Étiquette : Europe

naturalX lance un fonds de 100 millions d’euros pour innover dans la santé préventive en Europe

naturalX Health Ventures, un fonds d’investissement européen, a récemment lancé un fonds de 100 millions d’euros dédié à la santé des consommateurs en Europe, avec pour objectif de promouvoir une transition d’une approche réactive à une gestion proactive de la santé. Ce fonds est annoncé comme le premier de ce type en Europe, se concentrant exclusivement sur la santé des consommateurs. Le paysage de la santé évolue, avec une demande croissante de la part des consommateurs pour des approches préventives, soutenues par des produits et services basés sur la science. Alors que le marché américain de la santé des consommateurs a connu une croissance significative grâce à des entreprises de renom, naturalX estime que le secteur en Europe reste fragmenté et sous-financé. Marvin Amberg, un entrepreneur allemand ayant une expérience dans les startups de santé et de consommation, a fondé le fonds en collaboration avec la société pharmaceutique à base de plantes, Schwabe Group. Selon Amberg, l’espace de la santé des consommateurs a été négligé par les investisseurs, mais il voit un tournant en Europe, où les consommateurs prennent davantage en main leur santé. Malgré quelques succès comme Oura et Neko Health, les startups européennes dans ce domaine peinent souvent à obtenir les investissements nécessaires pour croître. naturalX vise à combler ce manque en fournissant un financement ciblé et un soutien stratégique. Le fonds définit la santé des consommateurs comme l’intersection du bien-être et de la médecine, avec un intérêt particulier pour les solutions touchant des domaines tels que le sommeil, la santé intestinale, la prévention et la longévité. Avec un focus principal sur les investissements de série A, le fonds est également ouvert aux tours de financement tardifs de Seed et de série B, proposant des investissements initiaux allant de 3 à 5 millions d’euros, et jusqu’à 10 millions d’euros par entreprise. Au cours des 18 derniers mois, naturalX a déjà investi dans des sociétés comme mybacs, Flow Neuroscience, Kyan Health et Meela, tout en renforçant l’écosystème autour de sa thèse d’investissement. Le fonds cherche actuellement à étendre son équipe d’investissement et à établir des partenariats avec des entrepreneurs européens partageant sa vision de transformation de la santé des consommateurs. Source : https://longevity.technology/news/new-e100-million-fund-aims-to-drive-consumer-health-innovation-in-europe/

Impact de la mortalité saisonnière sur l’espérance de vie en Europe

Dans l’hémisphère nord, la mortalité augmente durant l’hiver, principalement en raison de l’influenza, une maladie saisonnière qui affecte particulièrement les personnes âgées. Ces dernières sont plus susceptibles de contracter des infections et de subir des conséquences graves qui en découlent. De plus, le temps froid impose des stress supplémentaires sur le corps vieillissant, rendant les personnes âgées plus vulnérables. L’incapacité à résister à ces stress, qui peuvent être supportés par des individus plus jeunes, caractérise la fragilité liée à l’âge, conduisant souvent à un déclin vers la mortalité. Une étude a été menée pour examiner les fluctuations saisonnières de la mortalité et leur impact sur l’espérance de vie dans 20 pays européens entre 2000 et 2019, en utilisant des données de mortalité harmonisées. Les résultats indiquent que la mortalité saisonnière a un impact significatif mais stable sur l’espérance de vie, avec une réduction moyenne de 1,14 an pour les hommes et de 0,80 an pour les femmes. Les décès parmi la population âgée, notamment ceux de 65 ans et plus, représentent la majorité de cette réduction. En particulier, l’excès de mortalité en hiver a le plus grand impact sur l’espérance de vie annuelle, avec des pertes notables en Portugal et en Bulgarie. Des variations significatives entre les pays ont également été observées, les effets les plus marqués se produisant durant les mois d’hiver et à des âges avancés. Ces résultats mettent en lumière la nécessité d’interventions de santé publique ciblées et en temps opportun pour atténuer la mortalité saisonnière excessive. Source : https://www.fightaging.org/archives/2025/01/the-seasonality-of-mortality-in-later-life/

Impact de la saisonnalité sur la mortalité et l’espérance de vie en Europe

Dans l’hémisphère nord, la mortalité augmente durant l’hiver, principalement en raison de la grippe, qui se manifeste surtout pendant cette saison. Les personnes âgées sont particulièrement vulnérables aux infections et à leurs conséquences. Le froid crée également des conditions supplémentaires qui stressent le corps âgé, rendant la résistance aux tensions plus difficile comparativement aux jeunes. Ce phénomène de vulnérabilité accrue au stress dans la vieillesse est lié à la notion de fragilité. Des chercheurs ont examiné la saisonnalité de la mortalité humaine, cherchant à quantifier l’ampleur de cet effet. Bien que les fluctuations saisonnières de la mortalité influencent l’espérance de vie à la naissance (e0), les données concernant l’impact de la mortalité saisonnière sur la longévité sont limitées et souvent centrées sur des événements spécifiques comme les vagues de chaleur ou les épidémies de grippe. Cette étude a exploré l’influence de la saisonnalité sur les niveaux d’espérance de vie et les tendances temporelles dans 20 pays européens entre 2000 et 2019, en utilisant des données harmonisées de mortalité hebdomadaire provenant de la Human Mortality Database. Les contributions saisonnières à l’espérance de vie à la naissance et à 65 ans ont été estimées par une approche d’excès de mortalité et une analyse de décomposition. L’analyse des séries chronologiques a permis d’évaluer l’impact sur les tendances de mortalité à long terme. Les résultats montrent que la mortalité saisonnière a un impact substantiel mais stable sur l’espérance de vie entre 2000 et 2019, avec une réduction annuelle moyenne de 1,14 an pour les hommes et de 0,80 an pour les femmes. La mortalité chez les personnes âgées (65 ans et plus) représente le principal facteur de cette réduction, environ 70% à 90% de la diminution de l’espérance de vie étant attribuable à cette tranche d’âge. La mortalité excédentaire en hiver a eu l’impact le plus fort sur l’espérance de vie annuelle, notamment au Portugal et en Bulgarie, où la perte d’espérance de vie atteint environ 0,8 an. L’étude a mis en évidence des variations significatives entre les pays quant aux contributions de la mortalité saisonnière, avec des effets particulièrement prononcés durant les mois d’hiver et chez les personnes âgées. Ces résultats soulignent l’importance d’interventions de santé publique ciblées et opportunes pour atténuer la mortalité saisonnière excédentaire. Source : https://www.fightaging.org/archives/2025/01/the-seasonality-of-mortality-in-later-life/

Impact de la mortalité saisonnière sur l’espérance de vie en Europe

Dans l’hémisphère nord, la mortalité augmente en hiver, en grande partie à cause de l’influenza qui est un phénomène hivernal. Les personnes âgées sont particulièrement vulnérables à cette infection et aux conséquences qui en découlent. En plus des infections, le temps froid impose d’autres stress sur le corps âgé, ce qui accentue le phénomène de fragilité lié à l’âge. Cette fragilité se manifeste par une incapacité à résister à des stress que les jeunes peuvent surmonter sans difficulté, entraînant ainsi une spirale descendante vers la mortalité. Des chercheurs ont étudié la saisonnalité de la mortalité humaine, cherchant à quantifier l’ampleur de cet effet. Bien que les fluctuations saisonnières de la mortalité influencent l’espérance de vie à la naissance, les données sur leur impact sur la longévité sont limitées et se concentrent principalement sur les niveaux de mortalité spécifiques à chaque saison, dus à des chocs comme les vagues de chaleur et les épidémies d’influenza. Cette étude a examiné l’influence de la saisonnalité de la mortalité sur les niveaux d’espérance de vie et les tendances temporelles dans 20 pays européens entre 2000 et 2019. Pour cela, des données de mortalité harmonisées au niveau de la population ont été utilisées, et les contributions saisonnières à l’espérance de vie à la naissance et à 65 ans ont été estimées à l’aide de l’approche de mortalité excédentaire et d’analyses de décomposition. Une analyse des séries temporelles a été employée pour évaluer l’impact sur les tendances de mortalité à long terme. Les résultats ont montré que la mortalité saisonnière avait un impact substantiel mais stable sur l’espérance de vie entre 2000 et 2019, avec une réduction annuelle moyenne de l’espérance de vie de 1,14 an pour les hommes et de 0,80 an pour les femmes. Les décès dans la population âgée (65 ans et plus) ont été le principal moteur de cet impact, représentant environ 70 % à 90 % de ces réductions. La mortalité excédentaire en hiver a eu l’impact le plus fort sur l’espérance de vie annuelle, notamment au Portugal et en Bulgarie, où la perte d’espérance de vie était d’environ 0,8 an. L’étude a révélé des variations significatives entre les pays concernant les contributions de la mortalité saisonnière, les effets les plus prononcés se produisant pendant les mois d’hiver et chez les personnes âgées. Ces résultats soulignent la nécessité d’interventions de santé publique ciblées et opportunes pour atténuer la mortalité saisonnière excédentaire. Source : https://www.fightaging.org/archives/2025/01/the-seasonality-of-mortality-in-later-life/

Impact de la saisonnalité sur la mortalité et l’espérance de vie en Europe

Dans l’hémisphère nord, la mortalité augmente pendant l’hiver, en grande partie en raison de l’influenza, une maladie hivernale qui met particulièrement en danger les personnes âgées. En effet, le froid entraîne non seulement des infections, mais aussi d’autres stress qui peuvent affecter le corps vieillissant. La fragilité liée à l’âge se caractérise par une incapacité à résister à ces stress, ce qui peut conduire à une spirale descendante vers la mortalité. Les chercheurs ont examiné la saisonnalité de la mortalité humaine, quantifiant l’ampleur de cet effet. Les fluctuations saisonnières de la mortalité ont un impact sur l’espérance de vie à la naissance, bien que les données sur cet impact soient limitées, se concentrant principalement sur la mortalité spécifique aux saisons, comme celle causée par les vagues de chaleur et les épidémies de grippe. Cette étude a évalué l’influence de la saisonnalité sur l’espérance de vie dans 20 pays européens entre 2000 et 2019, en utilisant des données de mortalité harmonisées. Elle a estimé les contributions saisonnières à l’espérance de vie à la naissance et à 65 ans, en utilisant une approche d’excès de mortalité et une analyse de décomposition. Les résultats montrent que la mortalité saisonnière a eu un impact substantiel mais stable sur l’espérance de vie entre 2000 et 2019, avec une réduction moyenne annuelle de 1,14 an pour les hommes et de 0,80 an pour les femmes. La mortalité chez les personnes âgées (65 ans et plus) a été le principal moteur de cette réduction, représentant environ 70 à 90 % des pertes d’espérance de vie. L’excès de mortalité hivernale a eu l’impact le plus fort sur l’espérance de vie annuelle, notamment au Portugal et en Bulgarie, où la perte d’espérance de vie était d’environ 0,8 an. L’étude met en évidence des variations significatives entre les pays concernant les contributions de la mortalité saisonnière, avec des effets plus prononcés observés pendant les mois d’hiver et chez les personnes âgées. Ces résultats soulignent la nécessité d’interventions de santé publique ciblées et opportunes pour atténuer la mortalité saisonnière excessive. Source : https://www.fightaging.org/archives/2025/01/the-seasonality-of-mortality-in-later-life/