevolutions-global-healthspan-summit-2025/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=impressions-from-hevolutions-global-healthspan-summit-2025

Évaluation de l’âge biologique à travers la tomodensitométrie abdominale : une approche innovante pour prédire la longévité

Le corps humain subit des changements au fil du temps, et beaucoup de ces modifications sont relativement similaires d’une personne à l’autre en ce qui concerne la maladie et la mortalité. Un ensemble de données suffisamment large sur la structure corporelle ou la biochimie peut être utilisé pour produire un algorithme de ‘montre’ qui reflète le risque de mortalité et le fardeau des dommages et dysfonctionnements liés à l’âge. Ce résultat est généralement présenté comme une mesure de l’âge, souvent appelée ‘âge biologique’. Toutefois, certains chercheurs estiment qu’il est nécessaire d’être plus prudent dans la manière de parler de ce que mesure réellement une telle horloge. L’âge biologique (AB) est un concept potentiellement utile qui cherche à refléter l’effet physiologique cumulatif des habitudes de vie, de la prédisposition génétique et des processus pathologiques superposés, au-delà du simple nombre d’années vécues. Les tentatives pour dériver un âge biologique efficace remontent à au moins cinquante ans, mais avec un succès limité. Actuellement, la recherche en gérontologie se concentre sur divers aspects cellulaires et subcellulaires, tels que la génomique, l’épigénomique, la protéomique et la métabolomique, ainsi que d’autres mesures cliniques et de laboratoire. Les biomarqueurs d’imagerie ont généralement reçu moins d’attention pour estimer l’âge biologique, mais ils pourraient mieux refléter les effets macroscopiques cumulés du vieillissement au niveau des tissus et des organes. En particulier, la tomodensitométrie abdominale représente un candidat prometteur pour une investigation plus personnalisée. Ainsi, une étude a été menée pour dériver et tester un modèle d’âge biologique basé sur la tomodensitométrie afin de prédire la longévité, quantifiant la masse musculaire squelettique, la graisse abdominale, la calcification aortique, la densité osseuse et les organes solides de l’abdomen. L’outil a été appliqué à des scans CT abdominaux de 123 281 adultes (âge moyen de 53,6 ans ; 47 % de femmes). La sélection finale des biomarqueurs CT était basée sur un indice de précision prédictive. Le modèle CT surpasse de manière significative les données démographiques standard pour prédire la longévité. Le rapport de risque de survie corrigé en fonction de l’âge et du sexe pour le quartile de risque le plus élevé par rapport au plus bas était de 8,73 pour le modèle d’âge biologique CT, et a augmenté à 24,79 après exclusion des diagnostics de cancer sur une période de cinq ans suivant le CT. La densité musculaire, le fardeau de plaque aortique, la densité de graisse viscérale et la densité osseuse ont été les contributions les plus significatives. Source : https://www.fightaging.org/archives/2025/02/an-aging-clock-based-on-abdominal-ct-imagery/

Les responsabilités éthiques dans le domaine de la longévité : Entre innovation et justice sociale

Le Dr Arthur Caplan, éminent bioéthicien et directeur fondateur de la Division d’Éthique Médicale à l’École de Médecine de NYU, se positionne comme une voix influente dans le domaine de l’éthique médicale, en particulier en ce qui concerne les défis éthiques liés à la recherche sur la longévité. Lors du Global Healthspan Summit (GHS2025) à Riyadh, il participera à une discussion sur l’éthique dans le domaine de la gérontologie, mettant en lumière les enjeux d’accès équitable aux avancées scientifiques. En raison du vieillissement de la population mondiale, les interventions visant à cibler les mécanismes biologiques du vieillissement pourraient transformer la santé des populations, mais soulèvent des préoccupations concernant leur accessibilité et leur coût. Caplan souligne l’importance de cadres éthiques tels que l’égalitarisme et le suffisantarianisme pour s’assurer que les innovations en matière de longévité profitent à tous, et non seulement à une élite privilégiée. Le GHS2025, soutenu par la Hevolution Foundation, vise non seulement à accélérer la recherche en gérontologie, mais aussi à favoriser la responsabilité éthique dans sa mise en œuvre. Caplan insiste sur la nécessité d’une transparence accrue dans les essais cliniques, en particulier pour les thérapies géniques, qui nécessitent des précautions particulières en matière de sécurité. Il met également en avant les considérations éthiques entourant l’utilisation croissante de médicaments anti-âge et de traitements comme les médicaments pour la perte de poids, qui soulèvent des préoccupations sur leur coût, leur dépendance potentielle et leur impact environnemental. Il est essentiel que les discussions éthiques et les recherches avancent de manière parallèle pour garantir que les bénéfices des avancées médicales soient équitablement répartis et que les protocoles éthiques soient respectés lors de la recherche en gérontologie. Le sommet GHS2025, en intégrant des sessions sur l’éthique, envoie un message fort sur l’importance de l’éthique dans le domaine du vieillissement et l’engagement à une distribution juste des découvertes scientifiques. Source : https://longevity.technology/news/balancing-ethics-and-innovation-in-healthspan-research/

Global Healthspan Summit 2025 : Vers une Nouvelle Ére de la Gérontologie

Le Global Healthspan Summit (GHS) 2025, organisé par la Hevolution Foundation, se tiendra les 4 et 5 février 2025 à Riyad, en Arabie Saoudite, au Four Seasons Hotel. Cet événement de deux jours rassemblera des participants internationaux, parmi lesquels des leaders mondiaux, des décideurs, des chercheurs et des experts des secteurs de la biotechnologie, de la pharmacie, des soins de santé et du secteur privé, pour explorer des solutions innovantes dans les domaines en pleine expansion de la géroscience et de la santé. Le sommet vise à aborder l’un des plus grands défis de l’humanité : le vieillissement rapide de la population. Les participants auront accès à des recherches de pointe et à des technologies émergentes qui façonnent l’avenir de la science de la santé, présentées par des fondateurs, des leaders et des chercheurs en biotechnologie.

Actuellement, il existe un écart significatif entre l’espérance de vie mondiale et la santé, soit environ 10 ans (73,4 ans contre 63,7 ans). La population mondiale âgée de 60 ans et plus devrait doubler d’ici 2050, avec les personnes de 65 ans et plus représentant une personne sur six, contre une sur dix en 2021.

Dr. Mehmood Khan, PDG de la Hevolution Foundation, souligne l’importance du GHS en tant que plateforme unique pour rassembler des acteurs de divers secteurs. Sous le thème ‘Architecting the Future’, ce sommet sert non seulement de forum pour partager des idées et présenter des avancées, mais également de catalyseur pour de futures collaborations.

Le GHS 2025 mettra en avant un large éventail d’intervenants qui encourageront la pensée novatrice parmi tous les participants. Les sessions aborderont plusieurs sujets, dont le paysage actuel des investissements en santé, le rôle de la philanthropie dans la promotion de l’équité et des changements politiques, ainsi que l’intégration d’approches axées sur la santé dans des systèmes de santé complexes.

La première édition du GHS, organisée par Hevolution en 2023, a rassemblé plus de 2000 délégués et 120 intervenants de grandes organisations telles qu’Eli Lilly, GSK, Harvard et l’Organisation mondiale de la santé. Lors de ce premier sommet, Hevolution a annoncé un financement de plus de 100 millions de dollars pour accélérer la recherche sur la santé, y compris des partenariats avec le Buck Institute et l’American Federation for Aging Research.

Avec le vieillissement de la population qui devient un enjeu mondial critique, le GHS 2025 abordera ces changements avec des parties prenantes internationales. La Hevolution Foundation joue un rôle de leader dans cette lutte, en augmentant le nombre de gérontologues, en élargissant le nombre d’entreprises dans le domaine de la santé et en attirant des financements. Grâce à des partenariats collaboratifs, la fondation vise à passer de la longévité à la santé, travaillant sur des solutions face à ce défi mondial du vieillissement.

La Hevolution Foundation est un catalyseur mondial dédié à l’extension des durées de vie en bonne santé et à l’avancement de notre compréhension du vieillissement. En considérant le vieillissement comme un processus à traiter, la fondation s’efforce d’augmenter la disponibilité des traitements liés au vieillissement, d’accélérer les délais de développement des médicaments et d’améliorer l’accès aux traitements qui prolongent la santé. Avec un budget annuel allant jusqu’à 1 milliard de dollars et ayant engagé 400 millions de dollars au cours des trois dernières années, Hevolution est le plus grand bailleur de fonds philanthropique dans la recherche sur la santé et le vieillissement. La fondation prévoit d’établir des bureaux dans d’autres régions du monde pour propulser des avancées qui permettront à l’humanité de vivre plus longtemps et en meilleure santé. Source : https://www.lifespan.io/news/hevolution-foundation-hosts-second-global-healthspan-summit/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=hevolution-foundation-hosts-second-global-healthspan-summit

Vers une Nouvelle Compréhension de la Longévité Humaine : Défis et Perspectives

La question de la longévité humaine et de la durée de vie maximale a des implications cruciales tant sur le plan scientifique que sur le plan des politiques publiques. Des études récentes montrent que, bien que nous ayons connu des augmentations significatives de l’espérance de vie au cours du XXe siècle grâce aux avancées en médecine et en santé publique, il est peu probable que ces augmentations se poursuivent si le processus de vieillissement lui-même reste inchangé. En effet, des recherches menées depuis plus de trois décennies indiquent qu’une espérance de vie de 100 ans pourrait nécessiter des réductions des taux de mortalité bien plus importantes que celles obtenues par le traitement des maladies liées à l’âge. Par exemple, guérir le cancer ne pourrait ajouter qu’environ trois ans à l’espérance de vie, tandis que d’autres maladies cardiovasculaires et le diabète n’ont qu’un impact marginal. Cette stagnation de l’espérance de vie s’explique par un processus biologique inévitable : le vieillissement, qui entraîne la dégradation naturelle des fonctions corporelles. Ainsi, même si l’espérance de vie a considérablement augmenté, il semble que nous soyons désormais arrivés à un plafond, surtout dans les populations qui ont bénéficié des avancées technologiques en matière de santé. Ces résultats soulignent que la persistance des maladies chroniques telles que les maladies cardiaques et le diabète est davantage le reflet de notre succès en matière d’extension de la vie que d’un échec des systèmes de santé. Il est donc essentiel de redéfinir nos priorités : plutôt que de se concentrer uniquement sur l’allongement de la vie, il serait plus judicieux de veiller à améliorer la qualité de vie pendant les années gagnées. Par ailleurs, des modes de vie plus sains, bien qu’essentiels, ne permettront pas nécessairement d’augmenter radicalement l’espérance de vie au niveau de la population, mais peuvent avoir des effets significatifs sur la santé individuelle. Cependant, des groupes de personnes vivant plus longtemps, comme ceux des ‘Blue Zones’, offrent des aperçus sur ce qui pourrait être possible en matière de longévité. Cela dit, les découvertes en matière de gérontologie montrent que le processus de vieillissement est modifiable, ce qui ouvre la voie à des thérapies potentielles permettant de prolonger la période de vie en bonne santé, plutôt que de simplement allonger la durée de vie. En conclusion, la recherche sur le vieillissement pourrait offrir de nouvelles perspectives sur ce que signifie vieillir, en mettant l’accent sur l’amélioration de la qualité de vie et la gestion des maladies chroniques plutôt que sur l’extension de la durée de vie à tout prix. Source : https://www.lifespan.io/news/the-battle-for-long-life-has-been-accomplished-whats-next/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=the-battle-for-long-life-has-been-accomplished-whats-next

Raghav Sehgal : Un Leader Émergent dans la Recherche sur le Vieillissement et la Longévité

Raghav Sehgal, PhD, est un scientifique éminent reconnu pour ses contributions significatives à la recherche sur le vieillissement et à l’utilisation de la biomédecine computationnelle pour relever les défis mondiaux liés au vieillissement et à la longévité. En 2025, il a été inclus dans la prestigieuse liste Forbes 30 Under 30, ce qui souligne son impact dans le domaine de la biologie de la longévité. Son travail porte sur le développement de biomarqueurs avancés pour le vieillissement et la santé humaine, intégrant l’épigénétique, l’intelligence artificielle et la gérontologie pour découvrir des mécanismes biologiques liés au vieillissement. Un de ses projets remarquables, Systems Age, prédit le vieillissement biologique à travers onze systèmes physiologiques distincts et a été licencié à TruDiagnostics, où il est utilisé dans le cadre de la médecine personnalisée sous le nom de SYMPHONYAge. Parallèlement, Sehgal dirige une étude approfondie sur 51 interventions en longévité, qui examine l’impact de traitements pharmacologiques, d’interventions liées au mode de vie et de suppléments sur plus de 100 biomarqueurs épigénétiques. Il développe également des modèles fondamentaux pour le vieillissement épigénétique, tels que CpGPT, une approche basée sur des transformateurs conçue pour améliorer l’interprétabilité des données épigénétiques. En plus de ses recherches académiques, Sehgal collabore avec des fonds de capital-risque, conseillant sur les investissements dans les start-ups de gérontologie et de longévité, tout en apportant des solutions en bioinformatique pour faire avancer le domaine du vieillissement. Il a également reçu plusieurs distinctions, dont le Impetus Aging Grant et le Gruber Science Fellowship, et a été reconnu comme meilleur orateur au Biomarkers of Aging Symposium à la Harvard Medical School. Sehgal souligne que sa reconnaissance dans Forbes représente non seulement un honneur personnel, mais aussi un témoignage du soutien inestimable qu’il a reçu de la communauté de la longévité. Son travail vise à transformer la médecine de réactive à préventive, en intégrant la gérontologie dans la pratique clinique, avec un accent sur le ralentissement du vieillissement pour atténuer l’apparition de maladies chroniques. SYMPHONYAge est présenté comme un outil essentiel pour les médecins, fournissant des informations exploitables sur les systèmes vieillissants chez un individu. L’étude des 51 interventions offre des recommandations basées sur des preuves cliniques concernant les interventions qui diminuent efficacement l’âge biologique. Dans l’ensemble, les efforts de Sehgal ouvrent la voie à une ère transformative de la médecine qui quantifie précisément le vieillissement, habilite les médecins et les patients avec des interventions de longévité validées, et permet des vies plus longues et en meilleure santé. Source : https://longevity.technology/news/raghav-sehgal-named-to-forbes-30-under-30-for-aging-research/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=raghav-sehgal-named-to-forbes-30-under-30-for-aging-research