Étiquette : génétiques

Reprogrammation cellulaire : Vers des thérapies de rajeunissement efficaces

La cellulaire est un domaine de qui vise à redonner aux somatiques des propriétés similaires à celles des , notamment grâce à l’expression des facteurs de Yamanaka. Ces facteurs, découverts il y a environ vingt ans, permettent la dédifférenciation des cellules somatiques lorsqu’ils sont exprimés de manière robuste sur plusieurs jours. Cependant, une expression limitée de ces facteurs peut déclencher une reprogrammation partielle, entraînant une réinitialisation des contrôles épigénétiques de l’ADN nucléaire et de l’expression génique, ce qui est considéré comme un objectif désirable pour la communauté médicale. Avec une augmentation significative des financements pour le développement de thérapies de rajeunissement basées sur la reprogrammation partielle, le potentiel d’une reprogrammation corporelle complète est également exploré. Cela pourrait restaurer les fonctions des cellules d’un corps et d’un cerveau vieillissants, malgré les dommages accumulés à l’ADN nucléaire et à l’environnement cellulaire. Un axe de recherche prometteur est l’utilisation de petites molécules pour induire l’expression des facteurs de Yamanaka. Bien que les thérapies géniques puissent être plus efficaces pour produire une expression génique ciblée, elles souffrent de problèmes de délivrance, car il est difficile de distribuer uniformément ces thérapies dans tout le corps. En revanche, les petites molécules présentent l’avantage d’une distribution plus large et il existe des études en cours pour identifier davantage de ces molécules. Les travaux actuels se concentrent sur l’évaluation des capacités de ces petites molécules dans des modèles in vitro, avec l’intention de progresser vers des études animales. La dysfonction vasculaire, qui est une cause majeure des maladies cardiovasculaires liées à l’âge, est en partie attribuée aux cellules endothéliales sénescentes. Ces cellules s’accumulent avec le temps et nuisent à plusieurs processus cellulaires, entraînant un vieillissement de l’endothélium. Par conséquent, inverser la sénescence des cellules endothéliales est un objectif de recherche important. Les approches actuelles incluent l’utilisation de sénolytiques pour induire la mort cellulaire ou la reprogrammation cellulaire. Un cocktail de petites molécules a été développé pour améliorer la fonction des cellules endothéliales sénescentes, contribuant à la régénération et à l’amélioration de la fonction hépatique. Ce cocktail, composé de tranilast, d’acide valproïque et de carbonate de lithium, a montré des effets prometteurs dans la réversion du phénotype sénescent in vitro, et tous ces composés sont déjà approuvés par la FDA, facilitant ainsi leur transition vers un usage clinique. Source : https://www.fightaging.org/archives/2025/03/an-in-vitro-example-of-pharmacological-induction-of-yamanaka-factor-expression/

L’impact des facteurs environnementaux sur le vieillissement et la mortalité : une étude de l’Université d’Oxford

Une massive de l’Université d’Oxford a évalué l’ relatif des facteurs génétiques et non sur le , la et la des maladies. La question de l’influence des gènes sur la a été soulevée à plusieurs reprises, et les récents indiquent que cette influence est relativement faible. La majorité des dans la durée de humaine provient de facteurs extrinsèques tels que le tabagisme et l’activité physique. L’étude utilise des données du UK Biobank, une base de données unique contenant des informations de santé sur des centaines de milliers de citoyens britanniques, pour apporter des éclaircissements sur ce sujet. Les chercheurs ont cherché à quantifier les contributions relatives des facteurs environnementaux (l’exposome) par rapport à la génétique dans le déterminisme du vieillissement, du risque de maladie et de la mortalité prématurée. Une des conclusions majeures est que les facteurs environnementaux jouent un rôle clé dans la mortalité, comme en témoignent les changements significatifs dans l’espérance de vie mondiale au cours des deux derniers siècles, tandis que le génome humain est resté relativement stable. L’analyse a porté sur 164 expositions environnementales et a identifié celles ayant un lien avec la mortalité toutes causes confondues. Les chercheurs ont employé diverses méthodes pour aborder la causalité et le biais de confusion. La plupart des facteurs associés à la mortalité étaient modifiables, tandis que d’autres, comme l’ethnicité, étaient non modifiables. Parmi les facteurs les plus préjudiciables figuraient le tabagisme, la fatigue fréquente et divers indicateurs de privation. À l’opposé, des facteurs bénéfiques tels qu’un revenu élevé, l’emploi, l’éducation, l’activité physique et la cohabitation avec un partenaire étaient associés à une réduction significative du risque de mortalité. L’étude a également mis en évidence que les personnes d’ethnie non blanche présentent généralement un risque de mortalité inférieur, un constat qui contraste avec les données américaines. Les chercheurs ont établi un lien entre les expositions environnementales et le vieillissement biologique via une horloge de vieillissement protéomique développée dans une étude antérieure. Cette horloge est associée à la mortalité, aux maladies chroniques majeures liées à l’âge et à des phénotypes liés au vieillissement. En outre, l’analyse a montré que plusieurs facteurs de l’exposome sont liés à l’incidence de multiples maladies liées à l’âge. Les gènes semblent moins importants dans le déterminisme de la mortalité et du vieillissement par rapport à l’exposome, bien que certaines maladies soient causées par des variants génétiques uniques. En moyenne, les scores de risque polygène expliquent moins de 2 % de la variation supplémentaire, tandis que l’exposome en explique 17 %. Malgré ces résultats, certains cas particuliers, comme les démences et certains cancers, montrent un lien plus fort avec les facteurs génétiques. Les chercheurs soulignent que les facteurs environnementaux, notamment ceux de la petite enfance, jouent un rôle crucial dans l’accélération du vieillissement, mais offrent également des opportunités pour prévenir les maladies chroniques et la mort prématurée. Cette étude met en lumière l’importance d’interventions ciblant les environnements et les comportements pour améliorer la santé et la longévité. Source : https://www.lifespan.io/news/genes-affect-aging-and-mortality-less-than-extrinsic-factors/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=genes-affect-aging-and-mortality-less-than-extrinsic-factors

Evelyne Bischof nommée Présidente de la Healthy Longevity Medicine Society

La Healthy Medicine Society () est une organisation internationale qui se consacre à l’avancement de l’application clinique de la médecine de la longévité par le biais de pratiques basées sur des preuves, de l’éducation professionnelle et de la collaboration interdisciplinaire. Avec l’objectif de rassembler médecins, scientifiques et leaders de l’industrie, HLMS vise à établir des normes rigoureuses pour les interventions liées à la longévité. Parmi ses initiatives, on trouve des programmes de formation, des lignes directrices cliniques et des partenariats conçus pour combler le fossé entre la recherche et l’application médicale. Dr Evelyne Bischof, spécialiste de la médecine de la longévité et de la médecine de précision, a été nommée Présidente de HLMS, supervisant ainsi la direction stratégique de la société et son engagement avec la communauté médicale plus large. Bischof, qui possède une vaste expérience en médecine interne et en oncologie, a travaillé dans des institutions telles que l’Université de Shanghai et l’Université de Zurich, intégrant des interventions de longévité émergentes dans la pratique clinique traditionnelle. Son mandat à la présidence de HLMS s’inscrit dans un contexte où la médecine de la longévité, bien que prometteuse, nécessite des cadres clairs pour garantir que les traitements soient sûrs et efficaces. L’une des priorités de son mandat est le développement de protocoles standardisés pour l’évaluation de l’âge biologique, un domaine actuellement en désordre en raison de l’utilisation de différents biomarqueurs et méthodologies dans les cliniques. HLMS travaille avec le Biomarkers of Aging Consortium pour établir des lignes directrices sur l’utilisation des horloges épigénétiques. Bischof souligne l’importance de la recherche rigoureuse, des essais cliniques et des données examinées par des pairs avant de recommander toute intervention. De plus, elle met en avant la nécessité de systèmes de gestion des pratiques cliniques qui s’alignent sur un protocole approuvé par HLMS pour assurer la continuité des soins. Dans cette optique, HLMS explore des collaborations avec des développeurs de technologies de la santé et des organismes de réglementation pour établir des lignes directrices pour des systèmes intégrés et interopérables. La sécurité des données des patients et le respect des normes éthiques sont également des préoccupations majeures, HLMS envisageant de jouer un rôle dans le développement de lignes directrices éthiques pour le partage de données anonymisées. En parallèle, Bischof souligne l’importance de la formation continue en médecine de la longévité, avec près de 75 % des répondants à un sondage ayant suivi des cours accrédités. Elle voit une opportunité de raffiner et d’élever les normes éducatives dans ce domaine, en s’assurant que la formation soit rigoureuse sur le plan scientifique et mise à jour avec les dernières recherches. La médecine de la longévité met également l’accent sur la prévention, et HLMS s’engage à sensibiliser les jeunes générations, notamment les Millennials et la génération Z, à travers des initiatives de santé publique et des programmes de dépistage. Bischof évoque la nécessité de développer et de promouvoir des lignes directrices cliniques standardisées, qui sont essentielles pour garantir des soins de qualité. Elle soutient également le partage des connaissances entre cliniques de longévité privées et publiques afin d’améliorer la recherche clinique et de créer des mesures de résultats standardisées. En conclusion, HLMS est bien positionnée pour façonner l’avenir de la médecine de la longévité grâce à la standardisation, l’orientation réglementaire et les efforts de recherche collaborative, visant à établir des critères d’évaluation de l’âge biologique et à promouvoir une éducation axée sur la longévité. Source : https://longevity.technology/news/evelyne-bischof-appointed-president-of-healthy-longevity-medicine-society/

L’avenir des diagnostics de santé : Hannah Went et l’innovation de TruDiagnostic

Le de des Fondateurs (FLF:SG), qui se tiendra à Singapour dans deux semaines, est une plateforme clé pour discuter de la convergence de la science, des politiques et des investissements afin d’accélérer les avancées en matière de longévité. L’augmentation de la population mondiale vieillissante souligne l’urgence de passer d’un réactif à une prévention proactive dans les soins de santé. Cette transition repose sur des diagnostics et des de pointe visant à prolonger la en bonne santé et à réduire le fardeau des maladies liées à l’. Le forum mettra en avant des experts, des chercheurs et des pionniers de l’industrie pour explorer des domaines tels que l’épigénétique, les tests de biomarqueurs et les diagnostics de précision, qui permettent des interventions plus précoces et améliorent l’adoption clinique. En favorisant la collaboration, le forum vise à rendre les soins de santé axés sur la longévité plus accessibles, en comblant le fossé entre l’ scientifique et son impact dans le monde réel.

TruDiagnostic se positionne à l’avant-garde de la science de la longévité, se spécialisant dans les diagnostics basés sur la méthylation de l’ADN, offrant des aperçus approfondis sur le vieillissement . Avec plus de 75 000 patients testés et plus de 30 essais approuvés, l’entreprise joue un rôle clé dans la définition de l’épigénétique en tant qu’élément essentiel des soins préventifs. En fournissant aux cliniciens et aux consommateurs des biomarqueurs de vieillissement de précision, TruDiagnostic établit un pont entre la recherche et les concrètes en matière de longévité et d’optimisation de la santé.

Hannah Went, cofondatrice et directrice des opérations de TruDiagnostic, dirigera les discussions sur l’adoption clinique et par les consommateurs des tests d’âge biologique lors du FLF:SG. Dans sa présentation, elle mettra en lumière comment les données épigénétiques peuvent améliorer la médecine personnalisée et les interventions axées sur la longévité. Elle abordera également l’accessibilité croissante des tests de vieillissement biologique et leur rôle dans l’autonomisation des individus pour prendre le contrôle de leur santé à long terme. En intégrant l’intelligence artificielle dans les diagnostics, TruDiagnostic innove pour permettre la création d’une application capable de regrouper et d’analyser divers biomarqueurs, fournissant ainsi des recommandations personnalisées.

L’application en développement doit être lancée cette année, notamment au deuxième trimestre, et vise à rendre les soins de santé plus accessibles, en mettant les outils de longévité directement dans la poche des utilisateurs. Hannah Went discutera également des nouvelles recherches de TruDiagnostic, qui incluent un produit récemment lancé appelé True Health, analysant divers marqueurs nutritionnels et de santé. Son discours mettra l’accent sur le pouvoir prédictif, la fiabilité et la facilité de collecte des biomarqueurs épigénétiques, démontrant pourquoi ils sont supérieurs aux versions traditionnelles. Au final, le FLF:SG représente une opportunité cruciale pour explorer comment la science et l’innovation peuvent transformer les soins de santé vers un modèle axé sur la longévité. Source : https://longevity.technology/news/flfsg-front-facing-longevity-in-your-back-pocket/

Précision des tests d’âge biologique : l’importance des échantillons sanguins face aux échantillons oraux

L’estimation de l’âge biologique, qui évalue le fonctionnement du corps par rapport à l’âge chronologique, a gagné en popularité comme méthode d’évaluation de la santé et de la longévité. Cependant, une étude récente menée par des chercheurs de l’Université d’État de Pennsylvanie met en lumière la dépendance de l’exactitude de ces tests vis-à-vis du type d’échantillon de tissu utilisé. Les résultats, publiés dans la revue Aging Cell, montrent que les échantillons de sang fournissent des résultats fiables, tandis que les estimations d’âge biologique dérivées de tissus buccaux, comme la salive ou les écouvillons de joue, peuvent être significativement gonflées. L’étude a examiné cinq types d’échantillons de tissus provenant de 284 individus âgés de 9 à 70 ans, concluant que les tissus oraux produisent des estimations d’âge biologique bien plus élevées que les échantillons sanguins dans six des sept horloges épigénétiques testées. Les résultats soulèvent des préoccupations quant à la précision des tests commerciaux d’âge biologique qui reposent souvent sur des échantillons de salive. Les chercheurs préviennent que la plupart des horloges populaires ont été développées à partir d’échantillons sanguins, ce qui remet en question la fiabilité des résultats basés sur des échantillons buccaux. À l’avenir, bien que les estimations de l’âge biologique puissent devenir un outil précieux pour la prise de décision médicale, la recherche doit continuer pour s’assurer que les méthodes de test sont scientifiquement valides. En conclusion, un échantillon de sang reste la norme d’or pour obtenir des estimations précises de l’âge biologique, tout en offrant des perspectives pour des applications futures, tant dans le domaine médical que dans la science judiciaire. Source : https://longevity.technology/news/blood-samples-may-be-necessary-for-accurate-biological-age-testing/

Vesper Bio lance une étude clinique sur un traitement potentiel de la démence frontotemporale

Vesper Bio, une entreprise biotechnologique danoise, a lancé une de phase 1b/2a visant à évaluer un expérimental à petite molécule pour des patients porteurs de associées à la démence frontotemporale (DFT). L’essai clinique, nommé SORT-IN-2, se concentre sur des individus asymptomatiques présentant des mutations du gène progranuline (GRN), qui est un facteur causal de cette forme mortelle de la maladie neurodégénérative. La DFT est une affection dégénérative qui touche les lobes frontal et temporal du cerveau, affectant le comportement, le jugement et la communication. Elle est la principale cause de démence chez les personnes de moins de 60 ans et est souvent confondue avec la maladie d’Alzheimer. Les cas de DFT liés à GRN se caractérisent par une carence en progranuline, une protéine essentielle au maintien de la croissance, de la survie et de la réparation cellulaire. L’absence de cette protéine contribue à la dysfonction cellulaire et à la neurodégénérescence. Le composé principal de Vesper, le VES001, est un médicament administré par voie orale qui pénètre dans le cerveau et est conçu pour inhiber la sortiline, un récepteur neuronal responsable de la dégradation de la progranuline. En empêchant la sortiline de se lier et d’internaliser la progranuline, le VES001 vise à préserver et normaliser les niveaux de progranuline, ralentissant ainsi la progression de la DFT liée à GRN. Ce traitement aborde la cause sous-jacente de la maladie plutôt que de se contenter de gérer les symptômes. Selon Mads Fuglsang Kjølby, co-fondateur de Vesper, la progranuline est vitale pour maintenir la santé neuronale, mais les niveaux de cette protéine chez les personnes asymptomatiques avec des mutations GRN sont généralement réduits de moitié par rapport à ceux qui n’ont pas ces mutations. La société croit que le VES001 peut normaliser les niveaux de progranuline et a donc un grand potentiel pour ralentir ou même arrêter la progression de la DFT. L’étude SORT-IN-2 est un essai ouvert mené à l’Erasmus University Medical Centre à Rotterdam et au Leonard Wolfson Experimental Neurology Centre à l’University College London. L’étude cible des individus asymptomatiques porteurs de mutations GRN, cherchant à évaluer la sécurité, la tolérabilité et la capacité du VES001 à élever les niveaux de progranuline dans le liquide céphalorachidien et le plasma. Vesper a commencé l’administration du médicament après avoir reçu l’autorisation de l’essai clinique des autorités réglementaires aux Pays-Bas et au Royaume-Uni, et prévoit de terminer l’administration d’ici la mi-2025. Le PDG de Vesper, Paul Little, a déclaré que c’était un accomplissement incroyable pour l’équipe de Vesper d’avoir pu faire progresser aussi rapidement le VES001 vers cette nouvelle phase d’essai clinique. L’entreprise s’engage à offrir cette nouvelle option de traitement oral aux familles vivant avec la DFT, où il n’existe actuellement aucun traitement approuvé. La décision d’avancer à cette phase suit des résultats encourageants d’une étude de phase 1a du VES001 chez des volontaires en bonne santé. Dans l’essai, le VES001 a été efficacement distribué à la fois dans le plasma et le système nerveux central, entraînant une augmentation des niveaux de progranuline sans événements indésirables graves. Source : https://longevity.technology/news/vesper-bio-kicks-off-clinical-trial-in-patients-with-gene-mutations-that-cause-ftd/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=vesper-bio-kicks-off-clinical-trial-in-patients-with-gene-mutations-that-cause-ftd

L’avenir des cliniques de longévité : Vers une révolution grâce à l’IA et aux wearables

La table ronde des cliniques de longévité s’est récemment tenue au Buck Institute en Californie, rassemblant des leaders et des innovateurs du monde entier pour identifier des diagnostics efficaces et des recommandations pour des interventions, des suppléments et des thérapies axés sur la longévité. Parmi les participants se trouvait Dr Peter Diamandis, entrepreneur et auteur à succès, qui a discuté avec Joanna Bensz de l’importance des données, des dispositifs portables et de l’intelligence artificielle dans le domaine de la longévité. Selon Diamandis, l’avenir des cliniques de longévité se divise en deux aspects : le diagnostic et le thérapeutique. Il prédit que les diagnostics deviendront moins coûteux et plus accessibles, se déplaçant des hôpitaux vers nos maisons, où des dispositifs collecteront des données en continu sur notre santé. En revanche, les traitements avancés seront administrés dans des centres de longévité, qui devraient évoluer pour inclure des thérapies telles que le reprogrammation épigénétique et les traitements génétiques. Diamandis souligne également que les cliniques qui ne s’adaptent pas aux données des dispositifs portables de leurs clients risquent de perdre leur clientèle. La collecte quotidienne de données est plus efficace qu’une évaluation annuelle. Pour motiver les clients à adopter un mode de vie sain, il envisage un avenir où l’intelligence artificielle pourrait agir comme un coach de santé personnel, offrant des conseils pratiques et adaptés. Il évoque également l’importance de l’état d’esprit, affirmant que ceux qui croient que la science peut prolonger leur durée de vie auront tendance à prendre soin d’eux-mêmes pour profiter des avancées futures. En fin de compte, Diamandis encourage les gens à cesser de craindre la mort et à commencer à vivre pleinement.

Source : https://longevity.technology/news/diamandis-mindset-is-single-most-important-thing/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=diamandis-mindset-is-single-most-important-thing