La recherche sur la santé des femmes et les effets du vieillissement après la ménopause a pris une importance croissante ces dernières années. Bien que la ménopause soit un phénomène bien connu, la biologie et la chimie qui l’entourent sont moins bien comprises, notamment parce que les modèles animaux, comme les souris, ne présentent pas naturellement de ménopause. Bien que des méthodes chimiques ou chirurgicales puissent induire la ménopause chez les souris, ces modèles sont artificiels et compliquent l’interprétation des résultats. Pendant longtemps, on a pensé que seules quelques espèces de mammifères de grande taille connaissaient la ménopause, mais des recherches récentes suggèrent qu’en fait, la plupart des grands mammifères subissent ce phénomène, bien que cela n’ait pas été un sujet de recherche majeur en raison des coûts et du temps liés à l’utilisation de ces animaux dans des études fondamentales sur le vieillissement. Source : https://www.fightaging.org/archives/2025/08/menopause-accelerates-aging/
L’impact de la ménopause sur le vieillissement biologique chez les femmes
