Étiquette : étude longitudinale

La taurine et son rôle complexe dans le vieillissement : une étude révélatrice

Une étude antérieure a révélé que les niveaux de taurine circulante diminuaient avec l’âge chez les souris et que la supplémentation en taurine prolongeait la durée de vie en bonne santé. Cela a suscité un intérêt au sein de la communauté scientifique pour confirmer ces résultats. Cependant, des chercheurs ont montré que les relations concernant la taurine et sa supplémentation ne sont pas simples. Dans leurs ensembles de données, les niveaux de taurine dans les échantillons de sang ne diminuent pas avec l’âge et ne sont pas directement associés aux problèmes liés à l’âge. Bien qu’il soit relativement simple de mener une étude chez des personnes ayant de faibles niveaux de taurine, cela resterait coûteux, comme c’est souvent le cas pour les essais cliniques. De plus, le choix des résultats à évaluer est devenu plus complexe qu’auparavant. La taurine a récemment gagné en popularité en tant que supplément alimentaire en raison de recherches récentes qui ont montré que la supplémentation en taurine améliorait plusieurs traits liés à l’âge et prolongeait la durée de vie chez des organismes modèles tels que les vers et les souris. Cependant, aucune donnée clinique solide ne prouve les bienfaits de sa supplémentation chez l’homme. Dans une nouvelle étude, les chercheurs ont mesuré la concentration de taurine dans le sang collecté longitudinalement auprès de participants de l’Étude longitudinale de Baltimore sur le vieillissement (âgés de 26 à 100 ans), de singes rhésus (âgés de 3 à 32 ans) et de souris (âgées de 9 à 27 mois). Les concentrations de taurine augmentaient avec l’âge dans tous les groupes, sauf chez les souris mâles, où la taurine restait inchangée. Des changements similaires dans les concentrations de taurine liés à l’âge ont été observés dans deux études transversales de populations humaines distinctes géographiquement, l’Étude sur le vieillissement des îles Baléares (âgés de 20 à 85 ans) et la cohorte de recherche sur la médecine prédictive d’Atlanta, ainsi que dans la partie transversale de l’Étude longitudinale sur le vieillissement des souris. Les chercheurs ont également trouvé que la relation entre la taurine et la force musculaire ou le poids corporel était incohérente. Par exemple, les analyses de la fonction motrice globale soulignent les limites de considérer uniquement les variations de la taurine circulante comme indicatives du vieillissement biologique, car une performance relativement faible de la fonction motrice peut être associée à des concentrations élevées ou faibles de taurine, tandis que dans d’autres cas, aucune relation n’est trouvée entre ces variables. Source : https://www.fightaging.org/archives/2025/08/data-suggests-taurine-does-not-decline-with-age-in-primates/

L’Impact de la Marchabilité sur l’Activité Physique : Une Étude Révolutionnaire

Cette étude révolutionnaire menée par des chercheurs de l’Université de Washington révèle que déménager vers une ville plus propice à la marche est lié à une augmentation significative du nombre de pas quotidiens. Les données, collectées via une application smartphone, montrent qu’une hausse modérée de l’activité physique, comme marcher 7 000 pas par jour, peut avoir des effets bénéfiques majeurs sur la santé, réduisant les risques de mortalité toutes causes confondues, de mortalité cardiovasculaire, de mortalité par cancer et de démence. Les chercheurs ont analysé près de 250 000 jours d’enregistrements de pas provenant de 5 424 utilisateurs ayant déménagé au moins une fois dans une période d’observation de trois ans. Ils ont constaté que les participants qui se déplaçaient vers des villes plus marchables, comme New York, augmentaient leur nombre de pas quotidiens de 1 400 en moyenne. En général, un déménagement vers des zones plus marchables était associé à une augmentation d’environ 1 100 pas par jour. De plus, cette augmentation était principalement constituée d’activités physiques modérées à vigoureuses, suggérant que les environnements bâtis influencent significativement le niveau d’activité physique des individus. Bien que des effets de sélection puissent exister, les chercheurs ont trouvé des preuves robustes indiquant que les résultats n’étaient pas biaisés par le fait que les gens choisissent de déménager en fonction de la marchabilité des lieux. En fin de compte, l’étude souligne l’importance de l’infrastructure publique pour encourager des comportements sains comme la marche et suggère que la marchabilité devrait être un critère clé lors du choix d’un lieu de résidence. Les résultats mettent également en lumière la valeur des données massives collectées à partir d’appareils mobiles, qui jouent un rôle croissant dans la recherche. Source : https://www.lifespan.io/news/moving-to-a-more-walkable-city-increases-step-count/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=moving-to-a-more-walkable-city-increases-step-count

Nouveau Mesure du Rythme du Vieillissement : Une Analyse des Trajectoires de Santé chez les Personnes Âgées

L’étude du rythme du vieillissement, initialement développée à partir des données de l’étude Dunedin, a été redéfinie grâce à une méthode améliorée qui utilise des données cliniques et d’autres mesures fonctionnelles simples. Cette nouvelle approche se concentre sur l’analyse des données de deux études représentatives, l’étude de santé et de retraite des États-Unis (HRS) et l’étude longitudinale anglaise du vieillissement (ELSA), qui suivent les adultes de 50 ans et plus. Les chercheurs ont mesuré le rythme du vieillissement chez 19 045 participants, en utilisant des échantillons de sang séché, des examens physiques et des tests de performance. Les résultats montrent que les métriques utilisées peuvent prédire des résultats de santé futurs, tels que l’apparition de maladies, le handicap et la mortalité, tout en révélant des différences significatives dans les trajectoires de vieillissement au sein de différents sous-groupes de population. Les résultats indiquent également que les personnes ayant un niveau d’éducation inférieur présentent des signes de vieillissement accéléré. Ainsi, bien que le terme ‘rythme du vieillissement’ soit utilisé pour décrire ces évaluations, il est important de noter que cette nouvelle approche diffère fondamentalement des horloges épigénétiques précédemment étudiées. Source : https://www.fightaging.org/archives/2025/06/a-new-pace-of-aging-built-from-clinical-measures/

Impact des combustibles solides sur le vieillissement réussi : Analyse des données épidémiologiques en Chine

L’utilisation de combustibles solides, tels que le bois et le charbon, pour le chauffage et la cuisson à domicile est une source majeure de pollution de l’air par les particules, surtout dans les populations pauvres. Cette situation est préoccupante car l’exposition à ces particules est liée à une progression accélérée des maladies liées à l’âge et à une mortalité accrue. Les données épidémiologiques provenant des populations chinoises révèlent que les personnes utilisant des combustibles solides ont une probabilité de 30% à 40% inférieure de vieillir sans développer de maladies chroniques ou de perte notable de fonctions cognitives. Moins d’un individu sur dix dans cette population atteint ses 60 ans sans souffrir de maladies liées à l’âge, ce qui souligne l’urgence de développer des thérapies de rajeunissement. Une étude a inclus 4 047 participants âgés en moyenne de 67 ans, montrant que ceux utilisant des combustibles solides avaient moins de chances de connaître un vieillissement réussi par rapport à ceux utilisant des combustibles propres. Lors du suivi, seulement 6,95% des participants ont réussi à vieillir avec succès. Les analyses longitudinales ont confirmé que l’utilisation de combustibles solides pour la cuisson était associée à un ratio de vieillissement réussi de 0,66, tandis que pour le chauffage, ce ratio était de 0,59. De plus, un changement auto-déclaré de l’utilisation de combustibles solides à des combustibles propres était significativement associé à un vieillissement réussi. Source : https://www.fightaging.org/archives/2025/06/household-use-of-solid-fuel-correlates-with-a-sizable-increase-in-age-related-disease/

Impact de la perte auditive sur le déclin cognitif chez les personnes âgées

La perte auditive (PA) et le déclin cognitif sont des phénomènes bien établis qui présentent des corrélations significatives, notamment chez les personnes âgées. Bien qu’il existe un débat sur la causalité, des études récentes suggèrent fortement que la perte d’audition accélère le déclin cognitif. Une perte auditive modérée ou sévère est fréquente chez les adultes âgés, avec une prévalence qui augmente avec l’âge, passant de 12 % à 60 ans à plus de 58 % à 90 ans. Ce facteur de risque modifiable est crucial, car il est estimé que 7 % des cas de démence à l’échelle mondiale pourraient être évités si ce risque était éliminé. La recherche, notamment l’Étude longitudinale brésilienne sur la santé des adultes, a évalué 805 participants lors de trois vagues d’étude entre 2008 et 2019, utilisant des tests de cognition tels que la fluence verbale et des tests de traçage pour évaluer la performance cognitive. Les résultats ont montré que 62 des participants avaient une perte auditive, et un suivi a révélé une association significative entre la perte auditive et un déclin cognitif global plus rapide, avec une diminution mesurée au fil du temps. Ces résultats soulignent l’importance de surveiller la perte auditive comme un facteur de risque potentiellement modifiable pour le déclin cognitif et la démence dans les populations vieillissantes. Source : https://www.fightaging.org/archives/2025/05/hearing-loss-correlates-with-increased-risk-of-cognitive-decline/

Impact Précoce des Biomarqueurs de la Maladie d’Alzheimer sur la Fonction Cognitive des Jeunes Adultes

Ce document explore l’impact précoce sur la fonction cognitive chez les jeunes adultes, en mettant en lumière les biomarqueurs associés à la maladie d’Alzheimer, tels que le tau et la chaîne légère des neurofilaments. L’étude souligne que la maladie d’Alzheimer a une période d’apparition qui peut s’étendre sur plusieurs décennies, et que des biomarqueurs mesurables peuvent être associés à des pathologies futures bien avant les symptômes. L’idée novatrice ici est d’étendre cette réflexion à des âges aussi précoces que la vingtaine, ce qui pourrait changer notre perception de la dégradation cognitive au cours de la vie. Il est émis l’hypothèse que cela pourrait être le résultat d’un manque de soins de santé préventifs ou de l’exposition à des agents pathogènes persistants durant la jeunesse, soulevant des questions sur la continuité des processus pathologiques qui pourraient affecter la fonction cognitive. Les données analysées proviennent de l’Étude nationale longitudinale de la santé des adolescents à l’âge adulte, avec des échantillons allant de 4 507 à 11 449 participants. Les résultats montrent que des facteurs de risque clés pour la maladie d’Alzheimer sont associés à des mesures standard de la cognition chez les 24 à 44 ans, suggérant que ces facteurs peuvent impacter la fonction cognitive bien avant l’apparition des symptômes d’Alzheimer. Le score CAIDE, qui prend en compte divers facteurs de risque, était lié à toutes les mesures de fonction cognitive, mais il a été noté que le facteur génétique APOE ε4 n’était pas associé à certaines mesures de cognition jusqu’à un âge plus avancé. D’autres biomarqueurs inflammatoires étaient également associés à la fonction cognitive, mais leur impact semblait devenir plus prononcé dans la tranche d’âge de 33 à 44 ans. Ces résultats suggèrent que les marqueurs cardiovasculaires, neurodégénératifs et immunitaires peuvent être liés à des mesures critiques de la fonction cognitive à des âges beaucoup plus jeunes que ce qui était auparavant reconnu. Source : https://www.fightaging.org/archives/2025/04/early-adult-life-risk-factors-for-alzheimers-corelate-with-impaired-cognition-in-early-adult-life/

Étude des Hyperintensités de la Matière Blanche et leur Impact sur le Déclin Cognitif chez les Personnes Âgées

Les hyperintensités de la matière blanche (WMH) représentent de petites zones de dommages et de cicatrices dans la matière blanche du cerveau, visibles sur les images IRM. Ces lésions peuvent résulter de la rupture de petits vaisseaux sanguins ou d’autres causes localisées de mort cellulaire et d’inflammation. Une plus grande quantité de WMH est généralement associée à un risque accru de conditions neurodégénératives et de déclin cognitif, bien que cette corrélation ne soit significative que pour les hyperintensités de plus grande taille.

La relation entre l’intégrité de la matière blanche et les résultats néfastes pour la santé cérébrale est bien établie. Un fardeau accru de lésions de la matière blanche a été systématiquement lié à un risque plus élevé d’accident vasculaire cérébral, d’imprégnation cognitive, de démence et de mortalité dans des études transversales et longitudinales impliquant diverses populations de patients et des cohortes de personnes âgées en bonne santé.

Cette étude examine la relation entre les WMH et le déclin cognitif longitudinal chez les personnes âgées. En utilisant les données de l’Étude Longitudinale Irlandaise sur le Vieillissement (TILDA), nous avons analysé les caractéristiques des WMH, y compris le volume, la localisation et l’intégrité microstructurale, dans une population vivant en communauté de 497 individus sur une période de six ans. Les WMH ont été classés en phénotypes selon leur taille, l’anisotropie fractionnelle (FA) et la diffusivité moyenne (MD), avec des sous-types pour les lésions periventriculaires et de la matière blanche profonde. Nous avons formulé l’hypothèse que des lésions plus grandes, compromises microstructuralement, seraient associées à un déclin cognitif accéléré.

Nous avons isolé 11,933 WMH, avec une moyenne de 24 WMH par individu. Parmi ces lésions, 6,056 (51%) ont été classées comme de faible volume – haute FA, 3193 (27%) comme de faible volume – faible FA, et 2684 (22%) comme de haut volume, faible FA. Nos résultats montrent que les lésions profondes et periventriculaires de haut volume, à faible FA, étaient significativement liées au déclin cognitif, tandis que les petites lésions periventriculaires avec des propriétés microstructurales presque normales ne prédisaient pas le déclin cognitif. Ces résultats suggèrent que des phénotypes différents de WMH pourraient servir de marqueurs pour des risques différenciés d’imprégnation cognitive, offrant ainsi des cibles potentielles pour une intervention précoce dans les populations à risque. Source : https://www.fightaging.org/archives/2025/03/larger-volume-white-matter-hyperintensities-correlate-with-cognitive-decline/

L’Impact de l’Épaisseur Rétinienne sur le Déclin Cognitif : Une Étude Longitudinale

Le système nerveux central, bien que difficile à observer chez les êtres vivants, offre un accès partiel à travers la rétine, située à l’arrière de l’œil. Étant une extension du système nerveux central, la rétine peut être utilisée comme un indicateur du vieillissement cérébral, car elle subit des mécanismes de vieillissement similaires à ceux du cerveau. Plusieurs études ont exploré cette relation et ont développé divers ‘horloges de vieillissement’ basées sur l’imagerie rétinienne. Une étude récente a examiné la structure de la rétine, en se concentrant sur l’épaisseur de ses différentes couches comme mesure de la dégénérescence liée à l’âge. Les chercheurs ont utilisé la tomographie par cohérence optique (OCT), un outil non invasif pour évaluer la santé rétinienne, qui a montré un potentiel pour prédire le déclin cognitif. Cependant, les résultats des études antérieures étaient variés. Cette recherche a impliqué un large échantillon (n = 490) d’individus asiatiques fréquentant des cliniques de mémoire, qui ont subi des évaluations neuropsychologiques complètes pendant cinq ans. L’épaisseur rétinienne a été mesurée par OCT au début de l’étude. Les résultats ont révélé que les participants ayant une couche de cellules ganglionnaires maculaires et couche plexiforme interne (GCIPL) considérablement plus mince (≤ 79 μm) au départ avaient un risque de déclin cognitif supérieur de 38 % par rapport à ceux avec une épaisseur ≥ 88 μm. Même après ajustement pour des facteurs tels que l’âge, l’éducation, les maladies cérébrovasculaires, l’hypertension, l’hyperlipidémie, le diabète de type 2 et le tabagisme, une épaisseur plus mince du GCIPL était associée à un risque accru de déclin cognitif (ratio de risque = 1,14). En revanche, l’épaisseur de la couche des fibres nerveuses rétiniennes (RNFL) n’a pas montré d’association avec le déclin cognitif. Source : https://www.fightaging.org/archives/2025/03/retinal-thinning-correlates-with-pace-of-cognitive-decline/

L’impact de la fragilité sur la mortalité chez les personnes âgées : étude sur une population chinoise

La fragilité est un état de faiblesse physique et de résilience réduite face aux stress, souvent associé à des processus d’inflammation chronique et d’immunosénescence. Elle résulte d’un fort fardeau de dommages cellulaires et tissulaires liés au vieillissement. Ce phénomène est corrélé à un risque accru de mortalité, ce qui en fait un indicateur des problèmes les plus graves liés à l’âge. Dans une étude examinée, les chercheurs ont analysé l’association entre l’évolution du score de fragilité (FI) sur trois ans et le risque de mortalité toutes causes confondues au sein d’une population âgée chinoise de 4 969 participants. L’analyse a révélé que pendant une période médiane de suivi de 4,08 ans, 1 388 participants sont décédés. Un risque de mortalité toutes causes confondues était 2,27 fois plus élevé avec une augmentation du FI de 0,045 ou plus, comparé à une variation du FI inférieure à 0,015. Des associations significatives ont également été observées dans les sous-groupes selon l’âge, le sexe et la résidence à la baseline. De plus, une association non linéaire entre le changement du FI et le risque de mortalité a été identifiée. Les résultats soulignent l’importance d’approches visant à réduire le FI pour améliorer la santé des personnes âgées en Chine. Source : https://www.fightaging.org/archives/2025/01/increasing-frailty-correlates-with-increasing-mortality-in-later-life/

L’impact de la fragilité sur la mortalité chez les personnes âgées en Chine

La fragilité est un état caractérisé par une inflammation chronique, une immunosénescence, une faiblesse physique et une résilience réduite face aux stress. Ce phénomène résulte d’une accumulation de dommages cellulaires et tissulaires liés à l’âge, engendrant diverses conséquences néfastes. La fragilité est étroitement liée à un risque accru de mortalité, et de nombreuses études ont établi ce lien. Elle est considérée comme un indicateur des problèmes les plus graves liés au vieillissement, nécessitant une attention prioritaire. Les dysfonctionnements immunitaires ainsi que la perte de masse et de force musculaires font l’objet de nombreuses recherches thérapeutiques. Cette étude particulière vise à explorer l’association entre le changement du score de fragilité (FI) sur trois ans et le risque de mortalité toutes causes confondues au sein d’une population âgée en Chine. Les données de 4 969 participants, issues de l’enquête sur la longévité en bonne santé en Chine, ont été analysées. La mortalité toutes causes confondues a été définie comme une variable binaire, basée sur des données complètes et censurées. Les modèles de risques proportionnels de Cox ont permis d’évaluer cette association. Sur une période médiane de suivi de 4,08 ans, 1 388 décès ont été observés. Il a été constaté qu’une augmentation du FI d’au moins 0,045 était associée à un risque de mortalité toutes causes confondues 2,27 fois plus élevé, par rapport à une augmentation du FI inférieure à 0,015. Des associations significatives similaires ont été observées selon l’âge, le sexe et le lieu de résidence des participants. De plus, une association non linéaire entre l’évolution du FI sur trois ans et le risque de mortalité a été mise en évidence. En conclusion, une augmentation excessive du FI est positivement liée à un risque accru de mortalité toutes causes confondues. Les approches visant à réduire le FI pourraient être essentielles pour améliorer la santé des personnes âgées en Chine. Source : https://www.fightaging.org/archives/2025/01/increasing-frailty-correlates-with-increasing-mortality-in-later-life/