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L’évolution de l’industrie de la longévité : Entre défis et promesses d’un futur radieux

En mai de cette année, le Sommet des Investisseurs de Vitalist Bay a réuni à Berkeley un groupe interdisciplinaire de scientifiques, d’entrepreneurs, de cliniciens et d’investisseurs, se positionnant comme un forum de leadership d’opinion et un moteur de l’innovation dans le domaine de la longévité. Lors de cet événement, Phil Newman, fondateur et PDG de Longevity.Technology, a présenté une évaluation franche de l’état actuel de l’industrie et a tracé ses possibles futurs, passant des bases en maturation de la Longévité 2.0 à l’architecture spéculative de la Longévité 3.0. Newman a observé que des développements majeurs surviennent dans l’industrie de la longévité, avec des personnalités influentes comme Bryan Johnson et l’émergence de traitements comme les GLP-1. Toutefois, il a souligné que le secteur manque de capital et de visibilité par rapport à d’autres domaines. Dans son rapport de 2024, Newman analyse 14 sous-domaines, y compris la sénothérapeutique et la longévité reproductive, et a observé que le financement pour 2023 à 2024 a atteint 8,26 milliards de dollars, bien que le nombre de transactions ait diminué. En ce qui concerne l’évolution de l’industrie, il a indiqué que nous sommes actuellement en Longévité 1.0 mais que nous nous dirigeons vers Longévité 2.0, mettant en lumière l’importance de la gestion des modes de vie, des diagnostics consommateurs et des cliniques de longévité. La Longévité 3.0 pourrait signifier une existence sans maladie, voire une existence éternelle. Des efforts numériques comme ceux de Subsense, utilisant des nanobots pour traiter des maladies neurodégénératives, montrent l’innovation en cours. Newman a également évoqué des projets de préservation des organes et d’éventuelles transplantations de tête, soulignant la frontière passionnante de la biostase. À l’avenir, certaines idées audacieuses suggèrent que nous pourrions « prendre notre retraite dans le cloud », une vision soutenue par des investisseurs. En conclusion, Newman exprime un optimisme quant à l’avenir de la longévité, affirmant que la technologie, y compris l’IA, est un outil qui nous permettra d’atteindre des objectifs remarquables, soulignant le mantra de Bryan Johnson : « Ne pas mourir ». Source : https://longevity.technology/news/were-all-part-of-something-remarkable/

Sommet sur l’Augmentation Humaine 2025 : Explorer les Frontières de la Condition Humaine

Le 23 août 2025, le MIT Media Lab à Cambridge, MA, accueillera le Sommet sur l’Augmentation Humaine, un événement d’une journée entière consacré à l’exploration des frontières du potentiel humain et de la longévité. Ce sommet rassemblera des créateurs issus de startups innovantes, de grandes entreprises, de chercheurs indépendants et d’artistes, tous engagés dans la transformation de l’avenir de la condition humaine. Les participants peuvent s’attendre à une journée riche en démonstrations en direct, en discours provocateurs, ainsi qu’à une séance de questions-réponses animée par Stephen Wolfram. Les projets exposés couvriront divers domaines tels que l’intelligence, l’incarnation, la biologie, les réseaux, les visions du monde, le design et les entreprises, la complexité et la gouvernance. Les travaux exposés incluent des thèmes comme l’augmentation cognitive, le cyborgisme, la longévité et le biohacking, ainsi que des réflexions sur l’éthique et la spiritualité. L’événement se déroulera de 9h à 21h avec une afterparty. Des intervenants de renom, tels que Stephen Wolfram, Curt Jaimungal, Nataliya Kosmyna et Albert Nerenberg, seront présents pour partager leurs idées et travaux. Les personnes intéressées à participer ou à exposer leurs projets doivent s’inscrire avant le 15 août. L’Augmentation Lab, une communauté transdisciplinaire, est à l’origine de cet événement, avec des co-fondateurs issus du MIT et de Harvard. Pour plus d’informations, il est possible de visiter le site web de l’Augmentation Lab ou de les contacter par email ou sur les réseaux sociaux. Source : https://www.lifespan.io/news/augmentation-lab-announces-the-human-augmentation-summit/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=augmentation-lab-announces-the-human-augmentation-summit

Le rapamycine : enjeux, usages et perspectives pour la santé des personnes âgées

La régulation des médicaments au sein des institutions académiques et gouvernementales est dominée par une vision qui considère que les individus ne devraient pas avoir le droit de choisir leurs propres risques ni de commettre leurs propres erreurs. Cette approche préconise que le rôle des régulateurs est d’éliminer autant de risques que possible. Les coûts élevés des soins médicaux et la lenteur de l’introduction de nouveaux médicaments sont jugés moins problématiques que la liberté accrue des patients. Cette perspective est mise en lumière dans la discussion sur le rapamycine, un médicament immunosuppresseur qui a récemment suscité un intérêt accru pour son potentiel à améliorer la santé des personnes âgées et à ralentir le vieillissement dégénératif. Bien qu’il soit approuvé pour un usage immunosuppresseur, le rapamycine est de plus en plus prescrit off-label par des médecins, qui peuvent justifier cette utilisation si des travaux préexistants suggèrent que l’usage alternatif pourrait être sûr et utile. Cependant, il existe peu de données concrètes sur son utilisation chez l’homme pour le ralentissement du vieillissement, en raison du coût prohibitif des essais cliniques. De plus, de nombreux universitaires et régulateurs expriment leur mécontentement face à l’utilisation hors étiquetage, révélant leurs préoccupations quant à la liberté, au risque et au rôle des régulateurs. Le rapamycine, découvert dans les années 1970, est devenu un outil essentiel en recherche biomédicale. Son rôle dans l’inhibition de la voie mTOR, qui régule la division cellulaire et la survie, est de plus en plus étudié dans le contexte du vieillissement et des maladies liées à l’âge. Bien que les médecins et les biohackers utilisent le rapamycine hors étiquetage pour prévenir les conditions liées à l’âge, la disponibilité semi-régulée du médicament soulève des préoccupations éthiques quant à la sécurité des patients et à la désinformation. Le cas du technologue Bryan Johnson, qui a suivi un régime anti-vieillissement complexe impliquant le rapamycine, illustre les dangers de contourner la science examinée par des pairs au profit d’une culture de biohacking anecdotal. Bien que la FDA ne reconnaisse pas le vieillissement comme une maladie, l’intérêt croissant pour l’approbation de thérapies qui améliorent la durée de vie en bonne santé est à noter. Cependant, les approbations de la FDA sont généralement basées sur des indications spécifiques et diagnosables, plutôt que sur des syndromes généralisés. La question de l’efficacité du rapamycine pour le traitement de maladies spécifiques comme Alzheimer, plutôt que pour le vieillissement en général, reste ouverte, tout comme les défis réglementaires et de preuves scientifiques qui doivent être pris en compte pour évaluer l’avenir clinique et de recherche du rapamycine. Source : https://www.fightaging.org/archives/2025/07/a-conservative-view-of-rapamycin/

Célébration du premier anniversaire de l’Oxford Biohacking Society : Innovation et collaboration pour la longévité

Le Oxford Biohacking Society (OBS) a célébré son premier anniversaire lors d’un gala au Oxford & Cambridge Club à Londres, rassemblant plus de 120 scientifiques, chercheurs et entrepreneurs passionnés par le biohacking et la biotechnologie. Fondé en 2024 par Marie Kruth, le OBS a rapidement gagné en notoriété au Royaume-Uni, organisant des événements allant d’ateliers sur la vie saine à des conférences de chercheurs sur l’extension radicale de la vie. La mission de la société est de créer une communauté interdisciplinaire dédiée à l’exploration des frontières de l’amélioration humaine et de la longévité. Lors de la soirée, Richard Hughes, VP de Publishing chez Nature, a donné un discours inspirant sur l’importance de la collaboration dans la recherche scientifique. Un partenariat avec le BIO4 Belgrade Campus, un nouveau hub biotechnologique en Serbie, a également été mis en avant, témoignant de la dimension internationale croissante du mouvement de biohacking. Le gala a été l’occasion de célébrer les réalisations de l’OBS, notamment l’attraction d’une base de membres diversifiée et l’organisation de conférences de haut niveau. L’OBS prévoit d’élargir ses offres d’événements et de renforcer ses partenariats, tout en rendant la science du biohacking et de la longévité accessible à un public plus large. En fin de soirée, les invités ont levé leur verre à l’avenir de la recherche sur le biohacking et la longévité, reflétant l’esprit de collaboration et d’optimisme. Marie Kruth, en tant que fondatrice et doctorante en ingénierie tissulaire à l’Université d’Oxford, est déterminée à contribuer au développement de technologies de pointe dans son domaine. Avec des partenariats en vue et une dynamique croissante, l’OBS est bien positionnée pour jouer un rôle majeur dans l’avenir de l’amélioration humaine et de la longévité saine. Source : https://longevity.technology/news/oxford-biohacking-society-celebrates-first-year-anniversary/

Longevité 1.0 : L’émergence de l’économie de la durée de vie

Le secteur de la longévité, longtemps défini par des avancées scientifiques, des financements de capital-risque et des progrès réglementaires prudents, connaît un changement significatif : une adoption croissante par l’industrie du bien-être. L’intérêt croissant des consommateurs pour un vieillissement en santé passe d’une curiosité marginale à une ambition grand public, élargissant ainsi la conversation et les plateformes où elle se déroule. Le nouveau podcast du Global Wellness Institute, intitulé ‘The Wellness Roundtable: Longevity’, vise à mettre en lumière l’intersection entre longévité et bien-être. Animée par Alexia Brue, co-fondatrice de Well+Good, cette série s’adresse aux professionnels du bien-être, aux entrepreneurs et aux consommateurs éclairés qui cherchent à comprendre les derniers développements et à réfléchir sur l’avenir de ce domaine. Dans le deuxième épisode, Phil Newman, PDG de Longevity.Technology, partage sa perspective sur l’état actuel de l’industrie. Newman décrit cette période comme ‘Longevity 1.0’, un terme qu’il utilise pour ancrer la discussion dans quelque chose de tangible et accessible. Il souligne que l’industrie du bien-être commence à embrasser l’agenda de la longévité, reconnaissant le potentiel de le commercialiser. Il évoque les actifs de bien-être, tels que les salles de sport et les cliniques, qui peuvent être réimaginés à travers une lentille de longévité, en visant à améliorer la durée de vie en bonne santé. Newman propose également une taxonomie pour le parcours des consommateurs avec le ‘Ten Levels of Longevity Framework’, où les trois premiers niveaux se concentrent sur des pratiques d’auto-optimisation, tandis que le niveau quatre représente la professionnalisation de la longévité avec des cliniques spécialisées. Malgré les avancées, Newman souligne qu’il n’existe pas de normes communes dans ce domaine émergent, bien que des outils comme les moniteurs de glucose continu et les tests de VO₂ max soient utilisés. La conversation entre Newman et Brue équilibre optimisme et réalisme, montrant que bien que l’économie de la durée de vie soit naissante, sa direction est de plus en plus claire. Pour le secteur du bien-être, la longévité représente non seulement une opportunité commerciale, mais aussi un nouveau cadre pour penser la vitalité, la productivité et le sens à travers les décennies. Source : https://longevity.technology/news/longevity-1-0-and-the-rise-of-the-healthspan-economy/

Bryan Johnson au Founders Longevity Forum : Une Révolution dans la Longévité

Le Founders Longevity Forum se tiendra à Londres le 10 juin 2025, réunissant des investisseurs en longévité, des entrepreneurs en biotechnologie et des scientifiques de la translational. Cet événement, co-organisé par le Founders Forum Group et Longevity.Technology, aura lieu au OXO2, un lieu central en bord de rivière, dans le cadre de la London Tech Week. L’un des principaux moments de cette édition sera l’intervention en personne de Bryan Johnson, créateur du protocole Blueprint, qui prononcera un discours principal intitulé ‘Blueprinting the Future: Bryan Johnson on Optimising Life and Defying Death’. Dans cette session, il présentera sa vision audacieuse pour l’avenir du vieillissement, retracera l’évolution de son protocole Blueprint et partagera les défis et les enseignements tirés de son expérience dans le domaine de la longévité. Johnson, connu pour son approche d’auto-optimisation intensive, a investi des millions dans un programme visant à inverser l’âge biologique à travers divers organes et systèmes. Son parcours l’a rendu à la fois célèbre et controversé, et il a récemment été le sujet d’un documentaire sur Netflix, ‘Don’t Die: The Man Who Wants to Live Forever’, qui suit son objectif de contrer le vieillissement par des interventions radicales. L’apparition de Johnson au forum représente un signal fort que l’écosystème européen de la longévité prend de l’ampleur sur la scène mondiale. Son discours devrait dépasser les récits lisses et aborder les idées derrière son audacieux Blueprint, ainsi que ses réflexions sur le vieillissement, l’identité et l’optimisation biologique. Bien que son approche soit divisive, elle représente une nouvelle génération de pionniers de la longévité, combinant ingénierie des systèmes, obsession des données et un engagement personnel fort. Cette convergence de la technologie, de l’auto-expérimentation et d’une vision globale est en train de redéfinir la conversation sur la longévité. Johnson est perçu comme un acteur clé, et sa présence au FLF Londres souligne la transition d’un cercle scientifique fermé vers un mouvement culturel interdisciplinaire. Les participants auront l’occasion de vivre une expérience provocante et enrichissante, avec des discussions qui vont au-delà des modèles traditionnels de vieillissement et de soins de santé. Le forum mettra également en avant des intervenants de premier plan dans des domaines tels que l’épigénétique, les diagnostics orientés consommateur et l’innovation thérapeutique. Le programme mettra l’accent sur l’utilisation de l’IA et de l’apprentissage automatique pour identifier les biomarqueurs du vieillissement et personnaliser les interventions. En somme, le Founders Longevity Forum constitue une plateforme essentielle pour faire avancer la recherche et l’innovation dans le domaine de la longévité. Source : https://longevity.technology/news/bryan-johnson-joins-founders-longevity-forum-london-stellar-line-up/

La Donnée au Service de la Longévité : Transformer l’Information en Action

À une époque où l’intérêt pour la longévité connaît une croissance rapide, il est crucial d’aider les gens à naviguer à travers des niveaux sans précédent d’informations sur la santé. Chacun a accès à une multitude de données sur son corps grâce à la technologie portable et aux auto-tests, et nous entrons dans une ère où les diagnostics préventifs avancés deviennent plus accessibles. La mission est de transformer ces données en actions, en connaissances qui peuvent avoir un impact significatif sur la vie d’une personne. Comprendre son corps et détecter les risques tôt permet à un individu de réagir et de prendre le contrôle de sa santé.

Cependant, bien que l’accès à plus d’informations soit positif, ces données nécessitent un contexte médical pour éviter les mauvaises interprétations. L’essor des tests ADN et des produits de biohacking a changé les attitudes envers les soins de santé, mais il est essentiel de donner un sens à ces données pour qu’elles soient réellement utiles. Dans le passé, le simple accès à l’information sur Internet a souvent conduit à des inquiétudes infondées concernant des problèmes de santé. Par exemple, une recherche sur une toux chronique pourrait amener quelqu’un à craindre un cancer du poumon alors qu’il est plus probable qu’il s’agisse d’asthme.

De plus, bien que l’intérêt pour les tests préventifs augmente, il est crucial d’avoir un contexte médical pour interpréter correctement les résultats. La combinaison de tests avancés et d’analyses génétiques peut fournir un aperçu plus clair de la santé d’une personne, permettant une approche proactive des soins de santé. Actuellement, l’approche réactive des soins de santé exerce une pression sur les systèmes de santé publique. L’innovation technologique permet d’agir plus tôt, mais la mise en œuvre de ces changements demande du temps et des ressources.

Le système de santé britannique, par exemple, se concentre encore sur la gestion des conditions de santé à long terme, mais il est vital de soutenir les patients dans une approche proactive. Il ne s’agit pas simplement de vivre éternellement, mais de rester en bonne santé plus longtemps. Le paysage des soins de santé est en pleine transformation, mais l’accès à des technologies de diagnostic avancées varie considérablement, tant au niveau mondial que régional.

Dans ce contexte, le secteur privé joue un rôle de plus en plus important dans le développement de programmes de longévité, comblant les lacunes que le NHS ne peut remplir. Une recherche récente a révélé que deux tiers des employés au Royaume-Uni souhaitent être plus proactifs concernant leur santé, et plus de la moitié serait plus encline à accepter un emploi chez un employeur qui soutient activement leur santé à long terme. Les entreprises, en particulier dans des secteurs comme la finance et la technologie, commencent à introduire de nouveaux avantages liés à la santé qui vont au-delà des contrôles de santé annuels traditionnels.

Les données de santé doivent aller au-delà des chiffres et des graphiques ; elles nécessitent une expertise clinique combinée à la technologie pour fournir un chemin clair vers une meilleure santé et longévité. Il est impératif de ne pas laisser les messages de santé importants se perdre dans un océan de données, mais plutôt de permettre aux gens de comprendre ce que leur corps leur dit et d’agir en conséquence. Notre perspective sur la santé change, mais nous ne devons pas laisser la surcharge d’informations obscurcir notre vision. Source : https://longevity.technology/news/turning-data-into-action-is-the-fundamental-longevity-step-we-must-support/

Forum de la Longévité des Fondateurs 2025 : Diagnostics, Réversion de l’Âge et Thérapeutiques Préventives

Le Forum de la Longévité des Fondateurs, co-organisé par le Founders Forum Group et Longevity.Technology, se tiendra à Londres le 10 juin 2025. Cet événement, qui s’inscrit dans le cadre de la London Tech Week, mettra en lumière des aspects essentiels du secteur en plein essor de la longévité, notamment les diagnostics consommateurs, les thérapeutiques préventives et la réversion ciblée des maladies. L’agenda du forum est soigneusement structuré pour aborder plusieurs thèmes critiques liés à la longévité. Les discussions porteront sur les diagnostics consommateurs, en se concentrant sur les opportunités commerciales et d’investissement pour les interventions cliniques et de style de vie visant à améliorer la durée de vie en bonne santé. Parmi les sujets clés, la convergence de l’intelligence artificielle et de l’épigénétique sera explorée, en montrant comment des modèles d’apprentissage automatique avancés sont intégrés avec des données de méthylation de l’ADN et des biomarqueurs pour prédire les trajectoires de vieillissement et personnaliser les soins à grande échelle. Parallèlement, le forum mettra en avant les promesses des technologies de santé à l’échelle de la population qui rendent la longévité numérique accessible au grand public. Les innovations dans l’agrégation de données de santé, la surveillance continue et les plateformes d’intervention personnalisée permettent des applications de santé de précision et de prévention des maladies à l’échelle sociétale. Le concept de biohacking de la longévité sera également abordé à travers une exposition de solutions commerciales et destinées aux consommateurs conçues pour améliorer le métabolisme, optimiser la performance cellulaire et suivre l’âge biologique en temps réel. Cette session fournira des informations sur la manière dont ces outils sont intégrés dans les routines de bien-être et les conseils médicaux. De plus, le forum examinera la montée en puissance des cliniques de longévité, avec des discussions comparant les rôles évolutifs des centres physiques et des réseaux cliniques numériques activés par l’IA. Les présentations exploreront comment ces cliniques offrent des diagnostics professionnels, du coaching de style de vie et des protocoles thérapeutiques qui ralentissent le vieillissement biologique et prolongent la durée de vie en bonne santé, souvent par le biais de modèles hybrides combinant évaluations en personne et soins à distance. Les stratégies préventives ciblant les maladies liées à l’âge seront également un point central, mettant en évidence les futures interventions cliniques visant à contrôler les facteurs de vieillissement avant que ces maladies ne se manifestent. Ces sessions seront fondées sur des explications scientifiques fournies par des chercheurs de premier plan, offrant aux participants un contexte fondamental sur la biologie du vieillissement avant de plonger dans des discussions de haut niveau. L’agenda se poursuit dans le domaine de la réversion ciblée de l’âge, visant à comprendre les interventions thérapeutiques qui arrêtent ou inversent les dommages liés à l’âge dans des organes spécifiques ou pour des maladies liées à l’âge particulières, suivies par une réversion systémique de l’âge – des thérapies innovantes s’attaquant aux dommages à l’échelle du corps entier, représentant la prochaine frontière de la médecine régénérative. Un impressionnant panel de conférenciers a été confirmé pour l’événement, comprenant Brent Hoberman (Founders Forum Group) et Phil Newman (Longevity.Technology), qui ouvriront l’événement. Ils seront rejoints par Laura Deming (Cradle, Longevity Fund), Daniel Ives (Shift Bioscience), Matthew Dawson (TruDiagnostic), Bill Kapp (Fountain Life), Sharon Rosenzweig-Lipson (Life Biosciences), Alina Rui Su (Generation Lab), Will Harborne (LongGame Ventures), Eric Morgen (BioAge) et Greg Bailey (Juvenescence), entre autres. Cette assemblée d’experts et l’agenda complet témoignent de l’engagement du forum à favoriser la collaboration entre scientifiques, entrepreneurs et investisseurs. L’événement vise à examiner les dernières recherches, à discuter des stratégies de commercialisation et à explorer les opportunités d’accélérer l’innovation dans le secteur de la longévité. Compte tenu des avancées rapides dans les sciences, la technologie et l’investissement dans ce domaine, le Forum de la Longévité des Fondateurs offre une plateforme opportune pour que les acteurs du secteur s’engagent avec le paysage évolutif de la longévité et de l’extension de la durée de vie en bonne santé. La participation au forum est strictement limitée pour garantir des discussions ciblées et des opportunités de mise en réseau significatives – les participants potentiels sont encouragés à enregistrer rapidement leur intérêt pour sécuriser une place à cet événement essentiel. D’autres détails, y compris des annonces supplémentaires de conférenciers et des mises à jour de l’agenda, seront publiés dans les semaines à venir. Source : https://longevity.technology/news/founders-longevity-forum-reveals-2025-london-agenda/

Optima : Le complément NMN à absorption rapide qui attire l’attention

Le produit phare d’Elevant, le complément alimentaire Optima, est formulé pour soutenir rapidement les niveaux de NAD+ grâce à son absorption rapide. Le NAD+ joue un rôle fondamental dans la production d’énergie cellulaire, la réparation de l’ADN et la santé métabolique globale. Toutefois, les niveaux de NAD+ diminuent avec l’âge, ce qui peut entraîner une fonction mitochondriale réduite, des troubles cognitifs et un risque accru de maladies liées à l’âge. Des recherches montrent que la supplémentation en nicotinamide mononucléotide (NMN), un précurseur du NAD+, pourrait contrebalancer ce déclin, améliorant ainsi les niveaux d’énergie, la fonction cognitive et la résilience cellulaire. Optima se distingue par son format à mâcher qui permet une absorption directe via les glandes salivaires, contournant ainsi les éventuelles inefficacités du système digestif et facilitant une entrée rapide dans la circulation sanguine. L’efficacité du produit a attiré l’attention de chercheurs et praticiens dans le domaine de la longévité, y compris Peter Diamandis, qui a souligné son importance dans son récent guide sur la longévité.

La bioaccessibilité est un facteur clé dans la supplémentation en NMN. Les compléments NMN traditionnels doivent passer par le tractus gastro-intestinal, où des processus de dégradation et de conversion peuvent limiter leur efficacité. En revanche, l’absorption sublinguale d’Optima permet à NMN d’atteindre la circulation systémique plus rapidement, ce qui est particulièrement pertinent pour les personnes cherchant un effet immédiat sur les fonctions cognitives et les processus métaboliques. Des études cliniques et précliniques soutiennent le rôle du NMN dans la santé métabolique et la lutte contre le vieillissement. Par exemple, une étude humaine a démontré que le NMN pouvait améliorer la performance physique chez les coureurs, tandis que d’autres recherches indiquent son potentiel à favoriser la santé cérébrale et à avoir des effets anti-inflammatoires comparables à ceux des agents anti-inflammatoires conventionnels.

Malgré les avantages potentiels du NMN, une absorption et une efficacité optimales dépendent d’un équilibre nutritionnel adéquat. Le métabolisme du NAD+ est influencé par des cofacteurs tels que le magnésium, le zinc et les vitamines B, qui soutiennent les processus enzymatiques impliqués dans la synthèse et l’utilisation du NAD+. Les carences en ces nutriments peuvent entraver la production de NAD+, réduisant ainsi les bénéfices de toute forme de supplémentation. En tenant compte de cela, Elevant a élargi sa gamme de produits pour inclure des formulations visant à maintenir un équilibre nutritionnel essentiel. En garantissant que des vitamines et minéraux clés sont présents à des niveaux optimaux, ces suppléments complètent l’apport en NMN, facilitant ainsi un réapprovisionnement plus efficace en NAD+ et un soutien métabolique plus large.

Elevant adopte une approche clinique pour soutenir la longévité, en produisant son NMN-C® selon des normes pharmaceutiques et en s’appuyant sur des recherches cliniques approfondies sur l’homme. L’entreprise s’est engagée à développer des formulations rigoureusement testées, en accord avec le consensus scientifique plus large sur les bénéfices potentiels de la supplémentation en NAD+. L’augmentation de la popularité d’Optima, renforcée par des recommandations d’experts en longévité, reflète une reconnaissance croissante du rôle du NMN dans la promotion de la santé et l’atténuation du déclin lié à l’âge. Elevant a collaboré avec le Buck Institute for Research on Aging pour créer et tester le NMN-C. Dr Eric Verdin, président de cet institut, a souligné l’importance de comprendre la biologie sous-jacente au sujet de la supplémentation en NMN. Il a déclaré que tout le monde au-dessus de 50 ans devrait envisager de prendre du NMN, car cela pourrait potentiellement leur être bénéfique. Alors que la recherche sur le NAD+ et le NMN progresse, l’accent reste mis sur l’optimisation de l’absorption et l’assurance que la supplémentation se déroule dans un contexte biologiquement favorable. En combinant une livraison rapide avec un équilibre nutritionnel, Optima d’Elevant propose une approche soigneusement réfléchie du biohacking et du soutien à la santé axé sur la longévité. Source : https://longevity.technology/news/optima-the-fast-absorbing-nmn-supplement-gaining-attention/