Étiquette : biotechnologie

LinkGevity : Une Startup de Découverte Médicamenteuse Axée sur le Vieillissement et les Maladies Liées à l’Âge

LinkGevity, une startup de biotechnologie axée sur l’allongement de la durée de vie en bonne santé, a été sélectionnée pour le prestigieux programme KQ Labs du Francis Crick Institute. Fondée par les sœurs Dr Carina Kern et Serena Kern-Libera, LinkGevity s’appuie sur la théorie de l’âge développée par Kern, qui identifie les voies moléculaires responsables du vieillissement et des maladies liées à l’âge. La théorie postule que ces voies sont à l’origine de cascades destructrices qui sous-tendent de nombreuses conditions liées à l’âge. Grâce à une approche computationnelle et à l’intelligence artificielle, LinkGevity élabore des cartes détaillées pour révéler les déclencheurs biologiques du vieillissement, identifiant ainsi des cibles thérapeutiques et prédisant les risques de maladies. Le développement phare de l’entreprise est un traitement « anti-nécrotique » inédit, visant à inhiber la nécrose, qui est liée à un vieillissement accéléré et à des maladies chroniques. Ce traitement pourrait améliorer la résilience cellulaire et traiter des conditions comme la maladie rénale aiguë. LinkGevity prévoit de lancer un essai clinique pour traiter la dégénérescence tissulaire liée aux reins, avec des applications potentielles dans d’autres conditions liées à l’âge. L’entreprise a reçu des financements de l’UE et du gouvernement britannique, et a été sélectionnée pour le programme Space-Health de la NASA/Microsoft, soulignant son potentiel à atténuer le vieillissement accéléré chez les astronautes. Basée au Babraham Research Campus à Cambridge, LinkGevity bénéficie de l’expertise complémentaire de ses co-fondatrices, Kern ayant obtenu son doctorat à l’University College London et Kern-Libera apportant son expertise en droit et en finances publiques. Le choix de LinkGevity pour le programme KQ Labs est crucial pour leurs futurs projets, notamment le lancement d’un essai clinique pour les maladies rénales, qui représentent la neuvième cause de décès dans le monde selon l’OMS. Kern et Kern-Libera expriment leur enthousiasme pour les opportunités offertes par cette collaboration, qui pourrait propulser leur recherche vers de nouveaux sommets. Source : https://longevity.technology/news/linkgevity-gears-up-for-clinical-trial-of-aging-focused-anti-necrotic-drug/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=linkgevity-gears-up-for-clinical-trial-of-aging-focused-anti-necrotic-drug

LinkGevity : Une Startup Innovante en Découverte de Médicaments Anti-Vieillissement

LinkGevity est une startup de biotechnologie axée sur la prolongation de la santé, qui a récemment été sélectionnée pour le programme prestigieux KQ Labs, géré par le Francis Crick Institute. Fondée par les sœurs Dr Carina Kern et Serena Kern-Libera, LinkGevity utilise une approche de découverte de médicaments alimentée par l’intelligence artificielle pour cibler les maladies liées à l’âge. Leur mission repose sur la conviction que le vieillissement peut être abordé à sa source biologique, en s’appuyant sur la ‘Blueprint Theory of Aging’, une théorie développée par Kern qui identifie les voies moléculaires responsables du vieillissement et des maladies liées à l’âge. En utilisant l’IA, LinkGevity construit des cartes détaillées des déclencheurs biologiques du vieillissement, identifiant ainsi des cibles thérapeutiques et prédisant le risque de maladies. Le développement phare de l’entreprise est un traitement ‘anti-nécrotique’, visant à inhiber la nécrose, qui est liée à un vieillissement accéléré et à des maladies chroniques. Ce traitement est conçu pour améliorer la résilience cellulaire et surmonter les obstacles critiques au traitement de maladies telles que la maladie rénale aiguë. LinkGevity prévoit de lancer son premier essai clinique ciblant la dégénérescence tissulaire liée aux reins et au vieillissement. De plus, la société a reçu un financement du programme Horizon Europe de l’Union Européenne et a été sélectionnée pour le programme NASA/Microsoft Space-Health, en raison de son potentiel à atténuer le vieillissement accéléré chez les astronautes. LinkGevity explore également des partenariats pour élargir l’application de son traitement dans des domaines comme l’ingénierie tissulaire et la préservation des organes. Basée au Babraham Research Campus à Cambridge, la société bénéficie de l’expertise complémentaire de ses cofondatrices, Kern ayant un doctorat en vieillissement sain et Kern-Libera une expérience en leadership stratégique. Kern a déclaré que leur inclusion dans le programme KQ Labs serait essentielle pour leurs plans de recherche, notamment pour initier un essai clinique pour la maladie rénale, qui est la neuvième cause de décès dans le monde selon l’OMS. Le programme NASA/Microsoft a également donné un élan à leurs recherches, et l’écosystème du Francis Crick Institute devrait propulser leurs travaux vers de nouveaux sommets. Source : https://longevity.technology/news/linkgevity-gears-up-for-clinical-trial-of-aging-focused-anti-necrotic-drug/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=linkgevity-gears-up-for-clinical-trial-of-aging-focused-anti-necrotic-drug

LinkGevity : Une Start-up de Découverte de Médicaments Axée sur le Vieillissement

LinkGevity est une start-up de biotechnologie axée sur la santé et la longévité, fondée par les sœurs Dr Carina Kern et Serena Kern-Libera. Récemment sélectionnée pour le prestigieux programme KQ Labs du Francis Crick Institute, LinkGevity se concentre sur la découverte de médicaments pour traiter les maladies liées à l’âge et prolonger la durée de vie en bonne santé. La mission de l’entreprise repose sur la théorie de l’âge de Kern, qui identifie les voies moléculaires responsables du vieillissement et des maladies qui y sont associées. Cette théorie constitue la base de l’approche computationnelle de LinkGevity, utilisant l’intelligence artificielle pour créer des cartes détaillées révélant les déclencheurs biologiques du vieillissement. Grâce à un traitement sémantique et à une analyse avancée des données, l’entreprise identifie des cibles thérapeutiques et prédit les risques de maladies. Le développement phare de LinkGevity est un médicament ‘anti-nécrotique’ de première classe, visant à inhiber la nécrose, un phénomène lié à un vieillissement accéléré et à des maladies chroniques. Ce traitement devrait améliorer la résilience cellulaire et traiter des conditions telles que les maladies rénales aiguës. LinkGevity prévoit de lancer son premier essai clinique ciblant la dégénérescence tissulaire rénale et le vieillissement cette année, avec des applications potentielles dans d’autres conditions liées à l’âge. L’entreprise a reçu un financement de l’Union européenne et du gouvernement britannique, ainsi qu’une sélection pour le programme NASA/Microsoft Space-Health, en raison de son potentiel à atténuer le vieillissement accéléré chez les astronautes. En plus des applications cliniques, LinkGevity explore des partenariats pour élargir l’utilisation thérapeutique dans des domaines tels que l’ingénierie tissulaire et la préservation des organes. Située au Babraham Research Campus à Cambridge, LinkGevity bénéficie de l’expertise complémentaire de ses co-fondateurs. Kern, qui a obtenu son doctorat à l’University College London, et Kern-Libera, qui apporte un leadership stratégique grâce à son expérience en droit et en finance publique, travaillent ensemble pour faire avancer la recherche et le développement de traitements innovants contre le vieillissement. Kern a déclaré que la sélection de LinkGevity au programme KQ Labs serait cruciale pour leurs projets, notamment le lancement d’un essai clinique pour les maladies rénales, qui représentent la neuvième cause de décès dans le monde selon l’OMS. Kern-Libera a ajouté que l’inclusion dans le programme de l’institut Crick contribuera à faire avancer leurs recherches en s’appuyant sur les succès précédents du programme Space-Health. Source : https://longevity.technology/news/linkgevity-gears-up-for-clinical-trial-of-aging-focused-anti-necrotic-drug/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=linkgevity-gears-up-for-clinical-trial-of-aging-focused-anti-necrotic-drug

LinkGevity : Une Startup de Découverte de Médicaments Axée sur le Vieillissement et les Maladies Associées

LinkGevity, une startup biotechnologique axée sur l’amélioration de la santé et la lutte contre les maladies liées à l’âge, a été sélectionnée pour le programme prestigieux KQ Labs, géré par le Francis Crick Institute, qui offre un investissement en actions et un accès à un réseau mondial d’expertise scientifique. Fondée par les sœurs Dr Carina Kern et Serena Kern-Libera, LinkGevity se concentre sur la découverte de médicaments en utilisant l’intelligence artificielle pour aborder les maladies liées à l’âge. La mission de l’entreprise repose sur la conviction que le vieillissement peut être traité à sa source biologique. Le modèle théorique sur lequel repose leur approche, connu sous le nom de ‘Blueprint Theory of Aging’, identifie les voies moléculaires responsables du vieillissement et des maladies liées à l’âge, décrivant comment ces voies conduisent à des cascades destructrices qui sous-tendent de nombreuses conditions liées à l’âge. Cette théorie guide l’utilisation de l’IA par LinkGevity pour créer des cartes détaillées révélant les déclencheurs biologiques du vieillissement, permettant ainsi d’identifier des cibles thérapeutiques et de prédire les risques de maladies. Le développement phare de l’entreprise est un traitement ‘anti-nécrotique’ de première classe, visant à inhiber la nécrose, qui est la mort non contrôlée des cellules et des tissus, souvent associée à un vieillissement accéléré et à des maladies chroniques. Ce traitement pourrait améliorer la résilience cellulaire et surmonter des obstacles critiques dans le traitement de maladies comme les maladies rénales aiguës. LinkGevity prévoit de lancer son premier essai clinique axé sur la dégénérescence tissulaire liée aux reins et au vieillissement dans l’année, avec des applications potentielles dans d’autres conditions liées à l’âge. Le programme anti-nécrotique de l’entreprise a reçu une subvention Horizon Europe de l’Union européenne et un financement du gouvernement britannique. De plus, LinkGevity a été sélectionnée pour le programme Space-Health de NASA/Microsoft, en raison de son potentiel à atténuer le vieillissement accéléré et la dégénérescence tissulaire chez les astronautes. L’entreprise explore également des partenariats pour étendre l’application de son traitement à des domaines tels que l’ingénierie tissulaire et la préservation des organes. Basée au Babraham Research Campus à Cambridge, LinkGevity tire parti de l’expertise complémentaire de ses fondatrices. Kern a obtenu son doctorat à l’University College London et a été chercheuse pendant trois ans, tandis que Kern-Libera apporte des compétences en leadership stratégique issues de son parcours en droit et en finances publiques. Kern a déclaré que leur sélection au programme KQ Labs serait cruciale pour leurs projets, notamment le lancement d’un essai clinique pour les maladies rénales, alors que Kern-Libera a ajouté que leur inclusion dans le programme de la NASA/Microsoft et leur appartenance à l’écosystème du Francis Crick Institute aideraient à propulser leurs recherches. Source : https://longevity.technology/news/linkgevity-gears-up-for-clinical-trial-of-aging-focused-anti-necrotic-drug/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=linkgevity-gears-up-for-clinical-trial-of-aging-focused-anti-necrotic-drug

LinkGevity : Une startup innovante en découverte de médicaments axée sur le vieillissement

LinkGevity, une startup de biotechnologie axée sur l’extension de la durée de vie en bonne santé, a été sélectionnée pour le programme prestigieux KQ Labs, proposé par le Francis Crick Institute. Fondée par les sœurs Dr Carina Kern et Serena Kern-Libera, LinkGevity utilise l’intelligence artificielle pour découvrir des médicaments ciblant les maladies liées à l’âge. L’entreprise est fondée sur la ‘Blueprint Theory of Aging’, qui identifie les voies moléculaires responsables du vieillissement et des maladies associées. Selon cette théorie, ces voies sont à l’origine de cascades destructrices sous-jacentes à de nombreuses conditions liées à l’âge. LinkGevity utilise cette théorie comme base pour sa méthode computationnelle, élaborant des cartes détaillées pour révéler les déclencheurs biologiques du vieillissement grâce à un traitement sémantique et une analyse avancée des données. Leur principal développement est une thérapie ‘anti-nécrotique’ de première classe, visant à inhiber la nécrose, un processus de mort cellulaire incontrôlé associé au vieillissement accéléré et aux maladies chroniques. Ce traitement promet d’améliorer la résilience cellulaire et vise à traiter des conditions telles que la maladie rénale aiguë. LinkGevity prévoit de lancer son premier essai clinique ciblant la dégénérescence tissulaire rénale et le vieillissement plus tard cette année, avec des applications potentielles dans d’autres conditions liées à l’âge. L’entreprise a obtenu une subvention Horizon Europe de l’Union européenne et un financement du gouvernement britannique. De plus, elle a été sélectionnée pour le programme NASA/Microsoft Space-Health pour son potentiel à atténuer le vieillissement accéléré chez les astronautes. LinkGevity explore également des partenariats pour étendre l’impact de sa thérapie dans des domaines tels que l’ingénierie tissulaire et la préservation des organes. Basée au Babraham Research Campus à Cambridge, l’entreprise bénéficie de l’expertise complémentaire de ses co-fondatrices. Kern a obtenu son doctorat à l’Institute of Healthy Ageing à l’University College London et a été chercheuse pendant trois ans à UCL, tandis que Kern-Libera apporte son expérience en leadership stratégique dans le domaine du droit et des finances publiques. Kern, la PDG de LinkGevity, a déclaré que leur sélection au programme KQ Labs serait essentielle pour lancer un essai clinique sur la maladie rénale, qui est la neuvième cause de décès dans le monde selon l’OMS. LinkGevity espère valider ce médicament comme candidat pour traiter le vieillissement de manière plus générale, ouvrant la voie à un essai potentiellement révolutionnaire. Source : https://longevity.technology/news/linkgevity-gears-up-for-clinical-trial-of-aging-focused-anti-necrotic-drug/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=linkgevity-gears-up-for-clinical-trial-of-aging-focused-anti-necrotic-drug

OpenAI et Retro Biosciences : Une Révolution dans la Science de la Longévité grâce à l’IA

OpenAI a récemment lancé un modèle d’intelligence artificielle innovant, le GPT-4b micro, spécifiquement conçu pour la recherche biologique et l’ingénierie des protéines, avec un accent particulier sur la science de la longévité. Cette initiative s’inscrit dans le cadre d’une collaboration avec Retro Biosciences, une entreprise dédiée au développement de thérapies anti-âge, soutenue financièrement par Sam Altman, le fondateur d’OpenAI. L’objectif de Retro Bio est d’augmenter de 10 ans la durée de vie saine humaine en ciblant les mécanismes du vieillissement et en prévenant les maladies liées à l’âge grâce à des techniques de transcriptomique cellulaire. Le modèle GPT-4b micro a été appliqué pour modifier les facteurs de Yamanaka, des protéines clés permettant de reprogrammer les cellules adultes en cellules souches embryonnaires. Des recherches préliminaires montrent que ces modifications ont entraîné une augmentation de plus de 50 fois l’efficacité des facteurs de Yamanaka. Ce développement suscite une grande excitation dans la communauté scientifique, certains experts, tels qu’Allison Duettmann du Foresight Institute, voyant dans ces avancées une révolution potentielle dans le domaine médical. Cependant, d’autres, comme Yuri Deigin de YouthBio Therapeutics, soulignent que l’objectif réel devrait être de découvrir de nouveaux facteurs capables de rajeunir les cellules sans les reprogrammer complètement. Cette situation met en lumière les disparités entre les avancées scientifiques alimentées par l’IA et le modèle de soins de santé actuel, qui est principalement axé sur le traitement des maladies plutôt que sur l’extension de la durée de vie en bonne santé. Dr Hilary Lin, fondatrice de Livora Health, appelle à une refonte des systèmes de santé pour s’adapter à cette nouvelle ère de percées en matière de longévité. En résumé, l’innovation d’OpenAI dans le secteur de la longévité pourrait transformer notre compréhension et notre approche du vieillissement, mais pose également des questions cruciales sur l’avenir des soins de santé. Source : https://longevity.technology/news/could-openais-latest-model-drive-progress-in-longevity-science/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=could-openais-latest-model-drive-progress-in-longevity-science

Inauguration de l’installation GMP agrandie au Roswell Park Comprehensive Cancer Center

Le gouverneur de New York, Kathy Hochul, et les dirigeants du Roswell Park Comprehensive Cancer Center se sont réunis pour célébrer l’inauguration de l’installation de fabrication de cellules et d’ingénierie, récemment agrandie, de Roswell Park. Cette expansion de 11 000 pieds carrés comprend 20 salles blanches réparties sur deux bâtiments et un étage entier dans le Roswell Park Cancer Cell Center. Avec cette expansion, le centre devient la plus grande installation GMP académique de l’État de New York, marquant une avancée significative pour la recherche et le traitement du cancer. L’installation permet de fournir des équipements de thérapie cellulaire à la pointe de la technologie, des capacités de fabrication et un contrôle qualité complet, englobant la recherche préclinique, la fabrication clinique, les essais cliniques et l’implémentation. Des spécialistes de premier plan dans tous les domaines de la thérapie cellulaire et génique dirigeront les travaux dans ce pôle d’innovation, incluant des membres de l’équipe de Roswell Park qui ont contribué au développement de trois des six thérapies CAR T-cell approuvées par la FDA. Candace S. Johnson, PDG de Roswell Park, souligne que cette installation de pointe permettra de fabriquer des thérapies personnalisées à partir des cellules des patients, tout en offrant des ressources aux médecins et scientifiques de classe mondiale. Le design de l’installation multifonctionnelle favorisera également la croissance de thérapies CAR T-cell innovantes et soutiendra de petites entreprises biotechnologiques, permettant d’accélérer l’accès aux traitements prometteurs pour les patients atteints de cancer. Yeong “Christopher” Choi, directeur technique de l’installation GMP, insiste sur l’engagement des experts à guider le développement de ces thérapies à chaque étape, en garantissant qualité et conformité. Renier Brentjens, pionnier de la thérapie CAR T-cell, est déterminé à améliorer la sécurité et l’efficacité de ces traitements. Cinq essais cliniques de CAR T sont prévus pour 2025, utilisant les nouvelles installations pour créer des traitements sur mesure. Le centre Roswell Park, fondé en 1898, est un leader dans l’innovation contre le cancer, offrant des soins accessibles à travers l’État de New York. Pour en savoir plus sur les ressources uniques et les nouvelles technologies de l’installation, il est possible de visiter le site web de Roswell Park. Source : https://www.lifespan.io/news/cutting-edge-facility-expands-to-support-cancer-therapy/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=cutting-edge-facility-expands-to-support-cancer-therapy

Tune Therapeutics : Lever des fonds pour révolutionner l’édition épigénétique des maladies chroniques

Tune Therapeutics, une entreprise d’édition de l’épigénome fondée en 2021, a levé plus de 175 millions de dollars lors d’un financement de série B pour développer sa plateforme de ‘tuning génétique’ et ses programmes thérapeutiques associés. Contrairement aux technologies d’édition de gènes qui modifient l’ADN, Tune se concentre sur la régulation de l’activité des gènes à l’aide de contrôleurs épigénomiques, permettant ainsi de traiter des maladies chroniques tout en préservant l’intégrité de la séquence d’ADN. Cette approche vise à minimiser les risques liés aux dommages à l’ADN et aux effets hors cible, tout en permettant la modulation simultanée de plusieurs gènes, ce qui est particulièrement pertinent pour les maladies complexes liées à l’âge. La société affirme que sa technologie pourrait remplacer les cellules perdues à cause du vieillissement et des maladies, faciliter la réparation des tissus et organes endommagés par l’âge, et traiter des problèmes d’inflammation chronique et de dysfonctionnement immunitaire. Le financement obtenu servira à accélérer le développement des pipelines de Tune, y compris le programme phare Tune-401, un silencieux épigénétique pour l’hépatite B chronique, une maladie qui touche des millions de personnes dans le monde et est la principale cause du cancer du foie. Tune-401 utilise une technologie de nanoparticules lipidiques pour silencer les structures d’ADN nécessaires à la persistance de l’infection. Le programme est actuellement en essais cliniques en Nouvelle-Zélande et à Hong Kong. Dr Charles Gersbach, co-fondateur de Tune, a exprimé sa satisfaction quant aux progrès de l’entreprise et à l’application clinique de l’épi-édition à une maladie chronique commune. La plateforme de Tune, appelée TEMPO, utilise un design modulaire comprenant des domaines de liaison à l’ADN et des effecteurs pour ajuster l’activité des gènes. Elle peut réguler ou silencer des gènes de manière spécifique et durable, en exploitant la mémoire épigénétique innée de la cellule pour des effets durables à partir d’interventions transitoires. À la conférence ASGCT 2023, Tune a démontré une répression durable du gène PCSK9 chez des primates non humains, entraînant une réduction soutenue des niveaux de cholestérol LDL presque deux ans après un seul traitement. Source : https://longevity.technology/news/tune-dials-in-175m-to-advance-epigenetic-editing-therapies/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=tune-dials-in-175m-to-advance-epigenetic-editing-therapies

Tune Therapeutics lève 175 millions de dollars pour avancer dans l’édition épigénétique pour traiter les maladies chroniques

Tune Therapeutics, une entreprise d’édition de l’épigénome, a récemment levé plus de 175 millions de dollars lors d’un financement de série B pour développer sa plateforme de ‘réglage génétique’ et ses programmes thérapeutiques associés. Fondée en 2021, l’entreprise se concentre sur l’activation, la silenciation et le réglage de l’expression de gènes spécifiques, dans le but de renverser la dysfonction cellulaire et les maladies. Contrairement aux technologies d’édition génique qui modifient l’ADN, Tune vise à traiter les maladies chroniques en ciblant les contrôleurs épigénomiques pour réguler précisément l’activité des gènes, tout en préservant la séquence d’ADN. Cette approche vise à réduire les risques de dommages à l’ADN et d’effets secondaires hors cible, tout en permettant la modulation simultanée de plusieurs gènes, ce qui est particulièrement pertinent dans le cadre de maladies complexes liées à l’âge. L’entreprise affirme que sa technologie pourrait remplacer les cellules perdues à cause du vieillissement et des maladies, faciliter la réparation des tissus et organes endommagés par l’âge, atténuer l’inflammation chronique et la dysfonction immunitaire, et inverser ou réinitialiser les modèles de dysrégulation génétique qui sont à l’origine de nombreuses maladies chroniques et tardives. Le tour de financement de série B a été dirigé par des investisseurs, dont la fondation Hevolution, qui se concentre sur l’amélioration de la durée de vie en bonne santé. William Greene, directeur des investissements de Hevolution, a souligné que bien que la médecine moderne ait prolongé notre espérance de vie, elle a fait peu pour améliorer notre durée de vie en bonne santé, et que les maladies chroniques liées à l’âge augmentent en incidence et en gravité. Le financement permettra d’accélérer le développement du pipeline de Tune, y compris son programme phare, Tune-401, un silencieux épigénétique pour l’hépatite B chronique, une maladie touchant des millions de personnes dans le monde et principale cause de cancer du foie. Le programme clinique de Tune-401 utilise une technologie de nanoparticules lipidiques fournie par Acuitas Therapeutics et est actuellement en essais cliniques en Nouvelle-Zélande et à Hong Kong. Le co-fondateur de Tune, le Dr Charles Gersbach, a exprimé sa satisfaction quant à l’évolution de la plateforme et de l’entreprise, ayant atteint un jalon mondial dans l’application clinique de l’épi-édition. La plateforme de Tune, appelée TEMPO, utilise une conception modulaire comprenant des domaines de liaison à l’ADN (DBD) et des effecteurs, qui guident le système vers des régions génomiques spécifiques pour régler finement l’activité des gènes. TEMPO peut augmenter ou réduire l’expression des gènes avec spécificité et durabilité, exploitant la mémoire épigénétique innée de la cellule pour des effets durables à partir d’interventions transitoires. Lors de la conférence ASGCT 2023, Tune a démontré une répression durable du gène PCSK9 chez des primates non humains, entraînant une réduction soutenue des niveaux de cholestérol LDL près de deux ans après un seul traitement. Source : https://longevity.technology/news/tune-dials-in-175m-to-advance-epigenetic-editing-therapies/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=tune-dials-in-175m-to-advance-epigenetic-editing-therapies

Hevolution soutient Tune Therapeutics dans sa quête d’éditer l’épigénome pour traiter les maladies chroniques

Tune Therapeutics, une entreprise spécialisée dans l’édition de l’épigénome, a récemment levé plus de 175 millions de dollars lors d’un financement de série B pour faire progresser sa plateforme de « réglage génétique » et ses programmes thérapeutiques associés. Fondée en 2021, l’entreprise se concentre sur l’activation, la silencieuse et la régulation précise de l’expression de gènes spécifiques afin de renverser les dysfonctionnements cellulaires et les maladies. Contrairement aux technologies d’édition génétique qui modifient l’ADN, Tune vise à traiter des maladies chroniques en ciblant les contrôleurs épigénomiques pour réguler précisément l’activité des gènes, tout en préservant l’intégrité de la séquence d’ADN. Cette approche a pour but de minimiser les risques de dommages à l’ADN et d’effets hors cible, tout en permettant la modulation simultanée de plusieurs gènes, ce qui est particulièrement pertinent pour les maladies complexes liées à l’âge. L’entreprise affirme que sa technologie pourrait remplacer les cellules perdues à cause du vieillissement et des maladies, faciliter la réparation des tissus et organes endommagés par le vieillissement, atténuer l’inflammation chronique et la dysfonction immunitaire, ainsi que renverser ou réinitialiser les modèles de dysrégulation génique qui sous-tendent de nombreuses maladies chroniques et d’apparition tardive. Le tour de financement de série B a été dirigé par des investisseurs, notamment la fondation à but non lucratif Hevolution, axée sur la santé, ainsi que New Enterprise Associates, Regeneron Ventures et Yosemite. William Greene, directeur des investissements chez Hevolution, a déclaré que, bien que la médecine moderne ait considérablement prolongé notre espérance de vie, elle a fait bien moins pour améliorer notre santé active. Il a souligné que les maladies chroniques liées à l’âge sont en augmentation et que les approches actuelles sont simplement inadéquates. Selon lui, l’édition épigénétique pourrait être la modalité transformative nécessaire pour inaugurer une nouvelle ère de médecine régénérative. Le nouveau financement permettra d’accélérer le développement de la pipeline de Tune, y compris son programme phare, Tune-401, un silencieux épigénétique pour l’hépatite B chronique, une maladie touchant des millions de personnes dans le monde et principale cause de cancer du foie. Le programme, qui est en phase clinique, utilise une technologie de nanoparticules lipidiques fournie par Acuitas Therapeutics, et est actuellement en essais cliniques en Nouvelle-Zélande et à Hong Kong. Le co-fondateur de Tune, le Dr Charles Gersbach, a exprimé sa satisfaction de voir l’évolution de la plateforme et de l’entreprise, ayant déjà atteint un jalon mondial dans l’application clinique de l’épi-édition à une maladie chronique courante. La plateforme de Tune, appelée TEMPO, utilise un design modulaire comprenant des domaines de liaison à l’ADN (DBDs) et des effecteurs, qui guident le système vers des régions génomiques spécifiques pour ajuster l’activité génique. En fonction des besoins thérapeutiques, TEMPO peut réguler à la hausse ou à la baisse les gènes avec spécificité et durabilité, en tirant parti de la mémoire épigénétique innée de la cellule pour des effets durables. Lors de la conférence ASGCT 2023, Tune a démontré la répression durable du gène PCSK9 chez des primates non humains, entraînant une réduction soutenue des niveaux de cholestérol LDL près de deux ans après un seul traitement. Source : https://longevity.technology/news/tune-dials-in-175m-to-advance-epigenetic-editing-therapies/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=tune-dials-in-175m-to-advance-epigenetic-editing-therapies