La durée de vie prolongée des protéines dans les ovocytes et les ovaires des mammifères soulève des préoccupations quant aux altérations chimiques nocives pouvant affecter la fonction cellulaire et contribuer à la perte de fonction liée à l’âge. Les chercheurs ont caractérisé les protéines à longue durée de vie dans ces structures, suggérant qu’elles pourraient jouer un rôle dans le vieillissement précoce des ovaires, mais la contribution exacte reste à déterminer.
L’étude met en lumière l’importance des protéines à longue durée de vie dans la qualité des gamètes et le vieillissement reproductif, offrant un nouveau cadre pour comprendre comment ces structures régulent la fonction cellulaire. Ces découvertes pourraient ouvrir la voie à de nouvelles approches thérapeutiques pour préserver la fonction ovarienne et la fertilité chez les femmes, offrant des perspectives prometteuses pour le traitement des problèmes liés à l’âge dans le système reproducteur. source: https://www.fightaging.org/archives/2024/11/long-lived-macromolecules-as-a-point-of-damage-in-ovaries-and-oocytes/